Le progressisme est une idéologie sans foi ni loi !
Le progressisme tient pour acquis, une fois pour toutes, que toute avancée technique ou scientifique est un progrès.
Par ailleurs, son second crédo c’est l’individu-roi !
L’individu doit bénéficier sans retard de ces avancées techniques et ceci sans tenir compte de l’intérêt général.
La gauche est en pointe dans ce combat pour le progressisme et la droite, par lâcheté, s’est pliée petit à petit aux diktats de la gauche relayés complaisamment par les médias. On ne compte pas, par exemple, les politiques de droite qui étaient initialement opposés au mariage gay mais qui ont rendu les armes et le considèrent aujourd’hui comme inaliénable.
On me rétorquera que ces droits que l’on donne aux homosexuels n’en retirent pas aux hétérosexuels ! Certes, mais avec le mariage pour tous est venu le droit à l’adoption plénière qui, elle, retire aux enfants un droit naturel – et à mon sens inaliénable – pour les enfants d’avoir un père et une mère.
En outre, les « avancées » du progressisme sont sans fin !
Par exemple, la folie transgenre a perdu toute mesure. Aux Etats-Unis et en Grande-Bretagne, le lobby transgenre s’en prend maintenant aux enfants ! Le lobby LGBT est entré dans les écoles pour y faire sa propagande et tente d’instiller dans l’esprit de nombreux enfants un doute sur leur sexualité.
Cela peut même déboucher sur la prescription de bloqueurs de puberté ou pire d’opérations de changement de sexe souvent irréversible. C’est inacceptable !
Voici un article de fond paru dans le Club de Valeurs actuelles qui dénonce ces actions malveillantes sur les enfants qui risquent de détruire leur vie :
Enfants transgenres : l’appel à la prudence
Un ouvrage collectif réunissant de nombreux spécialistes alerte contre les dérives s’insinuant autour de la prise en charge d’enfants en plein questionnement de genre.
Lors de la New York Fashion Week, le 10 septembre dernier, défilait un enfant transgenre de 10 ans, créant le buzz. Le garçon devenu fille à 6 ans avait indiqué vouloir montrer aux enfants qu’être un « transgenre n’est pas mauvais ».
Un ouvrage collectif (Questionnements de “genre” chez les enfants et les adolescents, éditions Artège), présenté par Aude Mirkovic et Claire de Gatellier, analysant les impacts et enjeux liés au changement de sexe chez l’enfant, rend un son un peu différent. Réunissant les analyses et expériences de médecins, psychologue, pédopsychiatre, ancienne avocate ou encore ancien chef d’établissement, grâce à la collaboration des associations Famille et Liberté et Juristes pour l’enfance, il révèle les dangers physiques et psychologiques pesant sur l’enfant en questionnement, ainsi que les questions juridiques soulevées par la situation. Agrémenté de témoignages édifiants, il invite à réfléchir à une véritable prise en charge du mal-être de l’enfant sans biais idéologiques.
“L’approche “trans-affirmative” prône l’absence de discussion du “ressenti” et la mise en œuvre d’une “transition sociale”, c’est-à-dire l’identification par les tiers selon le genre revendiqué avec généralement un changement de prénom et de pronom dans toutes les sphères de vie de l’enfant : sphère familiale en premier lieu, sphère scolaire bien souvent, et éventuellement sphère des loisirs.
C’est la politique retenue par la circulaire “pour une meilleure prise en compte des questions relatives à l’identité de genre en milieu scolaire” du 29 septembre 2021‚ dite “circulaire Blanquer”‚ qui entend favoriser la transition sociale dans le cadre de l’école.
Or, il a été observé que la transition sociale ne constitue pas une période de neutralité permettant à l’enfant de réfléchir mais, au contraire, qu’elle l’entraîne presque inexorablement vers la transition médicale, aux conséquences rapidement irréversibles. Ce cheminement a été exposé dans un documentaire suédois de 2019 qui a connu un grand retentissement : The Trans Train.
Et en effet, comment pourrait-il en être autrement ? Comment un enfant‚ conforté dans l’idée qu’il peut s’identifier comme fille, alors qu’il est né garçon ou inversement, pourra-t-il assumer l’apparition de son corps masculin qui l’identifiera de facto comme homme ? Et ce d’autant plus s’il a obtenu le changement de son prénom à l’état civil qui est aujourd’hui accordé à de très jeunes enfants, ou même simplement l’utilisation d’un prénom d’usage et d’un pronom dans la sphère familiale, amicale et scolaire, correspondant au sexe revendiqué ?”
De futurs clients du marché de la procréation assistée
“Lors des débats à l’Assemblée nationale sur la loi du 31 janvier 2022 interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne, des députés ont soutenu que les traitements mis en place sur les mineurs étaient totalement réversibles. Or‚ les études les plus récentes montrent que cette affirmation est inexacte.
À ces enfants, on va également proposer très tôt des actes de préservation de la fertilité, c’est-à-dire un prélèvement et une conservation des ovocytes ou des spermatozoïdes lorsque cela est possible (pour des jeunes dont la puberté s’est passée à peu près normalement), ou encore un prélèvement de testicules immatures pour les enfants les plus jeunes en vue de les faire mûrir in vitro. On destine ainsi les enfants à devenir des clients du marché de la procréation assistée. ”
L’emprise des réseaux sociaux
“En France, Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, et Céline Masson‚ psychologue clinicienne et psychanalyste, distinguent « la “dysphorie de genre” vraie – extrêmement rare – de […] “l’utopie de genre” qui relève d’une emprise idéologique par le biais des réseaux sociaux où l’on fait croire monts et merveilles à des jeunes en quête d’identité et mal dans leur corps ».
Claude Habib, professeure de littéraire à la Sorbonne, a souligné pour sa part que « les acteurs du changement sont les adolescents qui se connectent sur les forums, échangent des combines pour se procurer des hormones ou des baratins pour convaincre despsys ». Sa remarque est ratifiée par ce verbatim éloquent d’une endocrinologue parisienne : « On a des corps en bonne santé et des adolescents qui arrivent avec des demandes très précises […] : “Oui je veux de la progestérone parce que ça rétrocontrôle sur mon axe gonadotrope et puis ça va freiner un peu ma testostérone”… » Où ces adolescents ont-ils appris ces termes et acquis cette connaissance des effets des produits hormonaux, si ce n’est via les réseaux sociaux ou sur des sites militants dédiés ?
Et que dire des comptes Instagram de jeunes trans proposant des jeux concours où l’on peut gagner par exemple un binder (brassière compressive pour écraser les seins et donner l’aspect d’un torse plat) ?
Ce qui est certain, c’est que les réseaux sociaux offrent la possibilité de mettre en scène à destination d’un large public les étapes de la transition de chacun, en général sous un jour enthousiaste ou victimaire. Lisa Littman a constaté dans son étude menée sur les jeunes transgenres que leur identification comme “trans” augmente leur popularité de 60,7 %.”
Un business juteux pour les laboratoires pharmaceutiques
“Pour les laboratoires pharmaceutiques, les enfants qui s’orientent vers un parcours de transition médicale sont une manne. Ils vont consommer des hormones à vie, molécules dont le coût est élevé, engendrant des bénéfices importants pour ces laboratoires.
Après les hormones, la chirurgie constitue‚ elle aussi‚ un business rentable. Selon une étude de MarketWatch, « le marché mondial de la chirurgie de changement de sexe représentera au moins 1,5 milliard de dollars américains d’ici 2026. Déjà‚ en 2019, les chirurgies de changement de sexe d’homme à femme ont généré un revenu “de plus de 184,6 millions de dollars” ».
L’étude ainsi diligentée expose de manière décomplexée comment faire croître ce marché : obtenir des politiques gouvernementales favorables aux chirurgies de transition, sensibiliser le public aux problèmes rencontrés par les personnes transgenres par la publication d’études, réaliser des progrès technologiques sur ces chirurgies, faire prendre en charge les chirurgies par l’assurance maladie, développer le nombre de médecins et chirurgiens spécialisés…
Ces recommandations ne restent pas sans effet. En France, la spécialité de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique a été le premier choix aux postes d’internat de médecine pour le classement ECN 2021.
Le parcours de transition médicale est pris en charge à 100 % par l’assurance maladie, en qualité d’ALD (affection longue durée) hors liste, c’est-à-dire « une affection non inscrite sur la liste mais constituant une forme évolutive ou invalidante d’une affection grave, nécessitant des soins prolongés ». C’est là un point pour le moins surprenant, alors que la transidentité n’est pas considérée comme une maladie, et que les militants trans-affirmatifs réclament une dépathologisation complète du parcours médical, c’est-à-dire l’accès à la prise d’hormones et aux opérations chirurgicales sans consultation psychiatrique ni préalable ni de suivi. ”
La dérive du désir devenu roi
“Certaines personnes ne sont pas en adéquation avec leur date de naissance. Aux Pays-Bas, un homme a demandé à la justice de modifier la date de sa naissance à l’état civil car il se sentait « plus jeune de vingt ans ». Cette exigence n’a rien d’un excès ou d’une dérive. À partir du moment où l’état civil ne relate plus des faits objectifs mais le ressenti que chacun a de lui-même, pourquoi la discordance entre le ressenti personnel et l’âge résultant de l’état civil aurait-elle moins d’intérêt que celle liée à la mention du sexe ? […]
Certains pourraient encore demander à mettre leur état civil en adéquation avec leur ressenti en termes de filiation : l’homme indiqué sur mon acte de naissance ne s’est jamais occupé de moi, je ne le connais pas, alors que tel autre homme remplit dans ma vie le rôle de père. Je demande à ce que mon état civil filiatif soit mis en adéquation avec mon ressenti et mon vécu. Etc.
L’artifice de privilégier le désir, le ressenti, la volonté sur la réalité est sans limite car ce désir, ce ressenti, cette volonté, n’ont eux-mêmes aucune limite. ”
Une fallacieuse autodétermination enfantine
“Si un enfant ou un adolescent ne peut acheter une canette de bière dans une épicerie, comment prétendre qu’il aurait le discernement pour prendre en connaissance de cause une décision de transition de genre qui fera de l’individu en bonne santé qu’il était un “patient à vie”, dépendant aux hormones jusqu’à la fin de ses jours, sans compter les chirurgies à répétition qu’il subira probablement ? Ceci est d’autant plus grave que les témoignages se multiplient de jeunes adultes qui regrettent ces transitions affirmatives‚ qu’ils ont pourtant eux-mêmes réclamées pendant leur adolescence, et dont ils garderont les séquelles toute leur vie : ablation des seins, masculinisation de la voix… […]
Si un adulte peut trouver une forme de soulagement au mal-être lié à son corps d’homme ou de femme en transformant ce dernier, il prend ses propres responsabilités vis-à-vis de lui-même. Mais comment imaginer qu’un enfant puisse prendre de telles décisions en connaissance de cause ?
Les enfants en questionnement de genre ont besoin que les adultes, à commencer par les parents, prennent leurs responsabilités à leur égard. ”
Une épée de Damoclès pour les soignants
“Ce qui transparaît dans ces pages, à côté de la détresse des enfants, c’est une autre inquiétude, celle des professionnels de l’enfance : pédopsychiatres, psychologues, médecins, éducateurs, directeurs d’école, juristes, philosophes, parents, tous confrontés à cette question délicate, sommés de répondre à ces appels à l’aide, mais que des lobbies puissants cherchent à faire taire, et qui sont menacés d’homophobie ou de transphobie si leur recherche et leurs préconisations vont au-delà de la solution simpliste d’accéder tout uniment au désir de l’enfant ou de l’adolescent, quel qu’il soit. Ainsi, avec la loi du 31 janvier 2022 « interdisant les pratiques visant à modifier l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne », qui des parents, médecins, psychologues ou éducateurs osera, avec l’épée de Damoclès que constitue cette loi, entreprendre un dialogue et un questionnement en profondeur avec ces enfants et adolescents pour tenter de comprendre et d’apporter des solutions à leur mal-être et à leur profonde souffrance ?
Ce n’est pas l’autorisation minimaliste arrachée au législateur de dispenser des conseils de prudence qui rassurera les professionnels de l’âme humaine‚ systématiquement soupçonnés d’entrave à l’autodétermination du jeune. Le climat de suspicion et de délation ainsi instauré aura pour effet d’abandonner ces enfants à un isolement désespérant.
Sous prétexte de “protéger”, cette loi va en réalité empêcher de porter secours aux jeunes en difficulté.
Le but de cet ouvrage, à l’instar de la tribune de l’Express en octobre 2021, est de sortir du monde du silence dans lequel on veut nous enfermer et enfermer ces enfants. ”
Anne-Laure Debaecker pour le Club de Valeurs actuelles.
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4 Réponses à “Délires LGBT : ne touchez pas à nos enfants !”
C’est ^pourquoi Vladimir Poutine est détesté par ces dérangés du dégenrage.
Il a dit :
je veux aussi m’adresser à tous nos citoyens, pas seulement aux collègues présents dans le public, mais à tous les citoyens russes : voulons-nous avoir « parent numéro un », « numéro deux », « numéro trois » au lieu de « maman et papa » dans notre pays, en Russie – sommes-nous devenus complètement fous ? Voulons-nous que les enfants dans nos écoles, dès l’école primaire, soient exposés à des perversions qui conduisent à la dégradation et à l’extinction ? Voulons-nous qu’on leur apprenne qu’il existe d’autres genres que les hommes et les femmes et qu’on leur propose une opération de changement de sexe ? Est-ce cela que nous voulons pour notre pays et nos enfants ? Tout cela est inacceptable pour nous, nous avons notre propre avenir
Et ça, c’est absolument interdit en occident.
J’ajoute, aujourd’hui, 07 octobre :
Joyeux anniversaire, Vladimir Vladimirovich!
С днём рождения, Владимир Владимирович!)
Vladimir est né le 07 octobre 1952.
Bon anniversaire à lui et tous mes vœux pour qu ses opposants arrêtent de le harceler parce qu’il ne pense pas comme eux.
Je suis comme vous !
Parmis les tarés qui s’occupent du froc des autres, en voici un autre :
Bailly offre sa fille de 12 ans sur le Net et il n’est pas en taule : il est juge!
https://ripostelaique.com/bailly-offre-sa-fille-de-12-ans-sur-le-net-et-il-nest-pas-en-taule-il-est-juge.html