Ce qui s’est passé à Montevideo, la semaine dernière, enfonce l’un des derniers clous dans le cercueil de la souveraineté des nations.
On y a vu la présidente – de fait – des « Etats-Unis d’Europe », signer le Mercosur, un accord commercial entre l’Europe et des pays d’Amérique du Sud, rejeté par plusieurs grands pays d’Europe dont la France.
Plus contestable encore, la Commission européenne a divisé artificiellement le traité en deux parties distinctes : une partie commercial et une partie administrative. Cela permet à la Commission de court-circuiter les Parlements nationaux qui ne seront consultés que sur la partie administrative !
Il est évident qu’un lent mais continu processus de fédéralisation de l’Europe se déroule, et ceci depuis la signature du traité de Maastricht, le 7 février 1992.
Le second mauvais coup porté à la souveraineté des nations fut le vote par le Parlement du traité de Lisbonne en 2008 qui reprenait le projet de Constitution européenne rejeté par le peuple français par referendum. En mai 2005, les Français avaient en effet dit NON à une nette majorité de 54,68 % !
Voici un article de L’informateur (cactus.fr) qui repart du traité de Maastricht pour en arriver à la situation d’aujourd’hui :
Europe : l’Europe de Maastricht, une machine à
dissoudre les Nations dans un bain mondialiste
L’Europe de Maastricht, ou la lente agonie des souverainetés nationales ?
La construction européenne, loin d’être un projet de paix et de prospérité comme annoncé, apparaît de plus en plus comme une machinerie conçue pour détruire les nations, dissoudre leurs identités, et préparer le terrain à un gouvernement mondial. Selon cette analyse acerbe, l’Union européenne agit tel un acide, rongeant progressivement les fondations des États-nations pour ne laisser qu’une « vaste soupe »apatrides et contrôlée par une élite mondialiste.
Voici ce qu’en dit Michel Onfray :
Un État post-national déguisé ?
Avec son drapeau, son hymne, sa monnaie unique et sa devise, l’Union européenne ressemble de plus en plus à un État en soi, un « État maastrichtien » qui ne répond qu’à une logique totalitaire. Pourtant, les mêmes défenseurs de ce projet dénoncent la nation comme étant source de guerre et d’oppression, tout en menant des politiques qui alimentent les tensions géopolitiques avec des puissances telles que la Russie, la Chine ou encore l’Iran. Une contradiction flagrante qui expose l’hypocrisie des élites bruxelloises.
Les réunions secrètes de l’élite mondialiste
Les cercles de pouvoir liés à des organisations comme Bilderberg ou Davos, où les journalistes sont interdits, ne font que renforcer le sentiment de méfiance. Si ces réunions n’ont rien à cacher, pourquoi ne pas accepter les caméras et ouvrir les discussions au public ?
La réponse semble évidente : ces élites travaillent à l’élaboration d’un gouvernement mondial, où les peuples ne seraient que des pions dans un jeu orchestré pour leur profit.
La peur comme outil de contrôle
Pour ces élites, tout désaccord avec leur vision mondialiste est immédiatement qualifié de
complotisme, voire de nostalgie pour des régimes autoritaires. Cette stigmatisation vise à étouffer toute contestation et à maintenir un monopole idéologique.
Pourtant, les peuples commencent à comprendre qu’ils sont les grandes victimes de ce système, qui les prive non seulement de leurs libertés, mais aussi de leur droit à l’autodétermination.
Et la France dans tout ça ?
Sous l’ombre de cette Europe totalitaire, la France, autrefois bastion de la souveraineté populaire, s’efface progressivement. Les dirigeants actuels, loin de défendre les intérêts des Français, semblent complices d’un système qui détruit les bases mêmes de la République. Pour combien de temps encore les citoyens accepteront-ils ce déclin orchestré ?
Un peu d’Histoire
Connaissez-vous l’historique du concept de « Divide et Impera » (Diviser pour mieux
régner) et ses applications historiques, en se concentrant particulièrement sur les
stratégies militaires et politiques de Jules César.
Voici les principaux points abordés :
Héritage : Bien que cette stratégie ne soit pas exclusive à César, il en est devenu l’archétype grâce à son efficacité. Depuis, « Diviser pour mieux régner » est utilisé dans
divers domaines, de la politique à l’administration, en passant par les conflits militaires.
Contexte historique : La stratégie de « Diviser pour mieux régner » est souvent attribuée à Jules César, notamment lors de ses campagnes dans les Guerres des
Gaules (58-50 av. J.-C.). Il a exploité les rivalités entre tribus gauloises pour les affaiblir et les vaincre plus facilement.
Exécution tactique : César a formé des alliances avec certaines tribus, comme les Éduens, pour isoler d’autres groupes, tels que les Helvètes. Il a également soutenu des factions rivales à l’intérieur même des tribus, créant des divisions internes qui limitaient la résistance globale.
Guerre psychologique : À travers ses écrits, notamment dans Commentarii de Bello Gallico, César a dépeint ses ennemis comme désorganisés et ses victoires comme inéluctables, décourageant ainsi toute tentative d’unité entre ses adversaires.
Bataille d’Alésia : Le point culminant de cette stratégie fut la victoire décisive contre Vercingétorix à Alésia. Malgré les efforts du chef gaulois pour unifier les tribus,
les divisions internes et les alliances forgées par César ont mené à une victoire romaine et à la soumission de la Gaule.
Et nous pouvons étendre l’analyse à d’autres applications historiques de cette stratégie, soulignant ses impacts sur les dynamiques de pouvoir plus que d’actualité aujourd’hui.
L’informateur (cactus.fr).
Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “Dès Maastricht, la messe était dite !”
macron, et les equivalent en europe continueront de detruire les nations, les peuples, a civilisations grace a leurs mensonges quatidiens, et soutenu par les medias vereux et vendu, sauf par Cnews.