J’ai fait état, plusieurs fois, d’un reflux du wokisme :
– L’anti-wokisme avance depuis la victoire de Trump
– Le reflux du wokisme dans les entreprises
– En France aussi, le wokisme recul
On ne peut que se féliciter de la mort annoncée d’une idéologie aussi mortifère pour notre civilisation !
On est d’ailleurs plus proche d’une religion basée sur des dogmes plutôt que des vérités scientifiques.
Dire qu’un homme est une femme par le seul fait qu’il se déclare femme, est une aberration biologique qui touche à la croyance et à la foi.
Cela me rappelle une autre absurdité dénoncée par Montesquieu :
Le combat doit donc être mené sur le terrain de la science et non dans la foi woke.
C’est ce qu’on fait plusieurs scientifiques comme le rapporte cet article de Breizh-Info :
Richard Dawkins démissionne d’une fondation athée
en dénonçant une « nouvelle religion » transgenre
L’un des plus célèbres biologistes évolutionnistes et militants athées, Richard Dawkins, a récemment claqué la porte de la Freedom From Religion Foundation (FFRF), une organisation pourtant censée défendre la laïcité et la science. En cause : ce que Dawkins décrit comme l’imposition d’une nouvelle « religion » idéologique centrée sur les dogmes du mouvement transgenre.
Une censure qui trahit la science
Tout a commencé lorsque la FFRF a publié un article promouvant une définition idéologique et non biologique de la femme, affirmant qu’« une femme est celle qui se déclare femme ». Cette position, qui nie les fondements mêmes de la biologie, a provoqué une vive réaction parmi des scientifiques réputés, notamment Jerry Coyne et Steven Pinker, également membres du conseil consultatif de la fondation.
Coyne a répondu avec un article rigoureux intitulé « La biologie n’est pas de la bigoterie », dans lequel il rappelait que le sexe est déterminé par la nature des gamètes – une vérité biologique simple mais aujourd’hui controversée. Pourtant, sous la pression de militants progressistes, la FFRF a décidé de retirer l’article, s’excusant pour « la détresse causée ». Cette capitulation face aux injonctions idéologiques a été la goutte d’eau pour Dawkins, qui a dénoncé « une panique indigne et un mépris de la vérité scientifique ».
Il a écrit dans un email :
Ce comportement censuriel est intolérable. Je défendais simplement une définition biologique plutôt que psychologique du sexe, et je ne comprends pas pourquoi cela serait considéré comme « douloureux » ou comme une tentative de nuire aux personnes LGBTQIA+, ce que je ne ferais jamais.
Il a ajouté :
L’idéologie du genre, qui vous a conduit à retirer mon article, est en elle-même quasi-religieuse, comportant de nombreux aspects des religions et des cultes, notamment des dogmes, des blasphèmes, des croyances manifestement fausses (« une femme est celle qui se définit comme telle »), de l’apostasie et une tendance à ignorer la science lorsqu’elle contredit une idéologie préférée.
Une fondation qui impose une nouvelle religion
Dawkins n’est pas seul à critiquer cette dérive. Steven Pinker, éminent psychologue, a également démissionné, déclarant que la FFRF n’était plus un bastion de la liberté de pensée, mais plutôt un vecteur d’une « nouvelle religion », avec son propre dogme, ses blasphèmes et ses hérétiques. Ces propos reflètent une réalité inquiétante : de nombreuses institutions censées défendre la liberté d’expression et la rationalité sombrent dans une soumission aveugle aux diktats progressistes.
Jerry Coyne, pour sa part, a qualifié cette idéologie de « quasi-religieuse », rappelant que des croyances telles que « une femme est celle qui se déclare femme » relèvent davantage d’un acte de foi que de la réalité scientifique. Il a souligné que la biologie ne devrait jamais être sacrifiée sur l’autel de sentiments ou d’idéologies.
La science face à la censure woke
L’affaire illustre une problématique croissante dans les sociétés occidentales : la montée en puissance d’un progressisme autoritaire, qui n’hésite pas à criminaliser ou à censurer toute voix dissidente. En qualifiant de « transphobe » la simple affirmation d’une vérité biologique, ces militants ne défendent pas des droits, mais imposent un dogme. Une société qui persécute ceux qui osent poser des questions scientifiques ou défendre des faits objectifs court à sa perte.
Richard Dawkins, qui a consacré sa vie à la vulgarisation scientifique et à la critique des croyances irrationnelles, a dénoncé cette situation comme un échec fondamental de la FFRF. Il a également souligné que supprimer un article scientifique sans même prévenir son auteur est une atteinte à la liberté d’expression et un manque de respect inacceptable.
Une bataille culturelle à mener
Cette affaire dépasse le cadre scientifique. Elle reflète une guerre culturelle entre ceux qui défendent des valeurs enracinées dans la réalité et les idéologues progressistes qui cherchent à remodeler le monde en fonction de leurs fantasmes. La démission de Dawkins, Coyne et Pinker n’est pas seulement un acte de protestation, mais un appel à résister à cette tyrannie morale et intellectuelle.
Pour les conservateurs et les défenseurs d’une pensée libre, cet épisode rappelle l’importance de se mobiliser contre la dérive woke et ses conséquences délétères. Il est crucial de défendre la science, la rationalité et la liberté d’expression face à une idéologie qui, sous couvert de bien-pensance, menace les fondements mêmes de notre civilisation.
Breizh-Info.
Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “Des scientifiques se rebellent contre le wokisme”
Le woke c’est l’equivalent de la fabrique du cretin…
Les experts, les gens intelligents, contrairement aux imbeciles abreuvés de desinformations ou mal eduqués, UI confondent leurs ressenti avec leur fantasmes,
remettent bien des verites a leurs places bien reelles.