La novlangue (en anglais Newspeak) est la langue officielle d’Océania, inventée par George Orwell pour son roman 1984 (publié en 1949).
Le principe est simple : plus on diminue le nombre de mots d’une langue, plus on diminue le nombre de concepts avec lesquels les gens peuvent réfléchir, plus on réduit les finesses du langage, moins les gens sont capables de réfléchir, et plus ils raisonnent à l’affect. La mauvaise maîtrise de la langue rend ainsi les gens stupides et dépendants. Ils deviennent des sujets aisément manipulables par les médias de masse tels que la télévision. (Source Wikipedia)
Voici à ce sujet un article paru dans Polemia et repris par l’Observatoire du Mensonge :
Polemia poursuit sa mission. Le vocabulaire français continue sa révolution et les médias comme les politiques ne perdent pas la main pour inventer de nouveaux mots, de nouvelles expressions ou de nouveaux sens. Nos linguistes, sous la houlette de Michel Geoffroy, toujours en éveil, nous proposent une nouvelle livraison de 204 mots. Le « monde orwellien » découvre et gagne de nouveaux territoires : les « mots trompeurs », les « mots subliminaux », les « mots sidérants »… tombent comme à Gravelotte.
En voici le détail :
ACCUEIL (DES MIGRANTS). Expression trompeuse pour dire « nous sommes incapables de protéger les frontières de l’Europe ». Voir aussi « Afflux », « Welcome ».
ACCORD SALARIAL OFFENSIF. Expression trompeuse désignant la possibilité de baisser les salaires dans une entreprise même si elle est en bonne santé financière, au titre de la loi Macron « pour la croissance et l’activité » de 2015.
ACHETER. Mot sidérant prononcé rituellement de très nombreuses fois par jour par les Occidentaux complètement manipulés par la suggestion publicitaire qui pousse à l’achat compulsif.
ACTE ISLAMOPHOBE. Grand classique de la propagande consistant à faire croire que dans les pays européens et notamment en France les musulmans seraient victimes d’un nombre considérable d’actes violents et « racistes ». Curieusement le fait d’égorger un prêtre célébrant la Messe n’est pas considéré comme un acte « christianophobe ». Voir aussi « racisme anti-blanc ».
ACTIVEMENT RECHERCHÉ. Expression stéréotypée utilisée à chaque fois qu’un attentat a été commis. Ses auteurs sont toujours « activement recherchés », pour suggérer une grande efficacité de la police… qui n’a pourtant pas pu prévenir l’attentat alors que dans la majorité des cas les terroristes étaient « bien connus des services de police » car ils avaient commencé dans le banditisme. Voir aussi « Traque ».
AFFLUX. Mot trompeur pour ne pas dire Invasion (ex. : « A la frontière serbo-hongroise, nouvel afflux de migrants », LeFigaro.fr du 6 juillet 2016). Voir aussi « Augmenter ».
AGRESSION. Mot sidérant utilisé comme prétexte à des grèves à répétition dans les transports publics : les grévistes prennent ainsi en otage tous les usagers, sans toutefois désigner clairement l’identité des auteurs d’agression contre les personnels qui en sont victimes.
ALLONGEMENT (DU TEMPS DE PARCOURS). Euphémisme utilisé à la SNCF pour dire Retard.
AMÉLIORER (VOTRE QUOTIDIEN). Bobard publicitaire cachant la plupart du temps une diminution du service rendu à la majorité des clients ou des usagers.
ANTÉCÉDENTS PSYCHIATRIQUES. Expression rituellement utilisée à chaque fois qu’un islamiste commet un délit, un crime ou un attentat, pour tenter d’expliquer son geste par d’autres motivations que l’islamisme. Voir aussi « Déséquilibré », « Troubles du comportement ».
ANTI-DIFFAMATION. Expression trompeuse désignant l’action d’associations communautaristes qui, dans les pays occidentaux, pratiquent le chantage au racisme pour extorquer des fonds à leurs victimes, avec la complicité des pouvoirs publics et notamment de la Justice.
ANTIRACISME. Mot trompeur signifiant que l’on est très favorable au racisme antifrançais et antieuropéen. Voir aussi « Non-mixité ».
APAISER (LES TENSIONS). Expression signifiant que l’on capitule devant le communautarisme et l’islamisme, donc très prisée par les pouvoirs publics. Voir aussi « Compréhension », « Se soumettre ».
APPRENDRE (A VIVRE AVEC LE TERRORISME). Expression destinée à cacher l’impuissance et la complaisance de l’oligarchie vis-à-vis du terrorisme islamiste : selon elle ce terrorisme serait une sorte de fatalité à laquelle il conviendrait de se soumettre (cf. Manuel Valls premier ministre en janvier 2015 : « Les jeunes Français doivent s’habituer à vivre durablement avec la menace d’attentats »).
ARTY. Anglicisme pour désigner une activité qui se prétend « artistique », c’est-à-dire artistiquement correcte.
ATTAQUE*. Terme volontairement général utilisé pour éviter d’employer le mot attentat (ex. LeFigaro.fr du 25 juillet 2016 : « L’Allemagne frappée par une série d’attaques »). Voir aussi « Terrorisme ».
ATTENTAT (DÉJOUÉ). Grand classique de la communication gouvernementale destiné à rassurer les Français sur l’efficacité de notre police contre le terrorisme islamiste. Curieusement, en effet, on annonce souvent qu’un attentat est « déjoué », malheureusement après qu’un attentat réel a été commis…
AUGMENTER. Euphémisme utilisé pour cacher que les gouvernants ne maîtrisent plus les flux d’immigrants (ex. « A la frontière franco-italienne, Vintimille voit les arrivées de migrants augmenter », LeMonde.fr du 10 août 2016). Voir aussi « Afflux ».
BABTOU. Initialement « Toubab », dont « Babtou » est le verlan : terme utilisé en Afrique de l’Ouest pour désigner quelqu’un à la peau blanche. L’apostrophe babtou est reprise par les jeunes des banlieues, souvent de façon péjorative, pour désigner les Français de souche. Son emploi n’est évidemment pas raciste pour les bien-pensants. Voir aussi « kouffars ».
BARBARE/BARBARIE. Euphémisme utilisé pour éviter de désigner l’identité des auteurs d’attentat islamiste commis en France (ex. « Assassiné par les barbares » : titre du Figaro du 27 juillet 2016 faisant référence à l’égorgement par un islamiste du prêtre de l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray). On utilise aussi le terme générique de Terrorisme à des fins identiques. Voir aussi « Terrorisme ».
BELGE. Mot trompeur utilisé pour masquer la dimension musulmane des auteurs d’attentat islamiste commis en France en novembre 2015. Voir aussi « Terroriste français ».
BIENVENUE (EN ZONE PIÉTONNIÈRE). Traduction : réservé aux bobos qui habitent dans le quartier.
BOBO. Pour « bourgeois bohème ». Le bobo est l’incarnation sociologique de l’idéologie libérale/libertaire : il désigne des privilégiés qui méprisent le peuple. Ils ont ostensiblement « le cœur à gauche » pour cacher l’épaisseur de leur portefeuille qui se trouve, lui, bien à droite.
BOUGIE. Arme magique recommandée par l’oligarchie à destination des bisounours, pour lutter contre le djihadisme. Voir aussi « Crayon », « Drapeau ».
BURKINI. Tenue vestimentaire pour les bains de mer et les piscines portée en signe religieux ostentatoire et prosélyte par les jeunes femmes musulmanes.
CAMION (FOU). Expression trompeuse utilisée lorsqu’un djihadiste utilise un camion pour foncer dans la foule : le coupable n’est pas le djihadiste mais… le camion, comme s’il s’agissait d’une sorte d’accident de la circulation. Voir aussi « Tirs ».
CARENCE (AFFECTIVE). Expression trompeuse destinée à justifier de façon compassionnelle les agressions sexuelles commises par les immigrés le 31 décembre 2015 en Allemagne, en présentant leurs auteurs comme des victimes.
CAS ISOLÉ. Expression lénifiante destinée à faire croire que les auteurs d’attentat islamiste constituent une minorité non représentative de la population musulmane ou des immigrants et auprès desquels ils ne recevraient aucun soutien (ex. « Nous ne devons pas porter de soupçon généralisé contre les réfugiés, même s’il y a des procédures qui sont engagées dans des cas isolés », Thomas de Maiziere, ministre de l’Intérieur allemand le 25 juillet 2016). Voir aussi « Acte isolé », « Loup solitaire ».
CASSEUR(S). Personnes se rendant coupables de nombreux délits et dégradations, souvent en groupe, mais bien vues des médias et de l’oligarchie car elles gravitent autour de l’extrême gauche. A ne pas confondre avec les hooligans qui sont des nervis d’extrême droite contre lesquels il faut sévir avec sévérité, surtout s’ils sont russes. Voir aussi « Hooligans ».
CAUCASIEN. Mot désignant les personnes de race blanche en Amérique du Nord ; au Canada comme sur France 2 on trouve qu’il y en a trop parmi les présentateurs de la télévision.
CAUSE (GRANDE CAUSE NATIONALE). Expression sidérante destinée à faire croire que le Pouvoir agit. Les grandes causes nationales se caractérisent en général par leur caractère bisounours ou anecdotique, mais surtout politiquement correct.
CELLULE (D’ASSISTANCE PSYCHOLOGIQUE ). Action de l’Etat lorsqu’il se montre incapable de prévenir le crime : réconforter les victimes et les proches des victimes, à défaut de savoir les protéger. Voir aussi « Deuil national ».
CELLULE (DE DÉRADICALISATION). Dispositif bisounours censé réinsérer dans la société les jeunes islamistes, notamment ceux qui reviennent de Syrie. Ces cellules contribuent en fait à laisser en liberté des individus dangereux. Voir aussi « Radicalisation », « Parcours d’intégration », « Surpopulation carcérale ».
CERTIFIÉ BIO. Tromperie publicitaire destinée à faire croire qu’un produit ou un service respecterait des normes écologiques élevées (ex. L’abattoir de Mauléon, où les animaux étaient maltraités et égorgés sans étourdissement préalable, était certifié bio !). Voir aussi « Vert ».
CHAHUTÉ. Euphémisme pour dire qu’un oligarque a été pris à partie par la population (« François Hollande a été chahuté au Salon de l’Agriculture, LeFigaro.fr du 27 février 2016). La référence au chahut est destinée à suggérer que tout cela est resté bon enfant, ce qui n’est pas forcément le cas. Voir aussi « Sous tension ».
CHARLIE (JE SUIS). Double manipulation politico-médiatique organisée par le Pouvoir suite aux attentats islamistes de janvier 2015 en France, notamment contre le journal Charlie Hebdo, destinée à faire croire, d’une part, que les terroristes s’en prendraient aux « valeurs de la République » et, d’autre part, que celles-ci correspondraient à l’idéologie gauchiste de ce journal. La manipulation a aussi tenté de créer une « union nationale » factice autour de François Hollande, excluant au surplus le Front national. Voir aussi « Daesh », « Je suis ».
CHEF DE FILE. Expression pédante pour désigner le président de quelque chose en suggérant que l’entité en cause serait importante ou nombreuse. Voir aussi « Leader ».
CISGENRE. Barbarisme désignant un hétérosexuel pour les tenants de la théorie du genre.
COMBATTANT. Mot respectueux employé par les dhimmis européens pour désigner un djihadiste. Voir aussi « Djihadiste », « Kamikaze ».
COMMÉMORATION. Activité préférée de l’oligarchie qui, à défaut d’assurer la sécurité des Français, aime beaucoup commémorer la mort des victimes françaises à des fins politiciennes et pour cacher sa responsabilité. Voir aussi « Mémoire », « Recueillement ».
COMMUNAUTÉ. Terme utilisé pour désigner des personnes qui n’entendent pas se définir comme français, mais sur des critères identitaires religieux ou ethniques (ex. « la communauté maghrébine », « la communauté antillaise », « la communauté juive »). Le fait de réduire la France à un agrégat de communautés traduit le projet cosmopolite de suppression des nations. Il exprime aussi la réalité du Grand Remplacement.
COMPLICATIONS. Euphémisme employé à la RATP pour dire que le trafic des trains est perturbé ou interrompu du fait de grèves ou des violences.
CON (PETIT). Définition bisounours du djihadiste Salah Abdeslam selon son avocat belge Sven Mary dans Libération du 26 avril 2016.
CONCURRENCE. Mot sidérant employé par l’oligarchie pour justifier la mise en œuvre de l’idéologie libérale. La concurrence est en effet censée apporter des bienfaits infinis, à la condition d’être « pure et parfaite ». Mais l’oligarchie s’efforce curieusement de se placer hors de sa portée : la concurrence c’est bon pour les autres !
CONNECTEZ-VOUS. Expression publicitaire destinée à valoriser le recours à Internet pour obtenir des biens ou des services, c’est-à-dire en réalité le recours à un mode de communication qui fait l’objet d’une surveillance mondiale.
CONNU (DES SERVICES DE POLICE). Euphémisme désignant un délinquant récidiviste. Voir aussi « Activement recherché ».
CONSOMMATEUR. Mot sidérant destiné à mettre en scène une entité passive formatée à l’achat compulsif par la publicité, mais présentée comme exerçant un choix souverain.
COP (21). Expression sidérante désignant la 21e conférence des parties signataires de l’accord cadre des Nations unies de 1992 sur les changements climatiques, organisée à Paris en novembre et décembre 2015. La promotion de la COP 21 dans les médias a servi à diffuser l’idéologie réchauffiste et à justifier de nouvelles mesures coercitives dans les pays occidentaux, censées nous protéger contre le réchauffement climatique. Voir aussi « Réchauffement climatique ».
CRAYON. Instrument censé lutter contre le terrorisme islamiste lorsqu’il est brandi par les bisounours français en solidarité avec les victimes de l’attentat contre Charlie Hebdo de janvier 2015 à Paris. Le crayon est censé symboliser la liberté d’expression qui est cependant de plus en plus restreinte par le Système. Voir aussi « Bougie », « Drapeau ».
CRIME PASSIONNEL. Expression lénifiante utilisée par la police allemande pour éviter de qualifier comme terroriste l’attentat à la machette commis par un demandeur d’asile syrien à Stuttgart le 24 juillet 2016 (LeFigaro.fr du 25 juillet 2016).
CROIRE (VOULOIR). Verbe souvent employé à la place de penser ou d’affirmer quand il est question des conceptions des membres et responsables du Front national ; on écrit alors que le FN veut croire telle ou telle chose afin de souligner qu’il ne s’agit pas d’un comportement logique et rationnel de ses dirigeants (exemple : article de Olivier Faye dans Le Monde du 6 novembre 2015).
CULTISSIME. Adjectif censé signifier qu’il s’agit d’un bon film.
DAESH. Acronyme désignant l’Etat islamique qui prétend instaurer le Califat et l’application stricte de la Charia dans les régions qu’il contrôle. L’utilisation systématique du terme Daesh par l’oligarchie permet d’éviter de désigner l’identité musulmane des auteurs d’attentats terroristes en Europe. Le mot est aussi utilisé pour tenter de placer sur le même plan populisme et islamisme au motif fallacieux que tous deux menaceraient les « valeurs » occidentales (ex. « Le refus des régions FN c’est le refus à la fois de DAESH et du FN », Ruth Elkrief, BFMTV du 12 décembre 2015). DAESH peut aussi s’écrire sous la forme : DAECH.
DÉBAT (GRAND). Expression trompeuse destinée à faire croire que l’on débattrait démocratiquement des questions de société dans notre pays (ex. « Le grand débat du trans-humanisme »), alors qu’il n’en est rien.
DÉCAPITATION. Terme lénifiant, à prétention technique, désignant les horribles assassinats rituels par égorgement des victimes perpétrés par les islamistes, notamment ceux se réclamant de Daesh.
DÉCOLONIAL. Synonyme d’antiraciste et d’anti-islamophobe pour les associations communautaristes ayant pignon sur rue qui, en réalité, professent un racisme anti-blanc systématique avec la complicité des pouvoirs publics. Voir aussi « Non-mixité ».
DÉCOMPLEXÉ. Euphémisme pour dire « cynique » ; en général s’emploie pour valoriser une posture politiquement correcte (ex. « La droite assume un libéralisme décomplexé », LeFigaro.fr du 22 février 2016). Voir aussi « Pragmatique ».
DÉGAINER. Verbe trompeur employé pour suggérer une mâle détermination du gouvernement (ex. « Manuel Valls dégaine le 49-3 »).
DÉMANTÈLEMENT. Mot trompeur destiné à faire croire que le gouvernement a mis fin à une menace avec vigueur : ainsi on affirme que des filières djihadistes ont été démantelées… pour réapparaître aussitôt (ex. « Cazeneuve à Calais pour annoncer la poursuite du démantèlement de la “jungle” », LeFigaro.fr du 2 septembre 2016). Voir aussi « Attentat déjoué ».
DÉMODÉ. Mot publicitaire sidérant destiné à préparer le consommateur à l’idée d’un nouvel achat pour rester conforme à la mode. Voir aussi « Mode ».
DÉPROGRAMMATION. Mot trompeur pour dire censure (ex. Le groupe Eagles of Death Metal a été déprogrammé du festival Rock en Seine pour avoir tenu des propos jugés islamophobes).
DÉRADICALISATION. Processus mystérieux par lequel un méchant islamiste serait censé redevenir un gentil musulman pacifique et amoureux du genre humain.
DÉSÉQUILIBRÉ (QUI VOULAIT TUER PENDANT LE RAMADAN). Expression trompeuse désignant un djihadiste ou un islamiste (ex. « Rennes : une lycéenne blessée par un déséquilibré qui voulait tuer pendant le ramadan », LeFigaro.fr du 14 juin 2016). Voir aussi « Déséquilibré », « Forcené », « Troubles du comportement ».
DEUIL NATIONAL. Activité préférée du gouvernement socialiste lorsqu’il est incapable d’empêcher une attaque terroriste. Voir aussi « Bougie », « Commémoration », « Recueillement ».
DIALOGUE (DES CULTURES). Expression trompeuse servant de prétexte à l’abandon de notre identité et au développement du relativisme culturel ; traduction : Soumission de notre culture.
DIÈTE (MÉDIATIQUE). Euphémisme pour dire censure médiatique (expression employée par le maire PS d’Evry-Courcouronnes au sujet du silence des médias accompagnant le procès du viol collectif commis le 30 mars 2014).
DISCIPLE (DE BREIVIK). Expression trompeuse inventée par les médias pour tenter de présenter l’auteur de l’attentat commis à Munich, non comme un islamiste, mais comme un admirateur du terroriste norvégien d’extrême droite Anders Breivik et « souffrant de troubles psychologiques » (ex.: « Le norvégien Breivik a-t-il servi de modèle au tireur », 20 minutes.fr du 23 juillet 2016).
DISCRIMINATION. Mot sidérant destiné à délégitimer toute préférence ou toute protection identitaire de la part des Européens de souche (ex. la préférence nationale est considérée comme une discrimination depuis la loi Pleven de 1972). Le principe de « non-discrimination » est utilisé par les partisans de la dérégulation libérale, notamment dans le cadre de l’Union européenne, pour déconstruire toutes les spécificités nationales, présentées à chaque fois comme d’injustes discriminations faisant obstacle à la transparence du marché. Voir aussi « Anti-diffamation ».
DISSIDENT. Mot trompeur utilisé pour désigner les opposants au président Poutine, afin de suggérer que la Fédération de Russie serait assimilable, au plan des libertés, à l’ex-URSS ; en Europe occidentale les opposants au Système ne sont pas qualifiés de dissidents mais de Hooligans ou de Populistes. Voir aussi « Hooligans ».
DIVERTISSEMENT. Autre fonction des médias de propagande consistant à divertir les spectateurs/auditeurs, c’est-à-dire à se rendre maîtres de leur capacités intellectuelles pour les empêcher de voir le monde tel qu’il est ainsi que de prendre conscience de leur propre condition servile – et bien sûr aussi pour les rendre réceptifs à la suggestion publicitaire. Voir aussi « Rire ».
DRAPEAU (TRICOLORE). Objet magique censé protéger contre le djihadisme quand il est accroché à une fenêtre par un bisounours européen ; bien qu’on accroche toujours des drapeaux après qu’un attentat eut été commis, ce qui ne plaide pas pour l’efficacité de cette mesure. Voir aussi « Bougie », « Crayon ».
DYNAMIQUE (DE PEUPLEMENT). Expression trompeuse pour dire Grand Remplacement.
ÉLITE(S). Mot trompeur désignant non pas les meilleurs mais l’oligarchie politico-médiatique au pouvoir depuis trente ans en Occident ; le mot s’emploie par opposition aux populistes (ex. « Les élites toujours en guerre contre Trump », LeFigaro.fr du 9 août 2016). Voir aussi « Populiste ».
ENGAGÉ (ARTISTE). Expression désignant un artiste qui prend des positions conformes au politiquement correct, la plupart du temps pour compenser son manque de talent.
ÉPINEUX. Se dit d’un sujet ou d’une information susceptible de contredire le politiquement correct et l’idéologie bisounours (ex. « L’épineux Traité Transatlantique », LeFigaro.fr du 2 mai 2016). Voir aussi « Délicat », « Inapproprié ».
ÉPINGLER. Se dit lorsque des propos ou des actes politiquement incorrects sont révélés ; on dit alors qu’ils sont épinglés, pour mieux souligner leur caractère punissable (ex. « Les élus républicains de Wissous épinglés pour des propos islamophobes », LeFigaro.fr du 11 mars 2016).
ÉTAT (D’URGENCE). Renforcement des pouvoirs de police administrative et réduction des libertés justifiés par une situation d’urgence nationale et validés par le Parlement. L’état d’urgence a été présenté comme la ferme réponse du gouvernement au terrorisme islamique, suite aux attentats du 13 novembre 2015 à Paris. Mais, curieusement, l’état d’urgence n’empêche pas l’extrême gauche de multiplier les violences en toute impunité, ni les titulaires de fiche S d’aller et venir comme ils veulent, ni les terroristes de frapper. Voir aussi « Fiche S » .
EXOTISME. Mot sidérant utilisé largement dans la publicité pour valoriser ce qui ne correspond pas à la culture et à l’identité européennes. Voir aussi « Nomade ».
EXTRÊME. Adjectif valorisé par la publicité afin de faire croire que l’acquisition de certains produits ou de certains services procurerait une satisfaction très élevée (ex. un goût extrême, des sports extrêmes). Par contre, curieusement, en politique l’adjectif extrême sert à diaboliser les opinions dissidentes. Voir aussi « Extrême droite ».
FAIM (DANS LE MONDE). Expression sidérante destinée à soutirer de l’argent aux Occidentaux et à dédouaner à bon compte la responsabilité des gouvernements des pays concernés.
FAIT DIVERS. Expression trompeuse destinée à cacher le caractère terroriste de certains délits en les présentant comme de simples « faits divers ».
FAMILLE. Le mot doit désormais s’écrire au pluriel, selon François Hollande, car « ce qui est réactionnaire c’est de considérer un seul et unique modèle familial », à propos de la création d’un ministère des Familles (interview au magazine Elle de mars 2016).
FÊTE (DE CEUX QU’ON AIME). Expression politiquement correcte pour Fête des mères dans certaines écoles soucieuses de ne pas stigmatiser les enfants qui n’ont pas de mères.
FICHE S. Procédure policière de signalement de terroristes potentiels ; mais ce signalement est inutile puisqu’on attend que l’intéressé ait commis un délit pour le mettre hors d’état de nuire. La Fiche S ressemble donc à « la machine à détecter les pannes de courant » de l’humoriste Pierre Dac qui s’éteignait quand il n’y avait plus de lumière ! Voir aussi « Etat d’urgence ».
FLOU. Mot trompeur utilisé souvent pour tenter de cacher le caractère islamiste de certains crimes et délits : on insiste alors sur le fait que les motivations de l’individu qui s’en est rendu coupable seraient floues. Voir aussi « Délicat ».
FLOUTAGE (DES IMAGES). Censure des images, notamment préconisée par certains médias au prétexte de lutter contre l’islamisme.
FOOD. Anglicisme pédant pour dire gastronomique, ce dernier mot faisant sans doute trop français pour les bobos (ex. « Les sept événements food de la rentrée à Paris », LeFigaro.fr du 1er septembre 2016). Voir aussi « Running ».
FORCENÉ. Mot trompeur pour désigner un terroriste islamiste. Voir aussi « Déséquilibré ».
FOU FURIEUX. Euphémisme utilisé pour éviter de désigner l’identité islamiste du terroriste ayant foncé dans la foule à Nice le soir du 14 juillet 2016. Voir aussi « Camion fou ».
FRANÇAIS DE SOUCHE. Expression politiquement incorrecte ne recouvrant en outre « aucune réalité légale, historique, biologique ou sociologique », selon le Tribunal correctionnel de Paris le 19 mars 2015, jugement confirmé en appel en décembre 2015.
FRATERNITÉ. Mot trompeur signifiant aujourd’hui société multiculturelle ; la référence à la fraternité a été utilisée suite aux attentats islamistes pour faire croire qu’elle serait une réponse appropriée au terrorisme (ex. « Nous vaincrons par la fraternité » : slogan vu le 30 juillet 2016, qui rappelle aussi « Vous n’aurez pas ma haine »). Voir aussi « Tous unis contre la haine ».
FRONTIÈRES (SANS). Expression marquante de l’idéologie dominante qui prétend que la destruction des frontières – en réalité des nations – apporterait paix et prospérité pour tous, alors qu’en réalité elle apportera l’esclavage pour tous.
FUCK THE CHURCH. Expression ordurière employée par les Femen contre les catholiques, et pour cette raison parfaitement tolérée au nom de la « liberté d’expression » par le Tribunal correctionnel de Paris en février 2016. Les Femen se gardent bien d’affirmer « Fuck the Mosque » ou « Fuck the Synagogue », évidemment.
FUSILLADE. Expression suggérant que tireurs et victimes ont échangé des coups de feu, alors qu’en général seuls les agresseurs ont tiré (ex. « Deux morts après une fusillade en plein jour à Marseille », LeFigaro.fr du 8 août 2016). Voir aussi « Tirs ».
GARDE A VUE. Expression sidérante utilisée dans les médias pour faire croire qu’une personne va être condamnée en justice alors qu’il ne s’agit que d’un simple acte de procédure qui ne préjuge pas de la suite ; on utilise aussi le terme « perquisition » dans le même sens. Voir aussi « Perquisition ».
GAZ. Mot sidérant employé à des fins compassionnelles quand des immigrants sont concernés (ex. « A la frontière macédonienne on a utilisé des gaz lacrymogènes contre les migrants »). Par contre, quand il s’agit de manifestants autochtones, la police n’utilise que des « aérosols lacrymogènes », nuance ! Voir aussi « Aérosols lacrymogènes ».
GERMANO-IRANIEN. Expression désignant un terroriste musulman opérant en Allemagne (ex. « Fusillade à Munich : le tireur était un Germano-Iranien de 18 ans », LeFigaro.fr du 23 juillet 2016). Voir aussi « Belge ».
GUERRE (EN). Expression trompeuse dans la mesure où l’oligarchie refuse obstinément de désigner l’ennemi contre lequel elle se prétend « en guerre » et où, au surplus, elle ne se prépare pas du tout à livrer cette guerre. L’utilisation du mot guerre a pour fonction de masquer l’identité de ceux qui frappent l’Europe (ex. « L’Europe en guerre », Le Parisien du 23 mars 2016 au lendemain des attentats islamistes de Bruxelles). Voir aussi « Chef de guerre », « Terrorisme ».
GUERRE CIVILE. Nouveau bobard de l’oligarchie consistant à faire croire que la principale menace sur la paix civile en France proviendrait, non pas de l’islamisme ou du terrorisme, mais des agissements de « l’ultra-droite » ou de la volonté des Français d’assurer eux-mêmes leur sécurité compte tenu des carences de l’action publique en la matière (cf. « Ce qui nous menace, c’est la montée des populismes », François Hollande le 14 juillet 2016) – alors qu’en réalité c’est l’oligarchie qui ouvre la voie, avec le multiculturalisme et une politique migratoire suicidaire, à la guerre ethnique en Europe.
GOURMANDISE. Défaut encouragé cyniquement par la publicité. Voir aussi « Gourmand ».
HOME JACKING. Anglicisme désignant une agression violente au domicile de la victime volée, perpétrée par des bandes organisées. Leur nombre a augmenté en France de 20 % en 2015.
HONTE. Mot sidérant annonçant habituellement une mise en accusation pour commission d’un « crime par la pensée » ou destiné à préparer l’opinion à des mesures conformes à l’idéologie cosmopolite (ex. « La jungle de Calais est une honte pour la France »).
HOOLIGAN. Terme mensonger destiné à diaboliser des manifestants en faveur d’une cause politiquement incorrecte. En URSS le terme hooligan servait de même à déconsidérer les opposants au Système soviétique. Voir aussi « Casseurs ».
IMAGE (CHOQUANTE). Image censurée par les médias quand elle va à l’encontre de l’idéologie dominante ou quand elle risquerait de réveiller l’opinion européenne (ex. les images des victimes de l’islamisme en France sont toujours considérées comme choquantes). Par contre, la photo du petit Aylan mort sur une plage n’était pas choquante, car elle a servi à sidérer l’opinion occidentale afin de lui faire accepter les quotas de migrants voulus par le gouvernement allemand.
INAPPROPRIÉ. Synonyme de politiquement incorrect et donc de censurable (ex. « propos inappropriés »). Voir aussi « Délicat ».
INDIVIDU. Terme neutre utilisé pour éviter d’identifier les auteurs de délits. Voir aussi « Jeune ».
INITIATIVE (POUR LE COURAGE CIVIL). Expression pédante désignant l’accord entre Twitter, Google, Facebook pour censurer, à la demande du gouvernement allemand, les messages critiquant l’immigration et l’islamisation au motif qu’ils seraient « haineux ».
INSOLENT (INSOLENCE). Terme trompeur lorsqu’il est appliqué à un intellectuel ou à un « artiste » car en général sa prétendue insolence n’est qu’une forme d’obéissance au politiquement ou à l’artistiquement correct. Voir aussi « Renverser les tabous ».
INTERPELLATION(S). Mot trompeur destiné à faire croire que des auteurs de délits seront traduits en justice, alors que dans la majorité des cas ils sont ensuite relâchés.
ISLAM (DE FRANCE). Expression trompeuse pour dire islamisation de la France, avec le concours des pouvoirs publics.
ISLAMOPHOBIE. Mot sidérant destiné à diaboliser et à censurer toute critique de l’islam ou de l’islamisation de l’Europe. La référence à la phobie sert à faire croire que ceux qui refusent ou s’inquiètent de l’islamisation seraient de dangereux malades. Voir aussi « Musulman ».
ISOLÉ (ACTE). Qualificatif trompeur signifiant en réalité répété, quand il caractérise des actes islamistes. Voir aussi « Loup solitaire ».
JE SUIS (…). Expression stéréotypée initiée par les agences de communication gouvernementales lors des attentats de janvier 2015 contre notamment le magazine Charlie Hebdo ; les bisounours et les bobos prétendaient ainsi marquer leur solidarité avec les victimes en arborant un badge « Je suis Charlie ». La formule a été utilisée pour d’autres attentats (ex. « Je suis belge »). Elle est destinée à gommer toute référence aux auteurs islamistes de ces attentats en se focalisant sur les seules victimes. Trad. : « Je ne fais rien contre le terrorisme islamiste ». Voir aussi « Charlie ».
KOUFFAR (PAYS DE). Définition de la France pour le rappeur Black M. Kouffar, pluriel de kafir, est le terme arabe méprisant pour dire mécréants. Mais ce n’est bien sûr pas une affirmation raciste ni europhobe, ni christianophobe. Voir aussi « Babtou ».
LEADER(S) DU MONDE. Expression trompeuse traduisant la prétention des chefs d’Etat occidentaux, sujets des Etats-Unis, à continuer de diriger l’humanité, alors que le monde devient, au contraire, chaque jour plus multipolaire et chaotique
LÉGITIME DÉFENSE. Expression taboue. La légitime défense n’est quasiment jamais reconnue par la justice lorsqu’elle est invoquée par des Français de souche.
LIMITES (DÉPASSEZ VOS). Expression publicitaire destinée à valoriser la fuite en avant incessante dans toujours plus de consommation. Voir aussi « Extrême ».
LOCATAIRE (DE MATIGNON). Expression alambiquée pour dire « premier ministre », insistant sur le caractère révocable de la fonction.
LUTTE (EN). Expression emblématique de l’extrême gauche qui se prétend toujours en lutte contre le capitalisme ou le pouvoir ; en réalité, cette lutte n’en est pas une car les gauchistes sont au service de l’oligarchie et en tout cas elle est sans risque pour les prétendus lutteurs. Voir aussi « Extrême gauche ».
MAJORITAIRES. Synonyme de Français de souche, dans certaines études de l’INED. Voir aussi « Natif ».
MANIFESTATION (NON DÉCLARÉE). Expression politico-médiatique employée pour justifier la répression policière des manifestations politiquement incorrectes (ex. la manifestation des identitaires à Calais le 12 mars 2016 a été réprimée car elle… n’était pas déclarée ! Par contre, les immigrants irréguliers de Calais ont tout à fait le droit de manifester).
MARGE (EN). Expression stéréotypée utilisée lorsqu’une manifestation politiquement correcte débouche sur des violences de la part de casseurs : on dit alors que ces violences ont eu lieu en marge, comme pour suggérer qu’elles sont indépendantes de la cause défendue par les manifestants (ex. « Violences en marge de Nuit Debout à Paris »). Lorsque la manifestation est politiquement incorrecte on dit, par contre, qu’elle a donné lieu à des incidents. Voir aussi « Incidents », « Casseurs », « Débordements ».
MEILLEUR. Mot publicitaire sidérant destiné à faire croire au consommateur qu’on lui fournit des produits de qualité.
MELTING-POT (creuset, en anglais). Expression trompeuse destinée à faire croire que les Etats-Unis seraient un modèle de société multiculturelle, alors qu’en réalité la ségrégation sociale et ethnique y est très présente. La référence au mythe du melting-pot sert à justifier le discours sur le « vivre-ensemble » et l’immigrationnisme en Europe, alors qu’en réalité le melting-pot n’existe plus nulle part.
MENACER. Verbe trompeur utilisé à la place de mettre en garde (ex. « En Corse, le FNLC du 22 octobre menace Daech », LeFigaro.fr du 28 juillet 2016).
MIGRANT CLIMATIQUE. Expression trompeuse destinée à justifier un nouvel afflux d’immigrants irréguliers en Europe, cette fois au prétexte du réchauffement climatique.
MINEUR ISOLÉ. Expression compassionnelle désignant de jeunes immigrants illégaux bénéficiant de l’impunité judiciaire au motif de leur minorité. Mais curieusement certains de ces « mineurs » semblent très matures dans leur comportement, notamment sexuel.
MOBILE (POLITIQUE). Expression lénifiante pour désigner un attentat djihadiste (ex. « Le mobile de l’attaque serait politique », à propos de l’attentat au couteau commis par un « Allemand de 27 ans au cri de Allouha Akbar » dans une gare bavaroise, LeFigaro.fr et AFP du 9 mai 2016). Voir aussi « Flou ».
MONDE (CHANGE). Expression stéréotypée employée par l’oligarchie (« Le monde change ») pour justifier le bouleversement de la société conformément à ses intérêts ; on dit aussi « Le monde bouge » dans le même sens.
MUSULMAN. Mot sidérant désignant l’adepte d’une religion de paix et d’amour hautement respectable en Europe ; le musulman enrichit notre culture bien qu’il soit victime d’injustes discriminations de la part des Européens de souche. Nota : il est bien-pensant de dire que « les musulmans sont les principales victimes du terrorisme » et on ne doit jamais utiliser le mot « musulman » pour évoquer l’identité des terroristes islamistes. Le mot « musulman » ne doit être utilisé que dans un sens positif, sauf à se rendre coupable d’islamophobie. Voir aussi « Islam », « Islamophobie », « Radicalisé ».
NATION BUILDING. Anglicisme traduisant la prétention occidentale à créer de toutes pièces une société « démocratique », au mépris de l’histoire et de l’identité des peuples, le plus souvent suite à une guerre qu’ils ont conduite contre ladite société. Le nation building a en réalité échoué partout où on a prétendu le mettre en œuvre, notamment en Irak ou en Afghanistan, et a débouché sur le chaos et la progression de l’islamisme.
NATIONS UNIES. Expression trompeuse désignant l’organisation internationale qui fut longtemps dominée par les Occidentaux afin d’imposer leur domination et de jeter les fondations d’un gouvernement mondial.
NATURE. Mot sidérant servant d’argument publicitaire et de justification à la mise en œuvre des programmes écologistes (au motif de la préserver). Curieusement, la seule nature dont il ne faudrait pas tenir compte serait la nature humaine. Voir aussi « Nature humaine ».
NEUTRALISER. Verbe signifiant réduire au silence pour les services spéciaux ; de nombreux djihadistes sont ainsi neutralisés après avoir commis leur attentat, ce qui permet peut-être d’éviter les révélations d’un procès public.
NEW YORK. Expression sidérante incarnant le summum de la culture pour l’idéologie dominante ; porter des vêtements faisant référence à New York constitue un signe d’allégeance à la Bête.
NIQUE (LA FRANCE). Expression ordurière très en vogue chez certains rappeurs mais absolument dénuée de tout contenu raciste pour la justice et les ligues de vertu « antiracistes ». Voir aussi « Baptous », « Kouffar ».
NO BORDERS. Organisation gauchiste ultra-violente et cosmopolite qui apporte son aide aux immigrants quand ils franchissent irrégulièrement les frontières européennes. L’organisation est notamment financée par l’Union européenne et George Soros.
NON-MIXITÉ. Expression trompeuse signifiant interdit aux Blancs, utilisée pour le « camp d’été décolonial » organisé par des organisations communautaristes en août 2016 à Reims. Il convient de noter que ses organisateurs n’ont fait l’objet d’aucune poursuite pour discrimination.
NOUNOU. Euphémisme trompeur pour désigner l’assassin d’un enfant à Moscou, une femme voilée, qui déclare avoir agi à la demande d’Allah : « Une nounou décapite un enfant et brandit sa tête dans les rues de Moscou », LeFigaro.fr du 29 février 2016. Voir aussi « Décapitation ».
NUIT. Mot fétiche du culturellement correct (ex. « Nuit des musées », « Nuit blanche »). NUIT DEBOUT. Manifestation gauchiste bénéficiant pour cette raison de la bienveillance du Système, car elle sert à détourner l’attention des vraies préoccupations populaires. Voir aussi « Extrême gauche ».
OPPOSANT (POLITIQUE). Qualificatif uniquement employé pour désigner celui qui défend une cause politiquement correcte ou conforme aux intérêts de l’oligarchie occidentale. Voir aussi « Hooligan », « Militant ».
PARACHUTE (DORÉ). Rétribution exceptionnelle que les dirigeants des grandes entreprises mondialisées se font attribuer au cas où il serait mis fin à leurs fonctions. Ce qui ne les empêche nullement de proclamer que « l’emploi à vie c’est fini » ou de réclamer un démantèlement de la protection sociale des salariés. Il est d’usage pour la classe politicienne de réclamer périodiquement une moralisation de ces pratiques, mais sans effet pratique. Synonyme : Privilège.
PARCOURS CITOYEN. Expression valorisant les différentes étapes d’une rééducation politiquement correcte de la population. Voir aussi « Parcours d’intégration ».
PASSAGE (A L’ACTE MORTIFÈRE). Définition alambiquée de l’attentat commis par Mohamed Lahouaiej-Bouhlel à Nice le 14 juillet 2016, selon le procureur de Paris François Molins (le 22 juillet 2016).
PATRIOTE. Mot tabou s’il concerne un Français ; en novlangue on utilise plutôt les termes « nationaliste », « xénophobe » et surtout « d’extrême droite » afin de disqualifier le patriotisme. Voir aussi « Patriote venu d’ailleurs ».
PAUMÉ. Qualificatif lénifiant souvent employé quand un jeune commet un crime ou un délit, pour suggérer qu’il n’aurait finalement pas conscience de ses actes et que ce serait lui la vraie victime. L’expression a même été utilisée aussi pour désigner l’un des assassins djihadistes du prêtre de l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray en juillet 2016. Voir aussi « Jeune ».
PERCÉE. Mot subliminal employé lorsqu’un parti identitaire ou populiste progresse aux élections ; le mot a une connotation militaire comme pour souligner le caractère agressif et donc dangereux de cette progression.
PERSONNE (PERÇUE COMME NON BLANCHE). Expression alambiquée désignant les personnes de couleur par la secrétaire d’Etat à l’Egalité réelle, Ericka Bareigts. Voir aussi « Caucasien », « Non-mixité », « Race ».
PERQUISITION. Mot sidérant désignant une étape dans une procédure judiciaire, mais présentée dans les médias comme une présomption de culpabilité (ex. « Perquisition au siège du Front national »). Voir aussi « Garde à vue ».
PERVERS (NARCISSIQUE). Penchant naturel d’un homme pour la pudibonderie féministe.
PÉTER (LES PLOMBS). Expression lénifiante utilisée quand un individu de religion musulmane se met à commettre un acte violent, ce qui est, bien sûr, extrêmement rare et ne peut donc qu’être accidentel ou maladif. Voir aussi « Coup de folie », « Paumé ».
PISTE. Terme d’origine policière utilisé pour différer le plus possible l’affirmation d’une réalité politiquement correcte (ex. « La piste terroriste n’est pas exclue »).
PLAIE (AU COU). Euphémisme utilisé par Le Figaro pour ne pas dire que la victime du terroriste de Magnanville a été égorgée, le 13 juin 2016. Voir aussi « Décapitation », « Tué ».
PLAN. Mot sidérant destiné à suggérer que le gouvernement déciderait d’agir fermement contre quelque chose (ex. « Valls dégaine son plan anti-djihadiste ») ; en général ces « plans » ne sont qu’un catalogue d’annonces médiatiques de portée variable, rarement suivies d’effets mesurables en outre. Voir aussi « Mobilisation ».
PLAN (DE SAUVEGARDE DE L’EMPLOI). Expression trompeuse désignant un plan de licenciement depuis la loi Macron « pour la croissance et l’activité » de 2015. Voir aussi « Plan social ».
POINT GODWIN. Artifice de propagande consistant à disqualifier une opinion adverse en l’assimilant à un point de vue nazi ou relatif aux « heures sombres de notre histoire ». Le point Godwin (d’après Mike Godwin qui a le premier formulé cette loi) est atteint dans une discussion lorsque, faute d’argument, l’interlocuteur en arrive à invoquer la reductio ad hitlerum. Le recours au point Godwin constitue l’artifice de propagande essentiel de l’oligarchie pour contrer les dissidents.
PRAY FOR NICE. Expression anglophone d’impuissance des bisounours signifiant « Priez pour Nice » : en d’autres termes, priez tardivement pour ceux que l’on n’a pas su protéger du terrorisme islamiste. Voir aussi « Bougie », « Drapeau ».
PRÊTRE. S’il est catholique n’intéresse les médias qu’à la condition d’être pédophile ou mort. Voir aussi « Pédophile ».
PRISE DE PAROLE. Expression pédante destinée à valoriser un chahut gauchiste qui bénéficie de la bienveillance de l’oligarchie et des médias. Voir aussi « Nuit debout ».
PRISONNIER. Mot trompeur pour dire détenu ; la référence à la notion de prisonnier est destinée à provoquer un sentiment de compassion dans le public (ex. « Français, fichés, anciens prisonniers : portrait des djihadistes », Orange infos du 30 juillet 2016).
PROJET. Expression publicitaire désignant l’encouragement à de futures dépenses par l’endettement (ex. publicité bancaire : « Nous finançons vos projets »).
PUDIQUE (MODE). Euphémisme commercial pour dire mode exclusivement destinée aux femmes musulmanes voilées. Voir aussi « Burkini ».
QUENELLE. Mot désignant une spécialité gastronomique d’origine lyonnaise devenu politiquement incorrect depuis que l’humoriste Dieudonné en a fait un geste d’opposition au Système et au sionisme que reprennent ses admirateurs.
QUESTION. Mot marqueur de l’oligarchie qui se complait à évoquer les « question de » ceci ou « question de » cela (« cela pose la question de »), car elle est justement incapable d’apporter des solutions. Voir aussi « Problème ».
RACINES(S). Mot tabou pour les Européens, qui n’ont pas le droit de se réclamer notamment des « racines chrétiennes » de l’Europe. Par contre, le mot est tout à fait politiquement correct s’il est prononcé par un Africain ou un musulman.
RADICALISÉ. Se dit d’un gentil musulman devenu mystérieusement un méchant djihadiste ; curieusement les bouddhistes ou les catholiques ne semblent pas sujets à ce mal étrange. Voir aussi « djihadiste ».
RADICALISATION RAPIDE. Expression trompeuse consistant à faire croire que l’auteur d’un attentat à caractère islamiste serait passé à l’acte très rapidement et donc sans préméditation. Ce bobard a notamment été utilisé pour présenter l’auteur de l’attentat de Nice, Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, alors que l’enquête a révélé qu’il avait préparé son acte depuis un an au moins. Voir aussi « Passage à l’acte mortifère ».
RECUEILLEMENT. Mot sidérant destiné à empêcher toute réaction de révolte contre les attentats islamistes et l’impunité dont bénéficient les djihadistes. Après chaque attentat on est ainsi prié de se « recueillir », ce qui revient à se soumettre et à se taire. Voir aussi « Deuil national », « Marche ».
RÉDUCTION. Mot publicitaire trompeur destiné à inciter à l’achat au motif que le produit en cause verrait son prix réduit. Voir aussi « Soldes ».
RÉFÉRENDUM. Mot tabou dans le cadre de la post-démocratie que la super-classe mondiale met en place. Pour l’oligarchie, ceux qui préconisent le recours au référendum sont toujours de dangereux populistes.
RÉFORMES STRUCTURELLES. Expression synonyme d’austérité lorsqu’elle est invoquée par les institutions financières internationales.
RELOCALISATION. Expression trompeuse signifiant l’hébergement des immigrants aux frais du contribuable et en général contre sa volonté, dans un lieu autre que celui de leur arrivée (ex. « Le gouvernement veut relocaliser des immigrants de la jungle de Calais »). A ne pas confondre avec la remigration qui vise, au contraire, au retour des immigrés dans leur pays d’origine.
RETENIR (CE QU’IL FAUT). Expression stéréotypée servant à introduire, dans les médias, l’analyse politiquement correcte de « l’actualité » qu’il convient d’adopter si l’on veut rester bien-pensant.
RETENUE. Terme valorisant la soumission au politiquement correct de la part de la classe politicienne, notamment après des attentats islamistes : faire preuve de retenue dans ce cas consiste en réalité à ne pas dénoncer les causes réelles de l’islamisme ni à mettre en cause l’action insuffisante des pouvoirs publics.
REVENDIQUER. Verbe utilisé dans une tournure de phrase impersonnelle afin d’éviter d’affirmer le caractère islamiste d’un attentat (ex. « Charleroi : Daesh revendique l’attaque à la machette » pour ne pas écrire que l’agression à la machette était islamiste, Orange.infos du 6 août 2016).
RÉVOLUTIONNER (VOTRE QUOTIDIEN). Expression publicitaire sidérante présentant comme un progrès le fait de bouleverser les habitudes des gens et donc de les déstabiliser (ex. « Entre l’agenda, le journal intime et le calendrier, le Bullet Journal est un outil qui va tout simplement révolutionner votre quotidien », LeFigaro.fr du 19 août 2016).
RIRE. Elément très important de la propagande du Système destiné à démontrer que les gens sont heureux de vivre dans l’ordre libéral/libertaire. Le rire correspond au « happy end » des films américains et remplit la même fonction lénifiante. Les rires qui ponctuent certaines émissions sont même parfois factices car préenregistrés. Bien entendu, pour être accepté le rire doit rester politiquement correct. Les applaudissements remplissent la même fonction que le rire, ainsi que le sourire dans la publicité commerciale (pour suggérer que si l’on achète tel produit on sera heureux ou joyeux). Voir aussi « Humoriste ».
RIXE (A L’ARME BLANCHE ). Euphémisme pour désigner des agressions quand elles ont des Maghrébins ou des immigrants pour protagonistes (ex. « Sisco : la rixe à l’arme blanche a fait cinq blessés », Orange.info du 14 août 2016).
RUNNING. Anglicisme utilisé par les bobos pour dire course à pied (ex. « Jamais les Français n’ont été aussi nombreux à pratiquer le running », LeFigaro.fr du 4 septembre 2016). Voir aussi « food ».
SAISIE RECORD. Expression trompeuse destinée à suggérer une grande efficacité des services de police ou des douanes ; alors qu’en réalité le caractère record des marchandises saisies ne fait que refléter l’augmentation continue des trafics de toute sorte (ex. « Saisie record de méthamphétamines à Roissy », LeFigaro.fr du 2 septembre 2016).
SALUER. Verbe exprimant l’impuissance du politique qui se borne à suivre les événements au lieu de les conduire (ex. « Cop 21 : Hollande salue la ratification de l’accord par Pékin et Washington », le 3 septembre 2016) ; on dit aussi condamne dans le même registre impuissant.
SANS FRONTIÈRES. Expression fétiche de l’oligarchie cosmopolite, qui présente toujours positivement le fait de ne pas rester dans le cadre étroit ou étriqué des nations. Expression synonyme d’apatride. Voir aussi « No borders ».
SATIRIQUE. Se dit d’un journal ou d’une émission qui prétendent faire rire le public, mais à la condition d’être politiquement corrects (ex. Le Petit Journal de Canal+ serait une émission satirique pour LeFigaro.fr du 9 mai 2016). Voir aussi « Humoriste », « Polémiste », « Rire ».
SENSIBILISATION. Mot trompeur pour dire propagande (ex. « Semaine de sensibilisation contre le racisme »).
SEUIL (DE TOLÉRANCE). Expression politiquement incorrecte quand on l’applique à l’immigration ou à l’islam.
SOTTISE. Comportement ou affirmation politiquement incorrecte aux yeux des politiciens « de droite » (ex. Alain Juppé dénonçant en octobre 2015 « la sottise qui inspire la caricature d’une France de race blanche »).
SOUMETTRE (SE). Faire preuve de « compréhension » vis-à-vis du comportement des allogènes et notamment de l’islam. Voir aussi « Apaiser les tensions ».
SULFUREUX. Qualificatif employé pour disqualifier des propos politiquement incorrects ; la référence au soufre vise à suggérer le caractère diabolique des propos visés. Ex. des thèses sulfureuses.
TENDANCE. Mot sidérant utilisé à des fins publicitaires pour annoncer une nouvelle incitation à l’achat (ex. « Les nouvelles tendances de l’année »), ou pour valoriser la soumission au politiquement correct (ex. « C’est tendance »). Voir aussi « Mode ».
TENSION (SOUS). Euphémisme utilisé lorsqu’un représentant de l’oligarchie se fait conspuer par la population (ex. « Visite sous tension de François Hollande au Salon de l’Agriculture le 27 février 2016 », pour ne pas reconnaître que François Hollande s’est fait huer au Salon de l’Agriculture). Voir aussi « Chahuté ».
TENSIONS* INTERCOMMUNAUTAIRES. Expression floue destinée à cacher qui est vraiment à l’origine de ces tensions, et qui sert à placer sur le même plan agresseurs et agressés (ex. « Haute-Corse : tensions intercommunautaires après une violente rixe », MétroNews du 16 août 2016).
TERRORISTE FRANÇAIS. Expression trompeuse dans la mesure où ces terroristes n’ont rien de français car ils haïssent la France. La référence au caractère français du terroriste sert à masquer son identité musulmane. Voir aussi « Belge ».
TIRS. Expression destinée à cacher l’identité des auteurs des coups de feu (ex. « Trois policiers américains victimes de tirs à Baton-Rouge », pour ne pas dire que le tueur était afro-américain). Voir aussi « Attaque », « Camion fou », « Fusillade ».
TOUS (UNIS CONTRE LA HAINE). Slogan bien-pensant et expression trompeuse destinée à faire croire que seules les personnes d’origine étrangère et musulmane seraient victimes du « racisme », et avant tout destinée à détourner l’attention sur le péril islamiste en Europe. Ce slogan correspond aussi à la tentative d’assimiler populisme et islamisme. Voir aussi « Fraternité ».
TRADITION(NEL). Accroche publicitaire destinée à faire croire aux acheteurs potentiels qu’un produit serait conforme aux traditions nationales, notamment culinaires.
TRAVAIL. Mot trompeur pour dire « Salariat ». Voir aussi « Travailleur ».
TROUBLES DU COMPORTEMENT. Expression trompeuse utilisée lorsqu’un individu commet un attentat ou une agression pour tenter de masquer le caractère islamiste de son acte (ex « Un homme qui tirait de la fenêtre de son appartement a été interpellé mardi matin, dans le centre-ville de Cambrai. L’individu encagoulé criait “Allah akbar !” Selon les informations du journal, l’homme souffre de troubles du comportement », Europe 1 du 30 août 2016). On dit aussi troubles psychologiques dans le même sens. Voir aussi « Antécédents psychiatriques », « Déséquilibré ».
TRUBLION. Euphémisme pour dire Racaille (ex. « Andrésy : les policiers agressés par une trentaine de trublions », Le Parisien du 30 juillet 2016). Voir aussi « Festif », « Jeune ».
TUÉ. Terme utilisé afin de cacher que des victimes ont été sauvagement assassinées (ex. « Prise d’otage dans une église près de Rouen ; le prêtre tué », LeFigaro.fr du 26 juillet 2016 ; en fait, le prêtre a été égorgé par les islamistes). Voir aussi « Décapitation », « Plaie au cou », « Image choquante ».
VIGILANCE* (ORANGE). Expression trompeuse destinée à faire croire que les pouvoirs publics pourraient agir pour assurer la sécurité des Français, alors qu’ils se bornent la plupart du temps à constater un état de fait (ex. « Canicule : Météo-France étend la vigilance orange à 37 départements », LePoint.fr du 24 août 2016).
VIOLENCES (POLICIÈRES). Grand classique de l’extrême gauche et des médias de propagande ; la mise en scène des « violences policières » sert à justifier tous les débordements violents, notamment dans les banlieues. A noter que, pour les médias, les participants aux Manif Pour Tous n’étaient, par contre, jamais victimes de violences policières.
VISION (PALÉOLITHIQUE DE LA SOCIÉTÉ). Pour Alain Juppé les salariés qui refusent de travailler le dimanche exprimeraient une « vision paléolithique de la société » (présentation de son programme économique le 10 mai 2016).
WELCOME (Bienvenue en anglais). Expression favorite des dhimmis européens, incapables d’empêcher l’installation violente d’étrangers sur leur territoire (« Refugees Welcome » – bienvenue aux réfugiés – est une expression sidérante et anglophone par laquelle des Européens témoignent de leur soumission à l’invasion migratoire). Voir aussi « Accueil des migrants ».
WORLD TOUR. Anglicisme publicitaire pour dire Tournée mondiale, destiné à faire croire qu’un artiste se produisant dans un pays serait une vedette internationalement reconnue et célébrée.
ZONE D’OMBRE. Expression utilisée pour essayer de suggérer que des faits allant à l’encontre de l’idéologie dominante ne seraient pas vraiment établis (ex. « Le président de SOS Racisme Dominique Sopo […] met notamment en cause le maire PS de Sisco qui, à la suite des violences, a pris un arrêté interdisant les burkinis sur les plages de sa commune alors que là n’est pas l’objet de la rixe sur lequel toutes les zones d’ombre devront être levées », Ouest France du 18 août 2016).
Michel Geoffroy pour Polemia
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