Eh, Manu, faut arrêter les conneries avec EDF !

Les problèmes énergétiques sont trop sérieux et trop stratégiques pour être confiés à Emmanuel Macron !

Alors que la France vit encore, sur le plan énergétique, sur les décisions visionnaires du général de Gaulle et la constance de ses successeurs jusqu’à Nicolas Sarkozy inclus, deux présidents incompétents,  François Hollande et Emmanuel Macron, ont failli réduire à néant la filière nucléaire française.

Sous la double pression des écolos français et de la Commission de Bruxelles soumis aux intérêts de l’Allemagne, ces deux derniers présidents ont commencé à démanteler cette filière d’excellence qui donnait aux entreprises françaises un avantage de compétitivité.

Ils ont aussi durablement affaibli EDF en l’obligeant à vendre son énergie à des pseudos concurrents qui agissent comme de pures parasites.

Mais on sait aujourd’hui, que toutes ces actions faisaient partie d’un grand plan européen de démantèlement complet d’EDF.

La Lettre patriote nous raconte ce qu’a découvert le député socialiste Philippe Brun en enquêtant à Bercy :

« Tous les documents de Bercy prévoient bien un démantèlement d’EDF »

Le député socialiste Philippe Brun s’est rendu à deux reprises à Bercy en vue d’exercer un contrôle sur place des documents sur l’avenir d’EDF. 

Le rapport sur l’opération boursière de nationalisation pour 12,5 milliards de l’énergéticien, bientôt présenté au Palais Bourbon, révèle que le projet Hercule de démantèlement d’EDF demeure le scenario principal, contrairement aux déclarations officielles. Ce mardi, il a mis dans l’embarras l’exécutif lors de la séance de questions au gouvernement.

Le député a répondu aux questions de nos confrères de Marianne.

Philippe Brun : L’administration n’a pas été en mesure de me fournir une quelconque note formalisant, ni même mentionnant, l’abandon du projet initialement intitulé Hercule et désormais rebaptisé “Grand EDF”. Au contraire, toutes les notes préparatoires à l’opération de montée en capital de l’État que j’ai pu consulter évoquent les futures négociations avec les parties prenantes – comprendre la Commission européenne – sur la régulation du nucléaire et la réorganisation du groupe. Par exemple, la note confidentielle du 27 juin 2022 pose bien comme objectif d’ « engager une filialisation de tout ou partie des activités du groupe liées à la transition énergétique ». Difficile d’être plus clair…

Marianne : Mais il n’y a pas de scenario alternatif. Aucun ?

Sur les quatre scenarii fixés, tous passent par le démantèlement. Tous mentionnent la cession de 30 % des actifs du groupe relatifs à la transition énergétique, qui n’est autre que l’acte deux du projet Hercule, quand son acte un, c’est-à-dire la montée au capital de l’État dans EDF, est bel et bien le chemin sur lequel nous sommes désormais engagés. 

Rien n’atteste donc de l’abandon d’Hercule, au-delà du seul intitulé du projet, sinon la parole du ministre Bruno Le Maire.

Est-ce une privatisation qui ne dit pas son nom ?

C’est l’hypothèse la plus probable. Il serait tout à fait possible qu’une fois filialisées les concessions de barrages hydroélectriques et les activités renouvelables, qui ont la plus forte rentabilité, cette filiale fasse appel aux capitaux privés.

Julien Michel pour La Lettre patriote.

Oui, il y aurait urgence à retirer à Emmanuel Macron toute la gestion de la production d’énergie en France !

Tant qu’on y sera, il faudrait aussi lui retirer la lutte contre l’immigration et l’insécurité.

Et aussi la gestion des crises sanitaires … La guerre en Ukraine … L’économie …

Vivement 2027 !