Elisabeth et Ursula même combat … indigne !

Je ne supporte plus
les progressistes et leur arrogance.

Je ne supporte plus ces donneurs de leçons qui, au nom des valeurs de l’Europe, dont on se demande bien dans quel traité elles ont été spécifiées et dont on devine qu’elles sont révisées, au jour le jour, par les seuls progressistes en fonction de leurs « avancées » sociétales.

Je ne me souviens pas, quand j’ai voté NON au traité de Maastricht, que figuraient dans le texte, le droit à l’avortement, la mariage gay, la PMA pour toutes !

Pourtant aujourd’hui, la Hongrie est condamnée parce qu’elle veut s’opposer à la propagande du lobby gay dans les écoles !

Mais il y a plus grave, encore !

Ce qui vient de se passer en Europe autour de la victoire de Giorgia Meloni en Italie est proprement scandaleux. Au nom de ces valeurs « européennes » aussi mystérieuses que contestables, la présidente de la Commission européenne a osé menacé les Italiens de prendre des sanctions contre leur pays si par hasard ils votaient mal !

Cela illustre le peu de cas que font les instances européennes de la démocratie et en quel mépris sont tenus les peuples des pays européens.

C’est un affront fait à l’Italie, un pays fondateur de l’Europe !

On ne peut que rendre un hommage appuyé aux électeurs italiens qui, malgré les menaces et peut-être même pour réagir à ces menaces – ont porté au pouvoir l’Union des droites italiennes.

Ce fut un formidable bras d’honneur à Ursula Von der Leyen et à tous les progressistes de l’Europe.

Mais la Macronie en a rajouté dans l’indignité !

Et voici que la première ministre française, Élisabeth Borne, s’est glissée dans les pas sulfureux de madame Von Der Leyen pour renouveler les menaces de cette dernière.

Ecoutons-la sur le plateau de BFMTV :

En Europe, on porte un certain nombre de valeurs et bien évidemment, on sera attentif (avec) la présidente de la Commission européenne (Ursula von der Leyen), à ce que ces valeurs sur les droits de l’homme, sur le respect des uns et des autres, notamment le respect du droit à l’avortement, soient respectées par tous.

N’est-il pas scandaleux de traiter ainsi un grand pays européen comme l’Italie ?  N’est-ce pas mépriser les électeurs, donc le peuple italien, donc la démocratie ?

Giorgia Meloni n’a même pas encore défini sont programme de gouvernement que les roquets progressistes tentent de lui mordre les mollets. Il s’agit d’un procès d’intention, d’une sorte de mise sous tutelle de l’Italie.

Mais je reste optimiste !  

Je fonde de grands espoirs dans ce changement politique en Italie quand je vois la force de caractère de Giorgia Meloni. Ursula Von der Leyen a vraiment du souci à se faire.

Elle va trouver à qui parler ! Ça la changera des bons petits toutous bien obéissants – Emmanuel Macron et Olaf Scholz en tête – qui lui laissent faire tout ce qu’elle veut à la tête de la Commission.

Il est temps que quelqu’un (ou quelqu’une) se mette en travers de cette femme qui a conduit une politique de santé catastrophique pendant la pandémie et qui joue les va t-en guerre en Ukraine.

Ce que ne comprennent pas les élites françaises et européennes, c’est que si les peuples européens votent de plus en plus à droite, c’est justement à cause des politiques progressistes de plus en plus nocives et fatales à l’identité de ces peuples, imposées par l’Europe.

Il est temps que d’autres pays européens basculent à droite et mettent fin au délire progressiste et ses avatars comme le wokisme ! On peut penser à l’Espagne …

et pourquoi pas … à la France !

Marie d’Armagnac, dans cet excellent article de Boulevard Voltaire a conspué ces élites qui méprisent tant le peuple. En voici des extraits :

Élisabeth Borne, visiblement, elle, sous la tutelle d’Ursula von der Leyen, a une fois de plus fait honte au peuple français. Nos élites sont si déconnectées, si incapables de décrypter, ou même essayer, humblement, de comprendre ce que le peuple italien a voulu dire dimanche dernier : elles ne comprennent déjà pas ce que ressent et vit le peuple français, cette dépossession d’une fierté nationale aujourd’hui perdue, oubliée, cachée ou au moins mise sous le boisseau […]

Et puis il y a, surtout, cette arrogance française, ce sentiment que l’élite, celle qui détient le pouvoir en France, enseigne à toutes les nations les lumières du progrès. Alimenté par des concepts fumeux – les valeurs européennes –, ce piège idéologique de l’État de droit devint la norme tout à la fois morale et juridique : chaque pays doit s’y conformer, abandonnant toute possibilité d’une véritable orientation politique des gouvernants. Au nom d’une « éthique » exclusivement progressiste à la valeur quasi religieuse, l’exercice de la souveraineté populaire doit s’effacer au profit d’une démocratie désincarnée, plastique, aux couleurs bleues et jaunes.

Il est temps de traiter d’égal à égal avec ce pays fondateur de notre civilisation …
… et de l’Union européenne.

Marie d’Armagnac pour Boulevard Voltaire.