Qu’est-ce qui caractérise aujourd’hui nos « élites » ?
– C’est cette capacité à s’autoproclamer élites,
– C’est l’habitude de se coopter entre elles,
– C’est de partager entre elles le mépris du peuple,
– C’est ce refus de reconnaitre ses erreurs.
Ces élites mondialistes portent notamment la responsabilité de l’échec patent de la Communauté européenne.
L’Europe devait protéger les peuples. Elle n’a fait que les livrer à la concurrence sauvage en entrainant la paupérisation de leur classe moyenne.
Il y a longtemps que les peuples d’Europe ont fait ce constat d’échec mais les élites s’entêtent en prétendant que si l’Europe va mal c’est parce qu’il n’y a pas assez l’Europe !
La gestion de la crise sanitaire signe aussi la faillite des élites. Les élites médicales qui n’ont cessé de mentir et de se contredire sur les plateaux télé ont perdu tout crédit auprès de la population.
Les élites politiques auront à rendre des comptes pour avoir empêché les médecins de soigner leur patient et pour s’entêter dans une stratégie tout-vaccin dont l’impasse est chaque jour plus évidente.
Oui, décidément, elles n’ont plus droit à ce titre d’élites !
Voici un article tiré du blog de Maxime Tandonnet qui dénonce la déchéance morale de nos élites :
Le naufrage moral et intellectuel de la France dite d’en haut
Attention! quand je parle ici de la « France dite d’en haut » il est question de l’ensemble de la petite caste de quelques milliers d’individus qui pour une raison ou pour une autre, a accès ouvert aux canaux de la propagande massive que sont devenues les grandes radios et les télévisions de France.
Il est donc évidemment question des hauts dirigeants nationaux (de fait, plus ils sont hauts plus ils sont malades d’une vanité qui les rend stupides et hargneux), des opposants nationaux qui ont pignon sur rue ou sur écrans de télévision, d’extrême gauche à extrême droite inclus. Nous assistons au vertigineux naufrage intellectuel et moral de tout ce petit monde.
Regardez l’affaire Hulot (dont j’ai déjà parlé récemment) avez-vous vu l’un de ces petits s…….ds qui lui baisaient hier les pieds en lui mendiant une once de sa belle popularité, prendre la parole aujourd’hui, non pour le défendre, mais au moins pour rappeler qu’il existe une présomption d’innocence ? Pas un seul, pas un … ce sont vraiment des lâches et des médiocres.
Voyez la gestion de la crise sanitaire, à aucun moment il n’est question de prendre du recul, de s’interroger sur les erreurs commises, sur l’efficacité de l’Absurdistan bureaucratique, de poser les questions sur une impuissance sans fin et de reconnaître cette forme d’impuissance pour tenter de rectifier le tir. Non, la seule solution est la fuite en avant dans la gesticulation stérile et toujours cogner plus fort sur les nouveaux boucs émissaires que sont les « non vaccinés » (les jeunes) en démultipliant les contraintes ou les mode d’exclusion et en les désignant du doigt comme les coupables d’un mal que personne ne parvient à maîtriser.
Et puis l’obsession de masquer la tragédie d’un pays – l’explosion du chômage, de la pauvreté, de la dette publique, de la violence endémique, la désindustrialisation – en occultant ces drames dans un grand cirque de grimaces quotidiennes, de mensonges, de provocations toujours plus mesquines ou grotesques, de dissimulations, de coups de menton, de gesticulations vaniteuses et d’annonces pompeuses ou de gestes obscènes.
Et tout cela pourquoi ? la satisfaction d’une sorte de démence vaniteuse consistant à s’installer ou à pavoiser avec de grandes plumes de paon sur le perron ou dans les salons dorés du Palais. Je dis ce que je pense et ressens avec les mots de mon ressenti. Que cela plaise ou non, il est de mon droit sinon mon devoir en démocratie de dire les choses comme je les ressens.
Tel est le contexte électoral, cette exubérance de folie vaniteuse, et impression que tout ce petit monde est prêt à absolument à n’importe quoi – sans aucune limite – pour une place à garder ou conquérir dans la lumière de la démence narcissique.
Et dans le plus absolu mépris de l’intérêt général ou du bien commun de la France.
Maxime Tandonnet dans son blog.
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2 Réponses à “Elles n’ont plus droit à ce titre d’élites !”
Dyssebeia est la mère de Hybris, l’impiété mère de la démesure. Mais Hybris est punie par Némésis.
Il manque à nos zélites un homme qui leur susurre à l’oreille la phrase qu’un esclave disait aux généraux romains lors de leur triomphe; Memento mori.
Cela fait longtemps que le chemin qu’ils prennent vont a l’encontre des interets du peuple, jusqu’au grand remplacement confirmé par mélanchon.
Arrivé a un tel niveau reviens a devenir un ennemi des peuples ou le mepris seul ne suffit pas a l’expliquer.
C’est ce qui explique les 10 000 assassinés au rivotril dans les éhpads, confirmés par Phillipot et Dupont Aignan, les centaines de milliers de morts inutiles causés par le refus de soigner avec la chloroquine, voir sur ce blog, qu’eux ce reserve, confirmés officiellement sur ce meme blog, de radier des milliers de soignant parce que non piqués aux mepris absolu des conséquences et des morts qui s’ensuivront…
Alors je trouve que le mépris est plutot bien leger.
Criminel convient bien mieux au vu de ses exemples, et ce n’est pas fini avec la liste qui s’allonge par leurs fautes.