C’est la sidération qui vous prend lorsque vous lisez le fait divers suivant :
Un jeune marocain majeur multirécidiviste, (déjà 12 condamnations pour des délits très graves – vols en réunion, port d’arme, recel de vol, violences avec arme -) et connu sous 17 identités différentes, vient d’être à nouveau arrêté à Angers pour deux vols successifs avec violence.
Devinez quelle a été sa treizième condamnation ?
Un an de prison dont quatre mois avec sursis et deux ans de mise à l’épreuve !
Cette « sentence » appelle plusieurs questions :
- Comment peut-on être encore en liberté après 12 condamnations quand on a que 18 ans ?
- Qu’attend le juge de cette période de mise à l’épreuve ?
- Quelle est la probabilité que ce délinquant récidive pendant sa mise à l’épreuve ? 90 % ? 99 % ? 99,9 % ?
Attend-on que ce multirécidiviste rencontre des délinquants plus chevronnés pour passer à des délits plus graves comme des braquages ?
Attend-on la prochaine victime qui payerait de sa vie le laxisme des juges ?
A moins, que ce marocain ne passe au terrorisme en copiant le parcours de beaucoup de ceux qui ont frappé la France ?
Rappelez-vous le pedigree d’Amedy Coulibaly le tueur de l’hyper cacher :
Un délinquant multirécidiviste qui n’aurait jamais dû être en liberté après un tel parcours judiciaire, ce qui aurait évité la mort de 4 personnes !
Voici un article du site bladi.net qui m’a alerté sur le cas de ce marocain :
Angers : Hamza, 18 ans, 17 identités, 12 condamnations
Un Marocain résidant en France a écopé d’un an de prison dont quatre mois avec sursis pour avoir commis deux vols violents, dans la nuit du jeudi 29 au vendredi 30 août, au centre-ville d’Angers.
Malgré la plaidoirie de son avocat tendant à démontrer son statut de mineur, le tribunal a décidé de le juger comme un majeur, rapporte courrierdelouest.fr.
La même source indique qu’Hamza qui avait fêté son 18e anniversaire mai 2019, est connu sous 17 identités différentes. C’est un jeune homme né au Maroc mais qui vit en France sans famille. Son casier judiciaire lourd témoigne des douze condamnations qu’il a connues pour vols en réunion, port d’arme, recel de vol, violences avec arme.
Après deux vols violents, il se retrouve à nouveau face à la justice française. Selon les faits, le premier est intervenu le vendredi 30 août au centre-ville d’Angers où Hamza avait arraché avec violence le téléphone portable d’un jeune homme. Le second s’est déroulé le même jour à la rue de La Roë à 21 h 30. Le récidiviste a pris de force la chaîne et la médaille de baptême d’un autre homme.
Face à ces vols à répétition, Me Jean-Noël Bouillaud, qui a assuré la défense du jeune homme, argue en ces termes : « C’est soit un vieux mineur, soit un très jeune majeur. Il est dans une logique de survie, aggravée par le fait qu’il est un consommateur de produits stupéfiants ».
Celui-ci aurait préféré que son client ne soit pas jugé. Mais, Hamza a écopé d’un an de prison dont quatre mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant deux ans. Aussi indemnisera-t-il ces deux victimes. Le jeune marocain purge déjà sa peine.
On parle de fracture entre les élites et le peuple, mais entre la Justice et les Français honnêtes, c’est un gouffre qui s’est creusé !
Le Justice est l’un des piliers majeurs de la démocratie. Quand la logique, le bon sens, la notion même de bien et de mal semblent exclus des décisions de justice, ce pilier est ébranlé !
Il me vient un autre exemple très choquant à l’esprit.
Il y a quelques mois, Valérie Pécresse, présidente de la région Ile-de-France a décidé de supprimer la gratuité des transports (Pass Navigo) pour les clandestins. Et bien cette décision n’a pu être appliquée car le gouvernement d’Edouard Philippe s’y est opposé ! Edouard Philippe qui confirme bien que les juppéistes n’ont jamais été de droite !
Là aussi le simple bon sens est bafoué ! Un clandestin, pour moi, c’est quelqu’un qui n’existe pas administrativement ! Par quel miracle peut-il bénéficier d’un Pass Navigo gratuit ?
Quand on sait le nombre de documents qu’un Français officiellement résident en France doit produire pour obtenir une prestation sociale, on peut s’étonner qu’un clandestin puisse obtenir quoi que ce soit ! Mais, pire encore, ce même clandestin a le droit de mettre ses enfants à l’école et bénéficie de l’Aide Médical d’Etat (AME).
Avec quelle adresse ? Avec quel numéro de sécurité sociale ? S’il est connu administrativement, en tant que clandestin, comment se fait-il que la loi concernant tout clandestin – l’expulsion – ne soit appliquée ? Ce pays ne tourne plus rond !
Je le reconnais, c’est bien un raisonnement de salopard de droite !
Et en plus je n’ai aucune excuse car non seulement je suis à droite mais je suis …
A droite, fièrement !
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