Et si ça n’était pas la faute du CO2

Publié par le 27 Avr, 2025 dans Blog | 0 commentaire

Et si ça n’était pas la faute du CO2 …

Notre époque est celle des escroqueries planétaires !

De partout dans le monde – sauf en France – sortent des informations qui prouvent que la pandémie de covid n’en était pas une et que la vaccination massive n’aurait jamais dû être imposée à des milliards d’êtres humains.

L’Europe est en train de détruire son industrie automobile sur la foi des modèles climatiques du GIEC attribuant au CO2 lié aux activités humaines la responsabilité totale du réchauffement climatique. Ces modèles sont de plus en plus remis en question notamment par l’Association des climatoréalistes. Mais l’Europe continue son suicide !

Voici un article de The Epoch Times qui attirent l’attention sur une autre cause des variations climatiques : les nuages.

Alors que tout un chacun vérifie que, lorsqu’on passe sous un nuage, la sensation de chaleur reçue du soleil, varie sensiblement, il est très intuitif d’imaginer que les variations de la couverture nuageuse sur la planète jouent un rôle important dans la température à la surface de celle-ci !

Une « grande incertitude scientifique »
sur le changement climatique à cause des nuages
et du cycle de réchauffement des océans 

Les nuages ont un rôle crucial dans le réchauffement comme dans le refroidissement climatique. De récentes recherches ont confirmé que les nuages – en l’occurrence une moindre présence de ceux-ci – ont contribué aux records de chaleurs mondiaux depuis 2023.

Ce qui est moins certain, pour les scientifiques, c’est l’évolution des nuages à mesure que la planète se réchauffe. Auront-ils un effet modérateur ou amplificateur ? Et dans quelle proportion ?

Des changements dans le régime des nuages pourraient signifier « un réchauffement beaucoup plus important ou beaucoup moins important » explique Robin Hogan, climatologue au Centre européen pour les prévisions météorologiques à moyen terme (ECWMF). « C’est une grande incertitude scientifique », a-t-il déclaré à l’AFP.

Même constat sur l’évolution de la température des océans qui connaît des changements cycliques tous les 500 ans, indépendamment de l’activité humaine. Les scientifiques prédisent en 2025 une baisse de la température des océans par rapport à leur record de 2015-2016.

D’autres scientifiques, sans remettre en question le réchauffement climatique, n’en attribuent pas uniquement  les causes à l’activité humaine et au CO2. Des propos souvent mis à la marge dans un climat de débat scientifique tendu sur la question.

Les températures record des océans ne reflètent pas une accélération du réchauffement, selon une étude

Les températures record observées dans les océans en 2023 et 2024 ne sont pas le reflet d’une accélération « inattendue » du réchauffement climatique, selon une étude publiée début mars dans la revue scientifique Nature.

Entre avril 2023 et mars 2024, la température de surface des océans a dépassé d’environ 0,25 °C ses précédents records de 2015-2016, et ce, pendant plus d’un an. Depuis, les températures sont redescendues à présent sous leur niveau record.

Ce bond des températures « est très rare » et « nous estimons que ce phénomène se produit tous les 500 ans environ, avec la tendance actuelle du réchauffement », a indiqué à l’AFP Jens Terhaar, chercheur à l’Université de Berne (Suisse), qui a simulé cet événement sur plusieurs modèles climatiques.

Ces températures record avaient fait craindre une accélération du rythme du réchauffement climatique, ce qui n’est pas nécessairement le cas, selon les chercheurs.

« Les scientifiques n’ont jamais cru que le réchauffement [climatique] serait linéaire », explique Jens Terhaar. La plupart des modèles prévoient désormais que les températures des océans retrouveront, d’ici à septembre 2025, des niveaux similaires à ceux observés avant les records.

Les nuages changent sous l’effet du réchauffement, compliquant les prévisions climatiques

Scruter les nuages ne sert pas seulement à prévoir la météo. Pour les climatologues, percer le mystère des évolutions de la formation des cirrus et des stratus est devenu un enjeu clé pour prédire quelle trajectoire va suivre le réchauffement climatique.

Les scientifiques observent que les nuages d’altitude s’élèvent plus haut, avec pour effet de retenir davantage de chaleur dans l’atmosphère. D’autres nuages réfléchissent moins qu’avant la lumière du soleil ou bien leur couverture rétrécit, permettant à plus d’énergie d’atteindre la planète.

« C’est pourquoi les nuages représentent le plus grand défi : les comprendre est le grand obstacle de la climatologie », a déclaré à l’AFP Bjorn Stevens, spécialiste du sujet à l’Institut Max Planck en Allemagne.

Grâce aux observations satellites et à la puissance de calcul des superordinateurs, la modélisation numérique des nuages ne cesse de progresser. Mais la difficulté est grande, car l’influence des nuages diffère selon leur type, leur structure et leur altitude.

Les nuages bas, stratus et cumulus, ont généralement un effet refroidissant : étendus, clairs et parfois épais, ils renvoient la lumière du soleil vers l’espace. Les nuages plus élevés et fibreux, les cirrus, laissent au contraire passer la lumière du soleil vers la Terre.

Selon Bjorn Stevens, les scientifiques s’accordent sur le déclin de la couverture nuageuse mais plusieurs théories s’affrontent sur les causes du phénomène. « La question est de déterminer quelle part est due à la variabilité naturelle – les fluctuations décennales de la nébulosité – et quelle part est provoquée par le réchauffement » d’origine humaine, explique-t-il.

De nouveaux outils devraient pouvoir réduire l’incertitude : en 2024, les agences spatiales européenne et japonaise ont lancé EarthCARE, un satellite révolutionnaire pour étudier le fonctionnement interne des nuages, qui a rejoint PACE, homologue de pointe de la NASA qui avait décollé quelques mois plus tôt.

D’autres hypothèses sur les causes du changement climatique

En 2024, Richard Lindzen, professeur émérite en sciences atmosphériques au Massachusetts Institute of Technology (MIT) était interviewé par Epoch Times.

Selon lui, avant cette question [du changement climatique], la science du climat visait principalement à comprendre le climat actuel de la Terre, représenté par le système de classification climatique de Köppen (classification des climats fondée sur les précipitations et les températures). Ce système reconnaît des dizaines de régions climatiques sur la Terre, et non une seule, et ces régions se comportent toutes différemment. C’est pourquoi l’idée qu’il n’existe qu’un seul chiffre pour la température de la Terre est absurde, selon le professeur du MIT .

Pour Richard Lindzen, il est vrai qu’il y a un effet de serre. Cependant, il est principalement causé par la vapeur d’eau et les nuages. Le CO2, le méthane et l’oxyde nitreux seraient des éléments mineurs provoquant ce phénomène.

L’expert en énergie nucléaire Digby Macdonald a également déclaré sur Epoch Times que :

le CO2 n’est pas le principal responsable des changements de température à l’échelle mondiale.

Selon lui, l’une des raisons du changement climatique est le cycle de Milankovitch – les variations régulières de la trajectoire elliptique de la Terre autour du Soleil. Ce cycle change tous les 100.000 ans et une période glaciaire se produit lorsque l’ellipse est à son maximum, car la Terre reçoit alors beaucoup moins de rayonnement et de chaleur solaire.

Les effets du cycle de Milankovitch, combinés à l’oscillation de la Terre et à l’activité des taches solaires, sont, selon lui, les raisons du changement du climat. « Si l’on se fie aux données historiques, nous passons par ces maxima et minima », a expliqué l’expert en énergie nucléaire.

Selon Digby Macdonald :

tout l’argent dépensé dans des programmes qui accusent le CO2 d’être à l’origine du changement climatique est basé sur la politique, et cet argent serait mieux utilisé pour régler des questions sociétales plus urgentes telles que les soins de santé et le sans-abrisme.

Il a également souligné que :

les données ne confirment pas les rapports publiés par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) – l’organisme des Nations unies qui affirme que le CO2 est le coupable du changement climatique.

Si le GIEC avait raison, a noté cet expert en énergie nucléaire, on assisterait à une situation où le CO2 augmenterait en premier – en étant la cause du réchauffement – et où l’effet serait l’augmentation de la température. Cependant, le GIEC n’a pas fait attention à la relation de cause à effet pour s’assurer que ses conclusions sont valides.  Il a précisé :

J’ai découvert qu’en fait, la température augmente en premier, puis elle est suivie par l’émission de CO2.

Un difficile débat scientifique pris en otage par le politique

Les personnes qui remettent en cause le discours traditionnel sur le changement climatique provoqué par l’homme attirent souvent la colère des tenants de ce discours et sont même qualifiés de « négationnistes » ou de « climatosceptiques », alors qu’une analyse objective montre que le débat sur l’impact de l’activité humaine dans le changement climatique n’est pas totalement réglé.

Dans les journaux, les actualités grand public et les rapports officiels des gouvernements, très médiatisés, vous entendrez rarement des opinions suggérant que d’autres facteurs pourraient expliquer la hausse des températures.

La déclaration d’un consensus à 97 % basé sur environ 12.000 articles approuvant la thèse du « réchauffement climatique causé par l’homme » ne sont « essentiellement tirés de rien, ils ne s’appuient sur aucune recherche crédible » a déclaré Richard Tol, professeur d’économie du changement climatique à la Vrije Universiteit d’Amsterdam.

Les leaders politiques et les organisations de la société civile se rendent compte de l’autorité dont jouit « la science » auprès du public, et ils la reprennent à leur compte. Or, ce n’est pas ça, la science. […] La science est un mode d’investigation. […] Ceux qui prétendent que la science est définitive veulent couper court à tout désaccord parce qu’ils n’ont pas grand-chose à présenter », dit Richard Lindzen, « la science n’est jamais définitive. »

Aujourd’hui, il est presque impossible de publier un article scientifique qui remet en question le discours dominant sur le réchauffement climatique, déplore Richard Lindzen, alors qu’un bon nombre d’éminents scientifiques, tels que des directeurs de laboratoires de sciences de la nature, des chefs de bureaux météorologiques ou d’organisations internationales, ont été muselés depuis le début des années 1990.

Selon lui, d’un côté « le financement [de la recherche sur le] climat a été multiplié par 15 », créant ainsi une nouvelle communauté qui n’existe que grâce à ce discours dominant et ces ressources financières. De l’autre, il n’y a pas de médias grand public qui remettent en question ce discours.

Germain de Lupiac pour the Epoch Times.

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