Contre toutes ces marques infectées par le wokisme …
N’oublions pas une chose :
Elless ont plus besoin de nous, que nous d’elles ! Car nous sommes les clients ! Et le client a toujours raison !
Nous détenons l’arme du boycott alors que de plus en plus de marques ou d’entreprises nous provoquent par leurs publicités et leurs productions toujours plus militantes.
On remarque, par exemple, depuis plusieurs années, l’omniprésence des hommes noirs dans les publicités, toujours représentés auprès de femmes blanches.
Pourquoi jamais une femme noire avec un homme blanc ?
N’y a t-il pas un côté raciste à ce choix délibéré ? On peut se demander si les publicitaires ne pensent pas ainsi valoriser les Noirs en les représentant avec une femme blanche ? Ce serait en effet du pur racisme !
Je ne reviens pas sur l’entrisme du wokisme dans les productions de Netflix et Disney déjà évoqué dans ce précédent article.
La négation de la différence entre les Femmes et les Hommes est au centre du wokisme. L’IREF, dans cet article, prend l’exemple de Calvin Klein :
Calvin Klein et « l’homme enceint » : le règne de l’absurde
Dans la nouvelle campagne publicitaire de la marque américaine de prêt-à-porter, la femme est un homme et l’homme est une femme. Ici, ni déguisement, ni photomontage : c’est vraiment lui qui est enceint.
La photo serait presque ordinaire. Un jeune couple d’amoureux attendant un enfant, les mains enlacées sur des draps blancs, banal et heureux événement. La scène, pourtant, dérange : la femme au ventre rebondi n’en est justement pas une. Une barbe, un torse velu, des traits anguleux, et sous la poitrine, une large cicatrice, signe d’une récente mastectomie. La scène est kafkaïenne et semble tout droit sortie d’une dystopie loufoque, quelque part entre Le meilleur des mondes et Bienvenue à Gattaca. La marque, Calvin Klein, s’impose comme porte-parole — noble ambition — de toutes ces « réalités » de la « famille moderne » : ‘‘Today, in support of women and mothers all over the world, we’re spotlighting the realities of new families’’, lit-on dans les quelques mots qui accompagnent l’image publiée sur la page Instagram de la marque à l’occasion de la fête des mères aux Etats-Unis, le 9 mai.
La femme est le père, l’homme est la mère
L’homme (ou la femme, donc, on ne sait plus) enceint (enceinte ? on ne sait pas non plus, l’Académie n’ayant pas encore tranché sur l’usage 2022 de l’adjectif féminin) se nomme Roberto Bête. Transgenre en capacité de gestation, son corps d’apparence masculine a conservé son appareil génital féminin. Ici, l’homme est donc la mère, si l’on prend la définition du Littré, « femme qui a mis un enfant au monde », tandis qu’Erika Fernandes, mannequin transsexuelle brésilienne qui l’accompagne, est le père biologique de l’enfant que Roberto Bête, son époux (ou épouse ?) porte. A l’équation rajoutons, du reste, que la mère biologique en est en fait le père, puisque née femme mais se définissant comme homme, alors qu’Erika, née homme devenue femme, affirme être la mère, bien qu’elle n’ait pas porté l’enfant. Tout va bien. Tim Cook serait-il un prophète ? L’emoji de la mise à jour iOS 15.4 d’Apple annonçait déjà, en février dernier, un phénomène appelé à se généraliser. Il fallait bien un symbole qui puisse représenter cette nouvelle réalité à une époque où l’on ne communique plus guère qu’à coups d’images. On n’arrête pas le progrès. Le 10 mai, au lendemain de la publication de cette campagne, Roberto accouchait de son fils Noah avant d’annoncer la nouvelle à ses admirateurs sur les réseaux sociaux.
C’est une ode à la maternité qu’a voulu proclamer la firme, au risque de déplaire à tous ceux qui s’érigent contre cette nouvelle idéologie dégoulinante de bons sentiments : qu’importe la morale, pourvu que les gens s’aiment. ‘‘We can reproduce biologically or from the heart… our place is to love and to be loved’’ conclut ainsi la marque. La scène deviendra-t-elle banale ? La récente entrée du pronom « iel » dans la version numérique du dictionnaire Le Robert en était déjà le signe : nous entrons dans une époque où le dualisme des sexes peut être aboli puisque l’on peut désormais choisir son genre, ainsi que celui de son enfant. La coexistence du masculin et du féminin, qui n’était ni fusion, ni confusion, se fond précisément dans ce barbarisme bien-pensant que Le Robert fait entrer dans la langue. Calvin Klein n’en est pas à son coup d’essai, mettant en scène des égéries qui combinent le plus de stigmatisations possibles. Ce fut le cas pour Jari Jones, mannequin noire grande taille et transsexuelle, activiste LGBTQIA-lphabet qui avait incarné le visage de la collection 2020 et qui avait valu à la marque l’approbation des foules, naturellement. Convaincue par cette idéologie woke inclusive et progressiste, contre laquelle on ne peut s’insurger qu’en rejoignant le camp des méchants réactionnaires, la marque avait déjà illustré lors de campagnes précédentes des personnes en cours de « transition » sexuelle. Le mot d’ordre : « inclusivité », néologisme disgracieux ayant pour but de promouvoir l’intégration des minorités. Impossible, dès lors, de s’opposer à ce généreux combat. « Tous les vices à la mode passent pour vertus » constatait déjà Molière dans son Dom Juan.
Pourquoi, dès lors, se révolter contre ce nouveau coup de communication pétri de bonnes intentions ? La marque montre patte blanche à notre jeunesse, notamment, déjà martelée à longueur de temps par ces idées forgées outre-Atlantique et tout droit venues des Etats-Unis. Il ne s’agit pas uniquement d’un phénomène à observer avec curiosité, mais le signe inquiétant d’un glissement sociétal à une époque où l’on fait des désirs de quelques minorités influentes, des droits, puis des lois et une norme. L’idée séduit indubitablement : la capacité de choisir un genre pour y conformer son sexe (si tant est que la distinction soit pertinente) recouvre finalement la tentation de la liberté toute puissante, quoique biaisée, de contrer la nature jusqu’à se choisir soi-même, jusqu’à la métamorphose.
Morgan Afif pour l’IREF.
Aux Etats-Unis, une vague de révolte contre le wokisme s’est levée. En France, nous devons réfléchir à l’utilisation de l’arme du boycott, la seule que ces marques provocantes comprendront !
Elisabeth Badinter, dont je salue une nouvelle fois le courage, a déjà appelé à boycotter les marques qui proposent des vêtements islamiques comme H&M, Mark and Spencer et Dolce & Gabbana.
— Ricky Sacco (@RickySacco5) May 18, 2022
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3 Réponses à “Et si l’on boycottait ces marques « Woke » …”
Contre toutes ces marques infectées par le wokisme …
N’oublions pas une chose :
Elles ont plus besoin de nous, que nous d’elles ! Car nous sommes les clients ! Et le client a toujours raison !
Nous détenons l’arme du boycott alors que de plus en plus de marques ou d’entreprises nous provoquent par leurs publicités et leurs productions toujours plus militantes.
Les dingos qui sevissent partout ou ils passent, impose de force leur ideologie sans tenir compte que l’exposition ideologique abime aussi les enfants et leur equlibre.
L’exposition constante ideologique et en general sectaire, ne sont pas issue d’un debat democratique mais le fait d’un petit groupe qui haissent l’hetersexuel et la normalité et qui impose leur point de vue uiniquement,
en pretendant etre democratique, ce qui n’est absolument pas le cas.
Au tout début de cette déferlante de couleur dans la publicité, je notais les marques pour ne pas en acheter. Au bout de quelques semaines, je me suis aperçue qu’il ne me restait plus grand chose à acheter: je pouvais me passer d’une nouvelle voiture, d’un canapé, mais côté nourriture!
Par contre, pourquoi une femme blanche avec un homme noir, mais enfin, l’anatomie!!!!!!!
Pourquoi un noir avec une blanche ?
C’est clair, il faut faire disparaitre le blanc, on a deja le grand remplacement, c’est dire combien « l’elite » nous aime bien.
Zemmour l’avait denoncé, l’elite deteste la france et les français, plus le temps passe, plus cela devient vrai, c’est pourquoi le peuple n’est pas écouté.
Au nom de l’ideologie du « bien », cela leur permet l’excuse hypocrite de nous l’imposer sous peine de sanction, toujours contre les blancs, jamais contre l’etranger …et …la racaille, ils nous amene a notre perte, et disparition, et malheur a celui qui ce revolterait juste pour vivre normalement et voir le pays continuer avec sa culture car tout debat reel est exclus avec a la place les anathemes habituel de racisme, etc…
Ceux qui nous dirige sont des salauds, pas moins, cela fais longtemps que dure leur manege avec le faut semblant de ne rien voir, jusqu’au journalistes, les français ne sont pas dupes, ils le voient aussi.
Detruire un pays, faut etre une sacré ordure.
Ce n’est qu’hypocrisie de l’etat et de leurs complices les medias avec une paertie de la justice.