Il y a deux ans, je publiais un article intitulé :
Délirant, hallucinant, affolant et un peu angoissant …
Il traitait de la scène hallucinante de cet « homme » qui, sur un plateau télé, refusait qu’on le classe ni chez les hommes, ni parmi les blancs, alors que, visiblement, il avait toutes les caractéristiques d’un homme blanc (voir photo ci-contre) !
On semble être entré dans le siècle du narcissisme exacerbé !
Enormément de personnes passent leur temps à se regarder le nombril, à rechercher et à se trouver des particularités. Jusque là rien de répréhensible !
Mais là où ça dérape, c’est quand ces personnes tiennent absolument à être reconnues – et surtout respectées – par les autres pour ces particularités.
J’avais adoré cette illustration trouvée sur le Net :
C’est ainsi que l’identité de genre a donné lieu à des théories et exigences totalement délirantes.
On peut (on doit même !) dénoncer toutes les intolérances dont sont victimes les membres de la communauté LGBT et ses succursales (Queer, Intersexe, A+, etc …)
Mais en même temps, on a peut-être le droit de refuser que ces membres nous imposent de nous intéresser à leurs particularités, et surtout de modifier notre langage pour adopter leur vocabulaire spécifique et militant.
Avant, le narcissisme consistait à s’aimer soi-même. Aujourd’hui, certains veulent obliger les autres à aimer leurs particularités.
Je veux bien cesser d’affirmer que l’hétérosexualité est la norme mais je refuse d’admettre qu’elle n’est pas naturelle. Voici des millions d’années que les hommes et les femmes s’identifient parfaitement et perpétuent cet accouplement du mâle et de la femelle (pardon Mesdames), ce qui a assuré jusqu’à présent la survie de la race humaine et qui permet, à moi d’écrire ces lignes et à vous de les lire !
Je sais que ces propos vont immédiatement me faire classer chez les homophobes mais j’ai l’habitude depuis mes participations à la Manif pour tous.
Etes-vous genderfluid ?
On entend de plus en plus souvent le terme genderfluid ! En voici une des définitions :
les personnes genderfluid ne s’identifient ni au genre masculin, ni au genre féminin, mais quelque part entre les deux ou encore complètement à l’extérieur de ce continuum. Le genre, comme il est fluide, peut varier dans le temps chez une même personne.
Pour éviter d’aggraver mon cas avec d’autres commentaires, je vous laisse avec quatre vidéos qui illustrent cette notion :
1 – Pour bien comprendre …
Imagine tu portes ton enfant neuf mois pour qu’il te dit je suis genderfluid https://t.co/xg0wn1pivg
— Mlle Petrovah (@PetrovahM) August 17, 2020
2 – Pour tout savoir sur le nouveau pronom : iel
Merci pour l’info, à présent je me sens très culturé pic.twitter.com/biOpLuwekP
— 4kMatter2 (@Luffyuchiwa2) August 26, 2020
3 – Bon, là, ça va être un peu plus agité !
pourquoi elle crie , pourquoi elle s’agite de partout ????? https://t.co/3NDLeTux1z
— meum’s (@hybitchs) August 19, 2020
4 – Quand une « humoriste » … très mauvaise tente de nous éduquer !
Je crois que la gêne a été décuplée par 1000 quand elle a dit «les animaux sociaux que vous avez créés sont encore plus chelous qu’une licorne » avec son ton cynique et moralisateur insupportable.
Noble combat mais la forme n’est pas là :/« Not funny didn’t laugh » https://t.co/1LlN9TkJdk
— 🌱Melany「Mylène」🌱 (@Myaa_68) August 2, 2019
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