Pourquoi n’entend-on pas les néo-féministes
manifester contre la barbarie de l’excision ?
Il est plus facile de clouer au pilori médiatique Adrien Quatennens pour une gifle à sa femme et Julien Bayou pour « violences psychologiques » que de condamner les mutilations de fillettes de son propre électorat !
Et pourtant, on est dans la barbarie la plus abjecte, réalisée souvent dans des conditions sanitaires douteuses et pratiquée sur des mineures en violation de la loi française !
Y aurait-il une cause à défendre plus légitime, plus humaniste ?
Et surtout, qu’on ne me serve pas l’excuse du respect des traditions, pire encore de la « culture » de ces peuples d’Afrique !
Dans l’article de Boulevard Voltaire que je veux partager avec vous, Clémence de Longraye, explique que cette tradition archaïque permettrait « de garantir l’honneur de la famille de la jeune fille et l’honneur du futur mari. »
J’ai lu une origine beaucoup plus ignoble de cette mutilation des femmes. Cette coutume allait de paire avec la polygamie et avait pour but, par l’ablation du clitoris, de réduire le plaisir et le désir sexuel des femmes, permettant ainsi au mari de satisfaire toutes ses épouses.
Quelle que soit l’explication retenue, elle est inacceptable dans notre civilisation !
Toutes ces néo-féministes qui ne défendent plus les femmes, en n’interdisant pas le voile et en ne dénonçant pas l’excision, sont tout sauf féministes ! Elles font passer leur défense aveugle de l’immigration, avec arrière-pensée électoraliste, avant la défense des femmes !
Voici l’article de Boulevard Voltaire :
Excision : bientôt une tradition française ?
Pratique historiquement répandue sur le continent africain, l’excision (mutilation totale ou partielle des organes génitaux féminins, ndlr) se développe depuis plusieurs années sur le sol français. Symptômes d’une immigration continue et d’un communautarisme grandissant, ces mutilations sont l’une des preuves de la faillite de l’intégration.
125.000 femmes excisées
Sur le seul territoire de Seine-Saint-Denis, près de 22.500 femmes adultes (de 18 à 45 ans) ont subi une excision, selon les récents résultats de l’enquête « Mutilations Sexuelles Féminines (MSF) – Préval », menée au sein de plusieurs établissements de santé du département. Au total, en Seine-Saint-Denis, ces mutilations, pourtant condamnées par la loi française de dix ans d’emprisonnement et 150.000 euros d’amende, concernent donc 7,2 % des femmes. Un chiffre bien supérieur aux résultats obtenus dans le Rhône (1 %) et dans les Alpes-Maritimes (0,3 %). A l’échelle nationale, on estime qu’au moins 125.000 femmes sont excisées. Ainsi, malgré le plan national d’action lancé en 2019, cette pratique, qui a plus que doublé en deux décennies, perdure.
Le nombre significatif d’excisions ne doit son augmentation qu’à la submersion migratoire subie par la France depuis plusieurs années. En effet, loin d’être inscrite dans les mœurs françaises, la mutilation des parties génitales féminines est une pratique originaire d’Afrique et majoritairement d’Afrique de l’Ouest. Selon les coutumes locales, cette tradition archaïque, condamnée au niveau international, permettrait de garantir l’honneur de la famille de la jeune fille et l’honneur du futur mari. Santé Publique France estime ainsi que 34 % des femmes nées en Côte d’Ivoire au début des années 1990 ont été excisées. Un pourcentage qui atteint 83 % pour le Mali et 97 % pour la Guinée. Dès lors, il n’est pas étonnant que la Seine-Saint-Denis, département français qui accueille un nombre important d’immigrés (environ 40 %) ait un taux d’excisions supérieur à la moyenne nationale.
Poids de la communauté
Malgré son interdiction en France, de nombreuses familles immigrées continuent de perpétuer l’excision des jeunes filles. Sous « la pression du groupe social d’origine » ou par désir d’entretenir un dogme communautaire, ces familles contournent la loi française et envoient leurs filles se faire mutiler« en Afrique, à l’occasion d’un séjour de vacances », alerte la Fédération GAMS qui lutte contre les violences faites aux femmes. Une étude britannique explique que de nombreuses familles, originaires d’Afrique subsaharienne, préfèrent demander la mutilation de leur filles plutôt que de se conformer à la législation française. Autrement dit, le groupe ethnique d’origine passe avant l’intégration française. Face à ces contournements, le Haut Conseil à l’intégration considère depuis 2011 la pratique de l’excision comme « un comportement culturel inconciliable avec la République ».
Pour lutter efficacement contre les excisions, des élus Les Républicains ont, l’an passé, demandé la création d’un certificat de non-excision pour les mineurs voyageant vers les pays à risque et un rapport détaillé sur les mutilations féminines. Pour l’heure, ces propositions sont restées lettres mortes.
Il faut dire que nombre d’élus, pourtant prompts à dénoncer la domination du « mâle blanc » préfèrent garder le silence sur les excisions pour ne pas froisser leur potentiel électorat …
Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.
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2 Réponses à “Excision : la faillite dramatique de l’intégration”
Je cite :
« Quelle que soit l’explication retenue, elle est inacceptable dans notre civilisation ! »
C’est là que l’on voit l’humanité de l’etat, rien.
A quand l’excision proné par la goche et les pseudo progressistes…
Ces animaux politiques se foutent du monde entier, sauf dans les discours…
I n’a pas encore entendu que c’est un progres, de la part de la goche, mais tout est possible avec ces animaux.
Que fait la pseudo justice ???