Il y a trois semaines, je relayais un article du Saker francophone qui rapportait une audition devant le sénat américain mettant en évidence une explosion des pathologies des militaires américains après la vaccination.
Vaccins : la Grande Muette américaine vend la mèche !
Je reprends aujourd’hui un article de FranceSoir sur le même sujet et les suites données à l’audition.
Aux Etats-Unis où les médias sont moins serviles qu’en Europe, il y a moins d’omerta sur les effets secondaires des vaccins et de nombreux scientifiques et médecins de très grandes renommées ont contredit le discours officiel qui assurait que les vaccins étaient sûrs.
Durant l’audition, l’avocat Thomas Renz a présenté les données de la base de données d’épidémiologie médicale de la Défense (DMED). Il a comparé les chiffres de l’année 2012, l’année de la vaccination massive des militaires américains, à la moyenne des années 2016 à 2020.
En voici un résumé :
Toutes pathologies confondues, le nombre de maladies enregistrées était en moyenne de 2 millions par an, un nombre qui variait peu d’une année à l’autre. L’année 2021 a marqué un tournant puisque ce chiffre est passé à 21,5 millions pour les 11 premiers mois de l’année, ce qui représente une augmentation de 941 %, alors que l’année n’était pas encore terminée. Cette explosion des pathologies recensées n’a pas eu lieu en 2020, année du Covid, mais en 2021, année de la vaccination de masse, les membres de l’armée américaine étant vaccinés à hauteur de 96 %.
L’incidence des fausses couches dans l’armée a connu une augmentation de 300 % par rapport à la moyenne sur cinq ans. Celle-ci était de 1499 cas par an tandis qu’au cours des 10 premiers mois de l’année 2021, elle était de 4182.
Outre ces diagnostics, l’avocat est également revenu sur les problèmes neurologiques croissants, indiquant une augmentation de plus de 1048 % des pathologies neurologiques qui affectent les militaires, passant d’une moyenne de 82 000 par an à 863 000.
Voici un extrait des points les plus inquiétants :
– Une augmentation de 2191 % de l’hypertension
– Une augmentation de 894 % des tumeurs malignes de l’œsophage
– Une augmentation du 680 % de la sclérose en plaques
– Une augmentation de 624 % des tumeurs des organes digestifs
– Une augmentation de 551 % du syndrome de Guillain-Barré
– Une augmentation du cancer du sein de 487 %
– Une augmentation de 487 % des tumeurs démyélinisantes
– Une augmentation de 474 % des tumeurs malignes des glandes endocrines
– Une augmentation de 472 % de l’infertilité féminine
– Une augmentation de 468 % des embolies pulmonaires.
– Une augmentation des migraines de 452 %
– Une augmentation du dysfonctionnement ovarien de 437 %
– Une augmentation du cancer des testicules de 369 %
– Une augmentation de la tachycardie de 302 %
– Une augmentation de 269 % des infarctus du myocarde
– Une augmentation de 291 % des paralysies de Bell
– Une augmentation de 156 % des pathologies congénitale des enfants de militaires
Le cancer a été longuement évoqué durant l’audition au Sénat.
Il a été observé que des patients dont les cancers étaient contrôlés connaissent à nouveau une progression rapide tandis que certaines pathologies présentent des formes étranges plus difficilement identifiables.
Selon la scientifique Theresa Parks, ce phénomène pourrait s’expliquer par la dérégulation immunitaire que ces injections pourraient provoquer notamment au niveau de la protéine P53, un anti-oncogène qui se lie à l’ADN pour favoriser l’expression de gènes pour réparer les dommages cellulaires.
Bizarrement, des données ont brusquement été modifiées !
Depuis la révélation de ces données par Thomas Renz mais également par l’avocate des droits de l’homme Leigh Dundas qui collabore avec lui sur ce dossier, les chiffres ont été changés en fin d’année. Ainsi, les écarts spectaculaires entre les années 2016-2020 et les 10 ou 11 premiers mois de l’année 2021 ont simplement disparu.
Voici quelques exemples avec, à gauche, les données avant l’audition et à droite, les données après :
Il a été expliqué que les chiffres de 2016 à 2020, massivement sous-évalués en raison d’une défaillance informatique, étaient erronés, donnant à tort l’impression que cela a explosé en 2021.
S’il est curieux que personne ne se soit rendu compte de ce bug auparavant, il est encore plus surprenant d’observer que ces changements n’ont concerné que les pathologies pour lesquelles le vaccin aurait pu être la cause d’événements indésirables. En effet, des pathologies comme la maladie de Lyme n’ont fait l’objet d’aucun ajustement.
Suite à ces événements, le sénateur Johnson s’est emparé du dossier en écrivant une lettre au secrétaire de la Défense Lloyd Austin, le 24 janvier 2022, suite aux allégations selon lesquelles les données auraient été falsifiées, lui demandant de conserver tous les documents se rapportant aux données enregistrées dans le DMED.
Si aucune vérité n’a été établie pour le moment, il faudra faire toute la lumière sur le changement soudain de ces données en suivant les interrogations et l’enquête menées par les avocats Thomas Renz et Leigh Dundas et portées par Ron Johnson, afin de savoir s’il y a eu malversations ou pas. Si la falsification des chiffres venait à être avérée, la bataille juridique pour établir la responsabilité vaccinale pourrait prendre des décennies dans un pays qui depuis 1986, a mis en place un système de lois offrant une grande protection aux entreprises pharmaceutiques.
FranceSoir.
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3 Réponses à “Falsification de données vaccinales aux Etats-Unis ?”
Ca ne m’etonne pas du tout !
Il suffit de regarder autour de soi.
On constatera la même chose que ce qui est écrit dans cet article…. Certes à la cuillère à soupe, mais pour toute personne capable de voir et de comparer, c’est une évidence.
Suivant si votre département et/ou canton a eu la « chance » ou la « malchance »d’avoir un lot de placebo ou de dose maximale, vous pourrez constater que rien se produit (tout le monde y va en chantant), ou bien que c’est une hécatombe…
C’est là que l’on voit reellement la prise en compte de la santé sur les peuples et que big pharma s’en fout du moment qu’elle ce remplit les poches.
C’est une corruption totale de big pharma dont son directeur N°2 avait dit qu’il preferait ne pas guerir la population mais faire durer les maladies pour faire monter leurs benefices.
Big pharma est geré comme une entreprise qui doit gagner de l’argent, sur notre dos.