Comme beaucoup d’autres, j’avais accueilli avec soulagement le remplacement du sombre et doctrinaire Benoit XVI par le convivial pape latino François.
Mais années après années, il faut bien déchanter !
Ce fut d’abord des prises de position et de lourdes pressions faites sur les gouvernements européens pour ouvrir en grand les portes à l’immigration.
De plus, le pape, à de nombreuses reprises, a défendu l’islam, souvent au mépris de la réalité historique :
le véritable Islam et une adéquate interprétation
du Coran s’opposent à toute violence.
Rappelons au pape que le Coran est la parole de Dieu et qu’en tant que telle, elle n’admet aucune interprétation humaine !
Ses déclarations rejoignent celles, lénifiantes, de beaucoup de socialistes français tentés par l’islamo-gauchisme :
- Jack Lang : « l’islam, religion de paix et de lumière »,
- VincentPeillon : « Le catholicisme est incompatible avec la liberté, contrairement à l’islam »,
- Christophe Castaner : « L’islam est une religion de bonheur et d’amour »,
- Edwy Plenel : « C’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe »
Mais, plus grave encore, après avoir défendu l’islam, voici que François attaque la chrétienté !
Il est victime du syndrome de la paille et de la poutre …mais à l’envers !
Il ne voit pas la poutre de l’islam pour s’en prendre à la paille de la chrétienté.
Le Pape François accuse les chrétiens d’avoir voulu convertir
les musulmans … alors que ces derniers envahissaient l’Europe !
Un article paru sur le site adoxa.info rapporte cette nouvelle attaque du Pape François contre son camp.
Extraits :
Le Pape François a choisi d’instrumentaliser l’histoire de l’Europe, et en particulier de la France, en citant la chanson de Roland, récit imaginé à partir d’un fait historique réel du VIII ème siècle, pour s’adonner à une surprenante inversion accusatoire contre les chrétiens.
Le dialogue interreligieux est un moyen important de lutter contre les groupes fondamentalistes et contre l’accusation selon laquelle les religions sèment la division.
a déclaré le pape François lors qu’une rencontre avec des membres de l’Institut argentin pour le dialogue interreligieux, le 18 novembre. Rappelant une scène du poème du XIe siècle, « Le chant de Roland », le pape a dénoncé :
la mentalité fondamentaliste que nous ne pouvons ni accepter ni comprendre et ne pouvons plus fonctionner. Nous devons nous méfier des groupes fondamentalistes; chaque (religion) a les siens. En Argentine, il existe certains coins fondamentalistes »,
a-t-il déclaré sans nommer explicitement le fondamentalisme islamique qui tue des dizaines de personnes chaque jour partout dans le monde.
Le fondamentalisme est un fléau et toutes les religions ont un cousin germain fondamentaliste.
En réalité, la chanson de Roland fait référence à des faits d’armes qui se déroulaient en terre occidentale sous domination musulmane. Cette inversion accusatoire permet au pape d’éviter d’une part de dénoncer la véritable menace contemporaine qui se trouve être le fondamentalisme religieux islamique et, d’autre part, de perpétuer sa tradition de repentance éternelle et de soumission idéologique face à l’islam.
Pour comprendre les dangers du fondamentalisme, les chrétiens doivent également réfléchir à leur propre histoire, y compris la guerre de trente ans, qui a débuté en 1618 en tant que conflit entre les États catholiques et protestants, et le massacre de 1572 de la Saint-Barthélemy assisté aux assassinats ciblés de huguenots par des foules catholiques en France.
a-t-il jugé utile de rappeler, sans jamais mettre en garde nommément contre les dangers de l’intégrisme religieux islamique.
En conclusion
Si on ne peut pas nier les exactions commises dans le passé au nom de Dieu et de la religion catholique (Saint-Barthélémy, inquisition , etc …), on ne doit pas oublier non plus tout le travail qui a été fait – notamment au siècle des Lumières – pour réduire la puissance de la religion et la cantonner strictement dans son rôle.
Force est de constater que l’islam n’a pas fait ce travail et a juste
quelques siècles de retard sur la chrétienté dans ce domaine !
Evoquer les errements du passé des chrétiens, sans condamner ni même évoquer les crimes actuellement commis au nom d’Allah est tout simplement malhonnête.
Oui, il y aurait bien des raisons d’excommunier l’imam François !
Faisons également remarquer au Pape François que le précédent blasphème ne devrait pas me valoir des menaces de mort contrairement à ce que j’encourrais en attaquant l’islam.
Amen.
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