Qui osera mettre fin à ce scandale antidémocratique ?
Le parti pris systématique et arrogant des chaines de radio et de télévision du service public pour la gauche et le progressisme n’a fait qu’empirer depuis que Mitterrand, après son entrée à l’Elysée, y avait installé ses affidés.
Oui, quelqu’un devra privatiser l’audiovisuel public !
J’ai d’ailleurs peine à écrire Service public tant ces médias ne sont plus du tout au service de tous les Français. Quant au vocable public, il n’a plus cours puisque toutes les émissions se font dans un entre-soi de personnes sélectionnées pour leur opinions.
Même des événements qui ont vocation à rassembler les Français dans une même communion de pensée, peuvent être dévoyées par les journalistes-militants. C’est ce que nous rapporte Causeur dans un article édifiant :
Comment France 2 a instrumentalisé
Joséphine Baker contre Zemmour
La panthéonisation de Joséphine Baker nous a fait du bien, en cette période gangrenée par le wokisme et ses relents racialistes et anti-universalistes. Mais sur France 2, Nathalie Saint-Cricq et Julian Bugier ont quand même détourné subtilement l’évènement pour accabler Eric Zemmour.
Il y aurait certes beaucoup à dire sur Joséphine Baker, et notamment qu’elle représente l’archétype parfait de l’assimilation telle que bien des Français la souhaitent, voire l’exigent à juste titre, de la part de ceux qui viennent vivre dans notre pays – on dira bien sûr de ceux qui exigent çà qu’ils sont d’extrême droite.
Son amour pour la France lui a fait prendre de vrais risques pendant la Seconde Guerre mondiale, et ne serait-ce que pour cette raison, elle mérite sans doute le Panthéon !
Les accointances des journalistes avec Pascal Blanchard
Mais les journalistes de service, tels qu’ils officiaient mardi sur France 2 pour commenter la cérémonie, par leur façon de conclure l’évènement, ont montré qu’ils étaient prêts à tout pour se hausser du col, se faire bien voir des élites progressistes, LGBT, antiracistes ou décolonialistes (qui avaient d’ailleurs leur représentant sur le plateau en la personne de Monsieur Blanchard).
En effet, comment Madame Saint Cricq, journaliste politique sur le service public, a-t-elle conclu tout cet hommage ? En disant :
Elle était noire, elle était bisexuelle, elle était libre, ça a été prononcé … C’est une certaine idée de la France que tout le monde n’a pas.
Et là, on imagine qu’elle frétillait intérieurement d’avoir osé ce petit coup de patte, destiné incontestablement à la France nauséeuse dont un représentant venait d’annoncer sa candidature. Suivez mon regard… Enchaînement magistral de Julian Bugier, le présentateur, qui se montra alors flagorneur envers la flagorneuse (il a du penser: “pas de raison qu’elle se fasse bien voir et pas moi!”) :
Merci pour l’allusion Nathalie, je n’en attendais pas moins de vous !
Et là, on a vu notre décolonialiste de service rire dans sa barbe, béat de satisfaction.
Le sens du devoir
Tous ces gens-là ont dû rentrer chez eux avec le sentiment du devoir accompli. Ils ont finalement réussi à faire passer leur message, toujours le même. Il y a d’un côté la France antiraciste, de gauche, les LGBTQ, et puis il y a de l’autre tous les autres, la France rance, pouah !
Moi, je dis que conclure l’hommage à une combattante française qui a joué sa vie pour son pays en résumant son être et son âme à « elle était noire, elle était bisexuelle, elle était libre », c’est une instrumentalisation assez ignoble et surtout tout à fait ridicule de sottise. Madame Saint-Cricq, les gens que vous méprisez, ils aiment et admirent Joséphine Baker, et savez-vous ce qu’ils pensent du fait qu’elle fût noire, et bisexuelle ? Ils s’en moquent !!
Pierre Cretin pour Causeur.
Tout d’abord, combien y a t-il de Français d’aujourd’hui, qui connaissent la bisexualité de Joséphine Baker. Et qu’est-ce que ça change dans son parcours courageux et militant ?
Il faut être de la gauche progressiste, comme Nathalie Saint-Cricq, pour y accorder la moindre importance et gâcher ainsi ce moment de communion républicaine !
La question première est de se demander pourquoi France 2 invite sur son plateau, pour l’entrée d’une femme noire américaine qui illustre à merveille la réussite de l’assimilation à la française, un historien militant des thèses post-coloniales.
Pascal Blanchard a en effet fait toute sa carrière sur « l’étude » militante de la colonisation et de l’immigration.
C’est un historien controversé dont l’historien Michel Renard dit :
Pascal Blanchard utilise une image militante du passé colonial qui altère gravement la réalité historique de la colonialité. En la schématisant à l’extrême.
L’invitation d’un tel militant sur une télévision de service public pour un tel événement, n’est pas neutre.
C’est un acte lui-même militant !
J’ajoute ce tweet qui montre le sectarisme d’une figure de France Inter, Sophia Aram. On voit encore là une preuve du féminisme de gauche à géométrie variable :
Cette dingo de #FranceInter est payée avec nos impôts !
Quand va t-on virer ces tarés du service public ?
Et après, ils vont se plaindre d'être virés des meetings ? #ZemmourVillepinte pic.twitter.com/uUUccoEkBJ— Franck le Baulois (@FrkLaBaule) December 6, 2021
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3 Réponses à “Insupportable service public de l’audiovisuel !”
La réponse est presque dans la question puisque la privatisation de l’audio-visuel est clairement dans le programme de Z.
Il faudra aussi nettoyer TF1 qui est devenue aussi pourrie!
Avec toutes les autres chaines !
ignoble : ça se résume à « elle est au Panthéon, parce qu’elle est moire et bi ! » c’est une insulte à ce qu’elle fut. et bien sûr, personne pour le signaler au CSA qui de toutes façons trouverait une excuse pour ne pas s’en mêler.