
C’est un fait, Macron aura été, tout au long de ses deux mandats, le grand fossoyeur des libertés des Français.
Je ne parle pas des mesures liberticides et injustifiées qu’il a prises durant la crise du covid car certains peuvent penser que « c’était pour la bonne cause » ce qui n’est absolument pas le cas !
J’évoque ici toutes ces mesures prises par ses gouvernements et ces lois votées par sa majorité qui bafouent la liberté d’expression comme celle qui encourage la délation des « paroles haineuses » prononcées dans la sphère privée et celle qui enverront les professeurs Christian personne et Didier Raoult en prison à la prochaine pandémie !
Je ne pardonnerai jamais à Gérald Darmanin d’avoir trahi son camp en rejoignant Macron mais plus encore d’avoir pris des mesures hostiles à la droite.
La dissolution du mouvement Génération identitaire qui n’utilise que des banderoles comme armes est un scandale absolu au regard de la non-dissolution de mouvements bien plus dangereux comme les éco-terroristes des Soulèvements de la Terre.
Il y a quelques jours, des militantes pacifiques de Némésis, de vraies féministes, ont été placées en garde à vue et leurs domiciles perquisitionnés pour avoir brandi de simples pancartes demandant l’expulsion des violeurs étrangers.
Et voici que cela vient de se reproduire à Albi comme nous le rapporte cet article de Boulevard Voltaire :
Albi : un jeune de 20 ans en garde à vue
pour avoir dénoncé les « violeurs étrangers »
La justice est réputée surchargée, engorgée, ultra-lente … mais il faut reconnaître que, parfois, elle va tout de même assez vite. Saluons par exemple sa célérité dans une ténébreuse et nauséabonde affaire de racisme, qui avait pour cadre la paisible bourgade d’Albi. Figurez-vous qu’à Albi ce dimanche, comme dans beaucoup d’autres villes, un marathon était organisé … et que, le long du parcours de ce marathon, un jeune homme avait nuitamment inscrit (comme on dit dans la presse africaine) les mots suivants sur la chaussée : « Violeurs étrangers dehors ».
Ni une ni deux, la police a fait son travail et a immédiatement interpellé « Paul, 20 ans », un militant du groupe identitaire Patria Albigès – lequel groupe a immédiatement revendiqué l’action en dénonçant « une véritable persécution ». Il faut dire que le jeune homme est actuellement interrogé dans le cadre d’une « potentielle procédure pour injures publiques en raison de l’origine ethnique ». Quant à la préfecture du Tarn, elle s’est fendue d’un communiqué dans lequel il est dit que :
Bon, alors reprenons.
D’abord, le fait de ne pas vouloir garder sur le sol français des étrangers condamnés pour viol n’est pas particulièrement haineux. C’est même plutôt une idée de bon sens.
Deuxièmement, le fait d’être étranger n’est pas une ethnie. On peut dire que cette inscription est xénophobe, si on veut (et encore, critiquer les étrangers qui violent des jeunes filles autochtones, il n’y a qu’en France que c’est mal vu socialement) – mais elle n’est pas raciste. D’ailleurs, on croyait que les races n’existaient pas. C’est à s’y perdre.
Troisièmement, si la qualification de racisme était retenue, ce serait une manière, pour le Parquet, de reconnaître implicitement qu’il n’y a pas d’Européens, pas de Caucasiens, pas de « whites », de « blancos », comme dirait Manuel Valls, dans la longue liste des violeurs étrangers. Et là, on n’est même plus dans le dérapage : à force de dire la vérité, le parquet basculerait dans le hors piste …
Le même jour, Mathis, 15 ans, était assassiné de cinq coups de couteau dans le cœur par un migrant mineur de nationalité afghane. Le tort de cet adolescent avait été de défendre son téléphone portable. Ces Français sont d’un matérialisme … La semaine précédente, le même migrant afghan avait déjà été interpellé pour un vol avec violence, puis remis en liberté. Il est actuellement en garde à vue avec sa mère, qui est soupçonnée d’être impliquée dans le meurtre. On n’a pas entendu la préfecture de l’Indre « condamner fermement » ni demander « des sanctions judiciaires exemplaires ».
Non, ce qui est scandaleux, aux yeux de l’appareil d’Etat, c’est de faire par écrit le lien entre immigration et délinquance. Et ces gens se trahissent en assimilant cela à du racisme.
Voilà, en somme, pourquoi le courageux Paul, à qui on souhaite silence et force d’âme devant les laquais du vivre-ensemble, est inquiété : parce qu’une vie française ne vaut rien si elle est arrachée ou brisée par un étranger.
C’est cela, le grand non-dit de l’affaire d’Albi, comme de tant d’autres.
Arnaud Florac pour Boulevard Voltaire.




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