Je ne suis pas un fanatique de l’émission de Cyril Hanouna, TPMP, mais il faut reconnaitre que de temps en temps il s’y passe de grands moments de télévision !
Cela a été le cas, tout récemment, lorsqu’un dénommé Moundir, issu de l’immigration maghrébine, s’en est pris violemment à Elisabeth Lévy en lui rappelant – avec une exagération plus que flagrante – le rôle « positif » des musulmans dans l’histoire de France.
La malheureuse Elisabeth Lévy est resté coite devant tant de violence et tant de mensonges servis par son interlocuteur.
Voici la vidéo de l’agression de Moundir :
« Nous Musulmans, on s’excuse… »
La lettre ouverte très touchante de @moundirofficiel – ému – dans #TPMP pic.twitter.com/yOk6Tn2IVH
— TPMP (@TPMP) November 13, 2023
Mais si Elisabeh Lévy n’a pas réagi, une autre femme, Juliette Briens, s’est levée et a laissé le fameux Moundir KO debout en lui rappelant quelques vérités factuelles !
Moundir et Juliette Briens
Cela m’a rappelé une réplique célèbre d’un film cultissime :
Non mais t’as déjà vu ça ? En pleine paix, y chante et pis crac, un bourre-pif, mais il est complètement fou ce mec !
Mais moi les dingues, j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j’vais lui montrer qui c’est Raoul.
Aux quatre coins d’Paris qu’on va l’retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle.
Moi quand on m’en fait trop j’correctionne plus, j’dynamite. J’disperse. Et j’ventile.
C’est Juliette Briens, une influenceuse de grand talent, collaboratrice du magazine L’Incorrect qui s’est chargée de corriger l’insolent et le menteur :
Bravo à Juliette Briens qui remet Moundir à sa place en démontant point par point sa « lettre »
« Les musulmans ont sauvé la France » selon Moundir pic.twitter.com/8lHBSAEuCb— Agathe (@A_ga__the___) November 14, 2023
J’ai déjà rendu hommage à Juliette Briens dans ce précédent article :
Juliette Briens colle au mur les gauchistes anti-France !
Article dans lequel elle détruisait Mathieu Slama, gauchiste compulsif notoire, qui avait violemment critiqué la cérémonie d’ouverture de la Coupe du monde de Rugby, notamment par ce tweet :
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4 Réponses à “Juliette Briens explose Moundir façon puzzle …”
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Emploi en politique
Je regarde rarement l’émission mais là chapeau la petite a du répondant , elle lui a exploser le melon expression qu’elle a lâchée , question comment peut-on inviter des tordus comme Moundir un français uniquement pour les papiers et les aides sociales et l’autre idiot du plateau (le gaucho des caniveaux)dont je ne retiens pas le nom car vraiment débile me fait gerber Mais j’ai pris plaisir a regarder le duel
L’avenir de la france est bien mal partit avec le choc des 2 civilisations ou nos salauds de gouvernements, qui savent tres bien le mal qu’apporte cette religion avec ses buts denoncé par Zemmour, ne font RIEN pour nous aider. Au contraire, ils imposent la bien pensance pour nous empecher de nous defendre avec leurs medias et leurs justice pourrie, ils sont tous contre nous.
De veritables traitres et ennemi qui renie le peuple, ce qui explique le grand remplacement et leur refus de reconnaitre tous les problemes que cela implique lié a l’immigration.
Manque de bol pour les zozos qui racontent n’importe quoi, les indigene n’etait que 6 % dans l’armée…
Donc insufisant pour changer tout, comme d’habitude soit ils ne connaissent pas l’histoire soit il inventent, dans les deux cas, sa parle pour rien.
Les mahométans auraient gagné la Seconde Guerre mondiale et sauvé la France !
https://ripostelaique.com/les-mahometans-auraient-gagne-la-seconde-guerre-mondiale-et-sauve-la-france.html
Un certain Moundir Zoughari dont j’ai découvert l’existence, mais pardonnez mon ignorance je ne suis pas friand des émissions de télé-réalité, s’en est pris à Élisabeth Levy. Une femme qui le surclasse et de loin, au plan de l’intelligence et de la culture.
Élisabeth l’insolente a osé dire : « L’anti sémitisme qui pose un problème aux Juifs vient en général de musulmans. »
Ce à quoi, le Moundir en question lui a répondu : « Nous les musulmans on s’excuse d’avoir sauvé la France lors de la Seconde Guerre mondiale. »
Qu’un individu isolé fasse le malin en racontant n’importe quoi, parce qu’il bénéficie de la complaisance des islamo-gauchistes qui pullulent dans les télés, ne serait pas un problème en soi. La liberté d’expression doit être valable aussi pour les imbéciles et les ignares.
Mon indignation provient du fait que personne n’a vraiment osé lui répondre, en opposant à ses assertions des faits historiques documentés. Et ce silence lâche et honteux ne pourra que nourrir les prétentions de ceux qui considèrent la France et les Français comme redevables à leur égard.
Le rôle des mahométans en France pendant la Seconde Guerre mondiale
Il est indéniable que certains ont été recrutés par les armées coloniales pour aller dessouder du Boche. Mais la présentation actuelle est délibérément biaisée pour les valoriser. Ainsi leurs effectifs sont mélangés avec ceux des métropolitains d’outre-mer, sans distinction d’origine ethnique ni de religion, pour flouter la composition des troupes. Afin de légitimer le nombre sans cesse croissant des mahométans en France.
Très étrangement, ils figurent aux places d’honneur lors de presque tous les défilés et commémorations. Alors qu’on oublie systématiquement les volontaires du bataillon du Pacifique. Européens et Ma’ohis qui sont venus affronter l’Afrika Korps de Rommel, avant de faire les campagnes de Sicile et d’Italie, puis de France.
Quant aux mahométans collabos, on évite d’en parler. Ce ne serait pas très politiquement correct. Or les faits sont établis. Documentés par des historiens de différents pays, au plus grand regret des négationnistes.
Côté algérien, les nazis recrutaient des militants indépendantistes issus du Parti du peuple algérien comme Mohamed Seghir Nekkache, pseudo Slimane Ben Slimane aux ordres de l‘Abwehr. Mais aussi Si Djilani, qui travaillait pour le traître-collabo-délateur Marcel Déat. Sans oublier Saïd Mohammedi engagé dans les Waffen-SS, qui fera par la suite un chef fellagha. Il sera ministre algérien en 1962.
Mais le « meilleur de tous » fut sans conteste Mohamed el-Maadi cofondateur de la Gestapo française avec Henri Lafont. Un musulman auquel les nazis accordaient toute leur confiance. Du fait qu’il avait orchestré les massacres de Constantine du 3 au 5 août 1934, au cours desquels des mahométans fanatiques avaient tué et décapité vingt-cinq juifs (14 hommes, 6 femmes et 5 enfants).
Le Moundir a vraiment de quoi être fier de certains de ses coreligionnaires !
Du côté tunisien, Habib Bourguiba et ses compagnons du Neo-Destour emprisonnés à Marseille depuis les tueries du 9 avril 1938, furent élargis après l’occupation de la zone libre par les Boches, avant que Klaus Barbie les fasse libérer sur ordre de Berlin.
Ils furent ensuite remis aux autorités italiennes à Nice et conduits à Rome le 9 janvier 1943 pour être reçus par Benito Mussolini avec tous les honneurs. Parmi les visiteurs du duce, « l’intellectuel de Bourguiba » Salah Ben Youssef et le collabo algérien Slimane Ben Slimane. Certains de ces sbires seront formés aux techniques du renseignement et du sabotage et renvoyés dans leur pays d’origine pour se livrer à des actions terroristes contre la France et combattre les troupes alliées.
En Orient, Husseini est toujours vénéré par les terroristes
Malgré toutes les tentatives de réécrire l’histoire, on n’a pas encore réussi à effacer le rôle criminel au profit des nazis, joué par Mohammed Amine al-Husseini, grand mufti de Jérusalem. D’autant que ses héritiers spirituels citent comme un exemple à suivre l’oncle de Yasser Arafat. Une famille d’hommes illustres.
En janvier 1937, devant la Commission Peel, Husseini réclame la déportation de la plupart des Juifs de Palestine. Il refuse tout partage territorial, exigeant une Palestine arabe, où des dhimmis juifs seraient tolérés s’ils y étaient installés avant 1914.
En octobre 1939, échappant à la surveillance des autorités françaises au Liban, le mufti est accueilli en héros national à Bagdad, avant de se réfugier en 1941 en Allemagne où il restera jusqu’à la fin de la guerre.
Le 28 novembre 1941, al-Husseini est reçu par Hitler en personne. Lors de leur conversation, Hitler lui expose ses intentions de « persévérer dans un combat sans merci contre les Juifs à l’origine de tous les malheurs passés de l’Allemagne».
Le mufti travaille ensuite à des émissions de radio de propagande, destinées au monde arabo-musulman, où il exhorte ses auditeurs à « tuer les Juifs où qu’ils les trouvent car cela satisfait Dieu, l’histoire et la religion ». Après tout, c’est écrit dans le Coran.
En mai 1943, avec le grade de général de papier, il participe aux recrutements de musulmans des Balkans pour former la 13e division de la Waffen-SS Handschar. Piètres combattants contre la Résistance serbe, mais féroces massacreurs de civils, associés à ceux qu’on appelle Kosovars maintenant.
À l’été 1943, Heinrich Himmler révèle au mufti que « l’extermination des Juifs est en cours et qu’environ trois millions ont déjà été liquidés ». Al Husseini apprécie en connaisseur. Et dans une déclaration publique à Berlin le 2 novembre 1943, destinée à ses fidèles auditeurs, il déclare que « les musulmans devraient suivre l’exemple des Allemands qui ont trouvé une solution définitive au problème juif ».
La France lâche et complice, déjà en 1945
À l’issue de la guerre, Amine al-Husseini recherché par les Britanniques et les Yougoslaves en tant que criminel de guerre, sera protégé par la France. Hébergé avec ses deux secrétaires dans une villa cossue de Saint-Maur-des-Fossés, il pouvait se promener à sa guise, protégé par des flics français, et recevait des repas halal d’un restaurant voisin, avant qu’un cuisinier fut mis à sa disposition par la mosquée de Paris.
Après avoir refusé toutes les demandes d’extradition pour le juger à Nuremberg, la France accorda au grand mufti un sauf-conduit lui permettant le 29 mai 1946 de se rendre dans le pays arabe de son choix. Nanti d’un vrai faux passeport délivré par le Quai d’Orsay. En échange de sa promesse, jamais tenue, d’user de son influence pour calmer des agitateurs mahométans du Maghreb qui avaient massacré des Français en mai-juin 1945 à Sétif, Guelma et Kherrata.
Moundir et Élisabeth, deux CV diamétralement opposés
D’un côté, un mahométan de 50 ans, ancien animateur sportif, amuseur public dans des émissions pour lobotomisés addicts aux télés. Un type qui n’est pas trop allé à l’école (scolarité en partie en Algérie) et à qui sa religion a enseigné que, par droit divin, les mahométans sont appelés à dominer les Koufars. Le soutien de la majorité des médias confits en dhimmitude ne peut que le conforter dans sa croyance.
Sa biographie détaillée expose qu’il s’est marié au Maroc, et a trois enfants, Aliya, Ali et Moundir. Nul ne saurait lui reprocher de maintenir fièrement les traditions de ses origines… À la différences des Gaulois masochistes, honteux du glorieux passé de leurs pères.
À l’opposé, une française de 59 ans, d’origine Séfarade, qui connaît l’Algérie et le Maroc. Ce qui doit en faire d’office une ennemie colonialiste pour tous ceux qui détestent notre pays.
Diplômée Bac + 4, dotée d’un véritable talent polémique et d’écriture, elle a jeté aux orties ses sympathies socialistes de jeunesse, avant d’être journaliste à Marianne et au Figaro. Où elle a dénoncé les préjugés anti-serbes de ses confrères et leur suivisme climatique.
Aujourd’hui elle préside un « think tank » souverainiste et dirige Causeur dont elle fut une des fondatrices. Ce magazine est classé entre droite réactionnaire et extrême droite selon ses confrères bien-pensants. Une preuve d’indépendance d’esprit et de qualité de la rédaction… Le tort principal d’Élisabeth est d’être juive dans une France en voie d’islamisation avancée.
Christian Navis