Justice …

Dans notre précédent blog (Je suis stupide, j’ai voté Hollande), une large place avait été donnée à la Justice.

Et rarement pour en dire du bien !

Il faut dire que la tragique et scandaleuse décision de François Hollande de nommer, place Vendôme, l’archétype de la militante sectaire qu’était Christiane Taubira, a motivé beaucoup d’articles.

On ajoutera à cela le terrible acharnement de la justice contre Nicolas Sarkozy et le scandale absolu du « mur des cons », pour se convaincre qu’il y a, légitimement, beaucoup à dire contre notre justice.

Dans ce cadre, je vous propose ce matin un billet que Christian54 m’a fait parvenir. Un billet écrit en 2014 mais qui garde aujourd’hui toute sa pertinence :

Françoise Martres, présidente du Syndicat de la magistrature, devant son sinistre « mur des cons »

Quel beau mot ! Quel idéal philosophique ! Quel but noble !

Mais, au fait, c’est quoi la Justice ? A part une jolie dame, les seins à l’air et les yeux bandés, tenant une balance mais incapable de s’en servir. Somme toute une utopie … Mais de nature à en faire cavaler, des nigauds.

Le pire, c’est qu’elle est rendue (au passage, je ne savais pas qu’elle avait été confisquée) par des juges. Et c’est là tout le drame.

Les juges ont fait de la justice un scandale absolu. Au lieu d’être des exemples aux yeux de tous, ils sont, pas tous mais beaucoup, exécrables. Rectification, ils le sont tous, car leur corporatisme d’un autre âge les aveugle, leur obère tout sens moral, les rend méprisables.

Vous avez la mémoire courte : souvenez vous de l’affaire d’Outreau, de cet inénarrable juge Burgaud qui a bâclé une instruction, dont la hiérarchie n’a pas su l’encadrer mais qui, du haut de ses stupides certitudes juvéniles a saboté son travail et fait inutilement souffrir des innocents. Il en a résulté un immense scandale, qui a eu pour conséquence le déclenchement d’une enquête parlementaire, abondamment télévisée. On a ensuite attendu, en vain, que des sanctions soient prises. Hélas, comme cela était prévisible, il n’en a rien été.

Le corporatisme des juges a fonctionné à fond. Le juge fautif a quasiment été exfiltré de la scène médiatique, a été, du bout des lèvres, tancé pour ses erreurs, puis a poursuivi sa carrière sans histoire.

Incroyable, mais vrai et, surtout, ignoble.

Une caste sans morale s’arroge le droit de juger les autres, mais ne supporte pas de pouvoir être elle même jugée.

Syndicalisée (mais on se demande pour se protéger de quoi, puisque personne ne peut s’en prendre à elle) extrêmement politisée (alors qu’elle devrait être totalement impartiale) elle s’autorise en plus à créer un « mur des cons » sur lequel elle fait figurer le père d’une jeune fille sauvagement assassinée dans le RER par une racaille récidiviste !

J’allais oublier de mentionner le petit guide édité par le syndicat de la magistrature à l’usage des manifestants interpellés (à ne pas manquer sur le site du dit syndicat mais seulement si vous avez le cœur bien accroché). Et les exemples de félonie abondent (condamnation des manifestants en fonction de leur appartenance ce qui permet de condamner durement des innocents et de relâcher des coupables, poursuites politiquement ciblées, position systématiquement anti-police etc).

La cause de cet étât de fait lamentable ?

Les juges ne sont jamais responsables de quoi que ce soit. Jamais.
Ils sont INTOUCHABLES.

Christian54 pour « A droite, fièrement ! »

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