Dans les élections américaines, les médias adorent
tout candidat pourvu qu’il soit du parti démocrate !
C’est vrai pour les médias américains et français !
Ils adoptent instantanément, comme champion, le candidat du parti démocrate, quel qu’il soit !
Alors qu’ils devraient adopter une certaine réserve en laissant les Américains choisir leurs candidats, puis leurs présidents, les médias français prennent parti et font campagne, systématiquement pour le candidat démocrate. Un biais idéologique flagrant !
Ce fut flagrant avec Donal Trump qui fut vilipendé, dès qu’il entra en campagne, et pendant tout son mandat, par la presse française qui, à l’inverse, fut une des dernières à reconnaitre le niveau de sénilité avancé de Joe Biden.
C’est encore plus évident dans le cas de la candidate Kamala Harris qui n’a pas laissé, en tant que procureur de Californie puis de vice -présidente de Joe Biden, un souvenir impérissable !
Alors qu’elle était plutôt considérée comme une vice-présidente médiocre, les médias américains et français s’enthousiasment pour sa candidature à la Maison Blanche ! Confirmant ainsi un strabisme idéologique penchant fortement à gauche.
Boulevard Voltaire, dans cet article, décrit cet engouement factice des médias pour Kamala Harris :
USA : Kamalamania
Comment passer, en quelques jours, du statut de vice-présidente impopulaire à celui de candidate démocrate battant Donald Trump le 5 novembre, selon des sondages ?
Avec le retrait de Joe Biden, la machine démocrate relayée par les médias mainstream, dont on aurait tort de surestimer la perte d’influence, s’est mise en mouvement pour promouvoir la candidature de Kamala Harris. Les portraits dithyrambiques qui, contre toute l’évidence de sa carrière, tentent de la faire apparaître comme une centriste se succèdent. Les critiques sont vite assimilées à du racisme et du sexisme.
On passera sous silence sa responsabilité dans l’explosion de la criminalité en Californie, conséquence de propositions législatives qu’elle a soutenues comme procureur général de cet État. Son soutien au mouvement Black Lives Matter à travers sa contribution financière et surtout morale, en associant son nom à un fonds de défense des personnes incarcérées dans le cadre des émeutes qui ont causé la mort d’au moins 25 personnes après la mort de George Floyd, sera minimisé. Son échec total sur le seul dossier qui lui a été confié par le président, celui de la frontière sud, avec plus de dix millions d’entrées illégales, sera occulté.
Pas autant de bourdes que Biden, mais…
Ses phrases sans aucun sens :
la signification du passage du temps libéré de ce qui a été (unburdened by what has been),
mais répétées sentencieusement comme des vérités profondes, ne seront pas reprises en boucle, contrairement au moindre propos estimé choquant de Donald Trump. Sans parler de ses innombrables gaffes : confondre les deux Corées ou éclater de rire lors d’une conférence de presse sur l’Ukraine en Pologne, parmi d’autres. Même en cherchant bien, on ne trouve pas grand-chose à mettre à son actif. Sa campagne pour les primaires de 2020 a été un échec cinglant et Joe Biden l’a choisie comme vice-présidente parce que femme et noire.
Pascal Praud, qui a souvent raison, se trompe lorsqu’il écrit que :
Trump ou Harris, il n’est pas certain que cela change grand-chose pour les Français » (JDD du 28/7).
Les grandes tendances culturelles de ce monde naissent souvent aux États-unis puis se diffusent à tout l’Occident.
Joe Biden n’était que le vieux mâle blanc rassurant que l’appareil démocrate a mis en avant afin de faire passer son programme radical (sur l’immigration comme sur le wokisme) auprès d’une population américaine rétive à ces changements mais lasse des outrances de Donald Trump.
La parfaite panoplie woke
Avec Kamala Harris, nous aurions un spécimen authentique, adhérant à toute la panoplie du wokisme, au pouvoir à la Maison-Blanche
– Les politiques de Diversity Equity Inclusion qui, dans les entreprises, relèguent le mérite individuel au second plan des critères de sélection.
– La théorie critique des races (critical race theory) qui réintroduit et justifie le racisme dans la vie quotidienne au nom des « oppressions séculaires ».
– Les théories du genre qui nous font croire que des hommes peuvent être enceints et allaiter.
– Les soins d’affirmation du genre (gender affirmation care) qui autorisent des « traitements médicaux » mutilant à vie des enfants et des adolescents.
– L’idéologie décoloniale qui « déconstruit » le passé et exige des « réparations ».
Combattues par Donald Trump et les conservateurs, toutes ces théories fumeuses qui veulent imposer une nouvelle norme des représentations communes connaîtraient, avec Kamala Harris, un nouveau souffle aux États-Unis comme en Europe. LFI signe des deux mains.
Alain Destexhe pour Boulevard Voltaire.
En complément, pour ceux qui comprennent un peu la langue anglaise voici une preuve de la médiocrité de Kamala Harris :
Depuis l’attentat raté contre #Trump et le remplacement en urgence de #Biden par Kamala #Harris, les médias tentent de nous vendre cette dernière comme un cador, une femme extraordinairement géniale !
➡️ Alors regardez et diffusez cette vidéo : on voit à quel point Harris est… pic.twitter.com/1sc2qgkKpy
— Florian Philippot (@f_philippot) July 31, 2024
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2 Réponses à “Kamala Harris propulsée de médiocre à géniale !”
Le gouvernement américain a t-il condamné la cérémonie des JO sur ses aspects satanique ?…non, donc elle est aussi de la meme nature que le gouvernement macron qui sert le satanisme.
C’est pourquoi ces pays ce valent aux point de vu, méthode.
Sinon, il y aurait un battage médiatique formidable pour faire tomber la bete et ses adorateur en France.
C’est aussi simple que cela.
Comme une journaliste lavait dit : c’est une bataille de l’image et de la parole contre D Trump qui continue.
Une presentation tres positivé par les medias pour K Harris, et decevante pour D Trump,
ensuite
d’autres methodes s’ajoutent, pour couler plus finement l’opposant…
Les medias s’y connaissent et se donneront a nouveau a fond, comme en france, en europe,
les medias sont les serpilieres qui collaborent, exelleront dans l’ordure pour parvenir par diverses methodes a leur fin mensongers.