Au début, la censure opérée par les réseaux sociaux se faisait de façon discrète. On entendait, ici ou là, que tel ou tel compte Facebook ou Twitter, avait été suspendu une semaine, parfois fermé. Mais il était impossible d’en mesurer l’importance globale.
La campagne électorale américaine et surtout la pantalonnade du dépouillement des votes a tout changé. Les censures anti-Trump se sont faits alors publiquement et de façon massive.
Selon moi, le summum de la censure a été atteint avec le blocage de la messagerie alternative Parler par plusieurs acteurs du numérique. Apple et Google ont retiré l’application Parler de leur boutique numérique et, plus grave encore, Amazon, l’hébergeur de Parler a fermé ses serveurs à Parler !
Les choses sont désormais claires. Les géants du numériques ont pris faits et causes pour le camp du bien progressiste. Nous devons prendre conscience que tout ce qui circule sur Facebook et Twitter est systématiquement passé au travers d’un filtre progressiste partisan et, à leur propre guise, censuré !
La liberté du Web a vécu !
Les rares médias de droite, conservateurs qui se permettent de critiquer le progressisme peuvent à tout instant être bloqués sur certains réseaux. C’est ce qui a failli arriver à un grand média radio comme Sud Radio dont on a menacé de fermer le compte Youtube.
Sus à l’ivermectine !
Durant la crise sanitaire, la censure a pris un nouvel élan avec une volonté des réseaux sociaux de pénaliser voire de censurer tout propos parlant de traitements alternatifs à la vaccination tels que la chloroquine ou l’ivermectine.
A l’heure actuelle, il vous est permis de vanter les vaccins mais interdit de parler de ces deux médicaments. Et cette interdiction est clamée officiellement et publiquement sur les réseaux sociaux avec une incroyable arrogance.
Par exemple, Youtube a publié un avertissement interdisant de parler positivement de traitements incluant la chloroquine ou l’ivermectine !
Alors que, c’est le moins que l’on puisse dire, le débat est encore vif dans le monde concernant l’efficacité de l’ivermectine !
Et ce n’est pas cet article d’AFP – Factuel, le chasseur officiel de Fake News, qui peut convaincre que l’ivermectine n’est pas efficace quand le seul argument est que cette efficacité n’a pas été scientifiquement prouvée et que l’OMS ne la recommande pas.
Même le débat nous est interdit sur YouTube !
Vous en avez la preuve ci-dessous :
En conclusion
L’heure va sonner où, si nous ne voulons pas nous soumettre au progressisme dictatorial qui nous menace, nous devons boycotter leurs médias et sans doute créer des médias alternatifs indépendants où nous pourrons débattre librement.
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2 Réponses à “La censure des réseaux sociaux s’affiche au grand jour !”
Il est temps de s’affranchir des gafa esclavagistes, en ce qu’ils veulent diriger nos pensées. Tant que je pourrais river les livres de Zemmour, de Villiers, Perone et autres sur Amazon, je continuerai à commander chez eux;
Pourquoi une telle dictature contre toute allusion contre ces 2 médicaments si effectivement ils ne servaient à rien?
Les débats contradictoires sont interdits sur les plateaux tv depuis le début du covid. Chacun se souvient des médecins et des autres fous furieux contre l’utilisation d’un médicament qui au mieux pouvait empêcher l’entrée dans une chambre d’hôpital et parfois ensuite à la chambre funéraire.
En médecine, il me semble qu’il faut tout tenter pour soigner un malade. Ce n’est plus la règle aujourd’hui.
Si le traitement préconisé par le professeur Raoult comme il l’a indiqué, ne guérit pas, il ne tue pas contrairement à ce que l’on a entendu! L’Afrique par exemple serait décimée!
Enfin, bref, cette campagne de dénigrement a parfaitement réussi, les labo ont gagné la partie!
Attendons la suite, mais je reste pessimiste …….