Si nous étions dans une démocratie digne de ce nom, la droite serait au pouvoir depuis des décennies !
Affirmation partisane, me dira t-on !
Peut-être, mais qui peut nier l’existence et la puissance de toutes ces forces favorables à la gauche et qui influencent sensiblement le vote des Français ?
Certes, la droite n’est pas sans responsabilité dans son impuissance à se maintenir au pouvoir. La culture du chef, et les luttes de pouvoir en son sein ont bien souvent fait perdre la droite. Sans compter sa lâcheté qui lui fait accepter les diktats « moraux » de la gauche !
Concernant les forces externes qui combattent la droite, je me limiterai à en citer quatre :
- l’Education nationale,
- le monde de la culture,
- la Justice,
- et évidemment la presse.
Souvent d’ailleurs, ces forces conjuguent leurs efforts contre la droite.
L’Education nationale et le monde de la culture se chargent de la propagande à long terme. L’orientation des programmes pour l’une et celle des palmarès du cinéma (César, festival de Cannes) pour l’autre en sont les témoignages directs.
De leur côté, la Justice et les médias s’allient souvent pour s’acharner contre les leaders de droite. L’affaire Fillon en est l’illustration la plus flagrante !
Parmi les médias, le cas de l’audiovisuel de service public – radios et télévisions confondues – est particulièrement révélateur de cette gauchisation des forces en présence.
Voici, publiée dans Valeurs actuelles, la chronique de Gilles-William Goldnadel, un pourfendeur de ce qu’il appelle :
l’odieux visuel de sévice public :
Hémiplégie médiatique :
sur France Inter, il n’est de violences que policières
Un samedi matin sur Inter. 7 heures 55 : la responsable de l’émission Carine Bécard ose cette question à son invitée, Marylise Léon, secrétaire adjointe de la CFDT :
Ça sert à quoi de manifester pacifiquement ?
Tout est dit, pour la dame au micro, sans violence, on n’obtient rien. Je la connais madame Bécard, il a fallu que je la fasse rappeler à l’ordre par le CSA, pour avoir attenté à son micro à la présomption d’innocence des gendarmes accusés par cette famille Traoré dont on connaît l’attrait pour l’honnêteté et la vérité.
Toujours est-il qu’à huit heures, les informations s’ouvrent et sont centrées sur les violences policières. On consacre un reportage sur ces policiers qui ont moqué et menacé un manifestant. Sans le blesser. Mais aucun reportage sur ces centaines de policiers blessés depuis le début de ces manifestations dont on ne dit rien sur leur caractère sauvage.
Pire : À l’instar d’un titre mensonger du Monde qu’on imite servilement, on fait croire aux auditeurs que le Conseil de l’Europe aurait condamné les violences des policiers français. Désinformation : Il ne s’agit que de sa commissaire, madame Dunja Mijatovic qui s’alarme d’un « usage excessif de la force ». On ne sait sur quoi elle se fonde. Au demeurant, ce même Conseil de l’Europe aura su faire montre récemment de sa tendance et de son infaillible pertinence lors de sa campagne publicitaire en faveur du hijab, “symbole de liberté”.
Retour au journal de 8 heures : À aucun moment les mots de Black blocs ou d’ultra-gauche ne sont ouïs dans un reportage. A 8h 45, toutefois, le préposé à la revue de presse veut bien, indirectement, les évoquer quand il condescend à rendre compte de l’opinion du Figaro. Mais il ne s’agit pas d’un reportage de la rédaction. Lors de l’édition de neuf heures, c’est encore pire : Ouverture sur les violences policières et rien que policières. Tout encore sur ces moqueries de membres de la BRAV sur ce manifestant. Tout sur l’acte de contrition du préfet Nuñez mais rien, absolument rien, sur les Black blocs violents ! Rien sur les policiers blessés. Il n’y en a donc pas.
L’on passe ensuite sur la manifestation interdite de Sainte-Soline à l’encontre des “mega-bassines”. Une nouvelle fois dans cette matinée, parole est uniquement donnée à un activiste écologiste radical. A croire qu’il n’existerait aucun agriculteur qui voudrait ou pourrait s’exprimer. Sans doute le mythe du paysan taiseux aurait finalement quelque consistance. Ou plus vraisemblablement, l’expression de la vérité médiatique obligatoire à sens unique.
Mes lecteurs connaissent mon obsession de décrypter la confiscation de notre audiovisuel public par l’extrême gauche intolérante. J’assume fièrement cette obsession qui me contraint à ce devoir citoyen de vigilance. Je confesse sans barguigner répugner à entretenir grassement avec mes impôts des propagandistes encartés qui se prennent pour des journalistes. Je dois manquer de générosité.
Gilles-William Goldnadel pour Le Club de Valeurs actuelles.
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Une réponse à “La complaisance médiatique pour l’extrême gauche”
Les merdias sont de goche, la pseudo justice aussi comme le gouvernement les casseurs aussi en general,
l’ensemble s’entraide comme ils peuvent et tant pis pour l’honnete citoyen surtout de droite auquel tout cet ensemble n’accordera aucune veritable attention, sauf fausse et manipulatrice…