La dictature transgenre conduit un enseignant en prison

Mais qui sifflera la fin de la folie transgenre !

La question n’est pas de savoir si les individus peuvent changer de sexe – ou croire qu’ils changent de sexe. On peut considérer que c’est leur liberté !

On pourra néanmoins ouvrir le débat pour savoir si c’est à la communauté nationale de financer les traitements et les couteuses opérations de changement de sexe !

Mais plusieurs choses sont insupportables :

• C’est d’abord la propagande pour cette pratique dans les écoles, auprès d’enfants aux cerveaux encore fragiles ou d’adolescents en proie aux bouleversements de la puberté,
• C’est ensuite ces règles que nous impose le trangenrisme en nous forçant à prendre en compte ces changements de sexe dans notre vie quotidienne et notamment à modifier notre vocabulaire.

En effet, pourquoi remettrions nous en cause, pour les besoins – certains diraient caprices – d’une infime minorité, la définition de l’homme et de la femme admise et utilisée depuis des millénaires, voire des millions d’années ?

A quel titre devrions nous admettre qu’un homme puisse être enceint ? Pourquoi nous imposer contre tout bon sens que des hommes s’identifiant comme femmes concourent dans les compétitions sportives féminines ?

Mais depuis quelques années c’est une véritable dictature qui se met en place pour protéger le transgenrisme et nous en imposer les règles.

Jusqu’à présent, cette dictature n’était que morale mais elle vient d’entrer dans le domaine judiciaire comme nous le rapporte cet article de The Epoch Times :

Irlande : un enseignant refuse de se conformer
aux exigences d’un élève trans et se retrouve en prison

L’enseignant Enoch Burke, qui a avait été exclu de la Wilson’s Hospital School où il travaillait, du fait de son refus de reconnaître le changement de genre d’un élève trans, a été interpellé près de cette dernière, dans le comté de Westmeath. Il avait interdiction d’y retourner.

L’Irlande face au wokisme. Après y avoir déjà passé plus de 400 jours de détention, Enoch Burke, ancien professeur d’allemand et d’histoire, a été incarcéré une nouvelle fois ce lundi au centre pénitentiaire de Mountjoy, à Dublin. Comme l’indique l’Irish Independent, il était retourné à la Wilson’s Hospital School, située dans le comté de Westmeath, malgré une décision de justice qui lui interdit d’approcher l’établissement scolaire. Après un conflit avec le chef de l’établissement concernant un élève transgenre, il avait été exclu de l’école en 2022 avec perte et fracas. Au nom de ses valeurs religieuses, il avait refusé de se soumettre aux injonctions de l’élève qui le pressait de l’appeler par son nouveau prénom et d’utiliser les pronoms qu’il souhaitait après sa transition de genre.

BREAKING: Teacher Enoch Burke arrested at Wilson’s Hospital School after refusing to endorse and affirm transgender ideology.

Judge Barry O’Donnell, who made almost €400,000 from 2016-2018 representing TUSLA as a barrister, ordered his arrest.

TUSLA is the Irish State ‘Child… pic.twitter.com/Ni8xLSRS7a

— Enoch Burke (@EnochBurke) September 2, 2024

Ce lundi 2 septembre, pour la troisième fois, Enoch Burke s’est donc rendu à la Wilson’s Hospital School où il avait interdiction de paraître. Dans le pays, l’affaire est fortement médiatisée depuis 3 ans, notamment par Sky News qui a rapporté ses déclarations avant son arrestation par la police irlandaise. Aux journalistes présents sur place, Enoch Burke a ainsi indiqué qu’il considérait que son renvoi de l’établissement n’avait pas lieu d’être tant que la procédure d’appel n’est pas terminée, et a indiqué qu’il était toujours rémunéré comme enseignant. Il s’est donc rendu à l’école pour « faire son devoir », c’est-à-dire exercer son métier, à ses risques et périls.

Une liberté de conscience remise en cause

Le professeur a tenu à souligner qu’il ne refuserait jamais de dispenser des cours à un élève, quel qu’il soit. Mais « trahir ses convictions religieuses en adoptant l’idéologie transgenre » est pour lui insupportable. Selon lui, sa liberté religieuse est bafouée par l’injonction de l’établissement de désigner l’élève trans par ses nouveaux prénom et pronom.

Présenté devant un juge de la Haute Cour de Dublin, après que les images de son arrestation par la police aux abords de l’établissement scolaire ont fait le tour des réseaux sociaux, Enoch Burke qui se dit protestant évangélique a de nouveau mentionné sa foi chrétienne pour expliquer au tribunal son comportement. Le juge Michael Quinn s’est contenté de relever que les faits jugés consistaient seulement au non-respect de l’interdiction qui lui avait été signifiée d’approcher l’établissement scolaire, et a ordonné l’incarcération immédiate de l’enseignant, qui avait été libéré sans avoir purgé l’intégralité de sa peine en juin.

Robin Lefebvre pour The Epoch Times.