C’est la caractéristique fondamentale des progressistes :
ils refusent le débat, ils poursuivent en justice !
On se souvient tous de cette émission de Daniel Schneidermann dans laquelle le journaliste avait dû s’excuser d’avoir qualifié du vocable « d’homme », un de ses invités qui portait fièrement le collier et la moustache !
L’homme représenté ci-contre avait attaqué l’animateur :
« Non, non, je ne sais pas ce qui vous fait dire que je suis un homme ! Je ne suis pas un homme ! Il ne faut pas confondre identité de genre et expression de genre, sinon, on va déjà mal partir ! »
Les progressistes ont donné à toutes ces minorités une arrogance qui fait qu’elles se sentent légitimes à imposer à toute la population des règles et des usages qu’elles définissent !
Alors que le phénomène transgenre porte sur une ultra minorité d’individus, il faudrait que l’on s’interdise d’appeler homme et femme la très grande majorité de la population !
Ça n’a aucun sens !
Et désormais, le moindre refus de se plier à ces règles est immédiatement judiciarisé. C’est l’objet de cet article de Boulevard Voltaire :
Au nom de l’idéologie trans, Dora Moutot sommée de se taire
Dora Moutot serait-elle en passe de devenir la future « J. K. Rowling française » ? Quatre mois après la passe d’armes entre la militante féministe et Marie Cau, maire transgenre sur le plateau de « Quelle époque ! » (France 2), Dora Moutot, accusée de transphobie, se retrouve visée par une plainte. Son tort ? Avoir osé qualifier Marie Cau d’« homme transféminin » et non de femme. Au nom de l’idéologie trans, des activistes tentent de museler le débat public en France.
Dora Moutot, « transphobe » ?
Le Parti vous disait de rejeter le témoignage de vos yeux et de vos oreilles. C’était son commandement ultime et le plus essentiel.
Ces mots écrits par George Orwell en 1949 prennent tout leur sens dans la France de 2023. Pour avoir décrit ce qu’elle avait sous les yeux et avoir revendiqué le primat de la réalité biologique, Dora Moutot est visée par une plainte pour injures publiques et provocation à la haine ou à la violence en raison de l’identité de genre. Aux côtés de Marie Cau, Stop Homophobie et l’association Mousse, « les justiciers LGBTQI+ », parties civiles dans cette affaire, crient à la transphobie. Dans leur communiqué, les deux associations accusent Dora Moutot d’être une militante « TERF » [Trans-Exclusionary Radical Feminist, NDLR], comprendre une militante qui exclut les personnes trans de la lutte féministe. Les deux associations vont même jusqu’à pointer du doigt une « société encore largement transphobe ».
« Pourtant, dans les propos [de Dora Moutot] aucune haine, aucune volonté d’abîmer l’autre », rappellent les signataires d’une tribune dans Marianne contre cette plainte. Et ceux-ci de s’interroger :
Le moindre désaccord doit-il se terminer en procès ? […] A-t-on encore le droit de critiquer une idéologie ?
Dans quelques semaines ou mois se tiendra donc un procès pour savoir si, en France, nous avons encore le droit de distinguer un homme et une femme sur la base de la biologie et non du ressenti personnel.
La censure des activistes trans
Cette plainte révèle au grand jour l’intolérance trans qui s’installe petit à petit dans le débat public. Toute personne refusant de se soumettre à l’idéologie trans est immédiatement taxée de « transphobe ». Déjà, dans les pays anglo-saxons, personnalités comme anonymes se retrouvent mis au ban de la société pour avoir défendu une vision biologique de la différence des sexes. J. K. Rowling, célèbre auteur de la saga Harry Potter, subit depuis plusieurs années le harcèlement de militants LGBT pour avoir simplement tourné en dérision l’expression « personne qui ont leurs règles ». Plus récemment, au Canada, Josh Alexander s’est vu exclure de son lycée catholique après avoir rappelé qu’il n’y avait que deux sexes et que le genre ne pouvait contrôler la biologie.
En France, la censure des activistes trans gagne du terrain. Depuis la sortie de leur livre La Fabrique de l’enfant transgenre, les spécialistes Céline Masson et Caroline Eliacheff, qui appellent à la prudence sur les transitions de mineurs, sont la cibles de nombreuses attaques. Quand leurs conférences ne sont pas tout simplement annulées, les deux auteurs sont accueillis par des jets d’excréments ou des insultes. Marguerite Stern, acolyte de Dora Moutot, a également fait les frais de cette dangereuse intolérance. Ancienne Femen à l’origine des collages contre les féminicides, la jeune femme, victime d’une agression et de cyber-harcèlement, a dû effectuer un séjour en hôpital psychiatrique. Et c’est maintenant au tour de Dora Moutot de se retrouver jetée à la vindicte populaire. Après avoir porté plainte contre la militante féministe, les activistes trans ont également tenté d’interdire la mise en ligne de sa cagnotte pour frais de justice. En vain. Leetchi, site de financement participatif, respecte le cadre légal et refuse de condamner Dora Moutot avant que la justice ne se soit prononcée sur cette affaire. En quelques heures, déjà 15.446 euros ont été collectés.
Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.
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4 Réponses à “La dictature transgenriste”
Je cite :
« C’est la caractéristique fondamentale des progressistes :
ils refusent le débat, ils poursuivent en justice ! »
Evidement, debattre ferait ressortir leurs mensonges et leurs ideologies mortifieres s’ecroulerait aussi vite, mais comme ils veulent detruire, car cela amene a cela, ils ce servent de la pretendu justice tout aussi pourrie qu’eux pour avancer leurs pieces le plus rapidement possible, et demolir les fondements moraux de la société de fond en comble, et malheurs a ceux qui ce dresse sur leur chemin, mais comme cela doit etre presenté d’une maniere respectable, c’est presenté au nom des droits, mais en bafouant ceux de la majorité en les ignorant sciement.
Ces gens là ne sont là que pour detruire avec leurs ideologies.
c’est très inquiétant cette montée de l’intolérance et de la dictature woke. La biologie est têtue, et … transphobe, sauf que, on ne peut modifier ses chromosomes.
Que des hommes se fassent castrer, puis s’habillent en femme, et inversement des femmes prennent des hormones pour avoir de la barbe, c’est leur problème. Par contre qu’au nom d’une « discrimination positive de genre » on se mette comme aux USA à recruter des gens, sur cette particularité, avant leurs compétences, c’est dangereux.
Ca donne de belles réussites, comme l.e.a ministre adjoint à la santé, et Sam Brinton, ex responsable de la gestion des déchets nucléaires, qui a dû démissionner parce que pris en flagrant délit de vol de bagages et qui vient de récidiver. Manifestement cet individu a de gros problèmes psychologiques, et lui avoir confié de hautes responsabilités avec « high clearance » parce qu’il était « non binaire » était une stupidité sans nom !
https://www.youtube.com/watch?v=7QVKj7Q9O5s
il y a aussi cet enseignant canadien qui porte de gigantesques faux seins, uniquement quand il va à l’école, et qui, suite à une plainte des parents, est mis en congé … et d’autres choses, comme la soumission d’une marque de confiseries à la dictature woke trans … ça se passe en Amérique, et c’est notre futur proche.
Déjà dans les école on ne dit plus « père et mère », mais parent 1 et parent 2, dans les lycées le nombre d’ados qui se prétendent non binaires ou trans explose.
https://www.youtube.com/watch?v=GoB1qnx-IWI
https://www.youtube.com/watch?v=GoB1qnx-IWI
La destruction par la goche en marche !!!