La folie et la dictature transgenre fait rage outre-atlantique !
Notamment sur la définition du mot « femme », conforme à la biologie, qui depuis des millions d’années était claire pour tout le monde – hommes et femmes confondus – mais que le transgenrisme veut corrompre et nous imposer.
De quel droit, une poignée d’idéologues de la théorie du genre totalement déjantés pourrait nous imposer son (aberrante) définition de la « femme » ?
Il est pourtant assez facile de mettre un militant transgenriste devant ses contradictions :
Posez-lui la question basique :
« Mais alors, comment définissez-vous une femme ? »
Il répondra probablement :
« Quelqu’un qui s’identifie comme une femme ! »
Ce à quoi vous lui répondez :
« Comme une femme, ? Mais alors comment définissez-vous cette femme ?
Ça peut boucler un moment !
Cela me rappelle un sketch de Fabrice Eboué dans lequel il imagine qu’une homme « enceint » lui demande de lui laisser sa place dans le métro. Il refuse et se fait traiter de transphobe par l’homme « enceint ». Il lui répond alors : « Je ne vous laisse pas ma place parce que je m’identifie comme une vieille dame ! »
Deux exemples récents montrent que le transgenrisme peut entrer, dans certains cas, dans le domaine de la psychiatrie !
1 – « Mon fils s’identifie comme un chat »
Figurez-vous qu’une mère envisage de porter plainte contre un vétérinaire qui refuse de soigner son fils qui s’identifie comme … un chat (voir la vidéo en fin d’article) !
Ecoutons-la :
Le vétérinaire me dit qu’il ne peut examiner mon fils parce qu’il a une anatomie humaine. Je pense que c’est une forme de discrimination !
Si mon fils dit qu’il est un chat, c’est un chat et il doit être traité comme tel !
Je veux sensibiliser sur ce problème car je pense que les personnes qui s’identifient comme un animal peuvent aller chez le vétérinaire.
2 – Un homme transgenre chez le gynécologue
Cet exemple nous est rapporté par un billet de Valeurs actuelles :
Un gynécologue accusé de « transphobie»
Tout est parti d’un commentaire publié sur Google il y a une quinzaine jours. Sur la page recensant les avis de ses patients, un gynécologue de Pau (Pyrénées-Atlantiques) s’est attiré les foudres d’un internaute, scandalisé par le traitement infligé à son compagnon lors de sa venue au cabinet.
C’était le premier rendez-vous de ma compagne trans [homme biologique se déclarant femme, NDLR], relate l’intéressé. Il a refusé de la recevoir, sa secrétaire nous a jetés froidement. Je déconseille, plus jamais.
La réponse du praticien ne se fait pas attendre :
Je suis gynécologue et je m’occupe des vraies femmes. Je n’ai aucune compétence pour m’occuper des HOMMES, même s’ils se sont rasé la barbe et disent à ma secrétaire qu’ils sont devenus femmes. Ma table d’examen gynécologique n’est pas adaptée pour examiner des hommes.
Puis, flairant l’inquisition qui viendrait inéluctablement :
Je vous remercie d’avoir informé les personnes transgenres de ne jamais venir me consulter.
Un tiers se chargera d’achever le travail. Profitant de la caisse de résonance que constituent ses 46 000 abonnés, le compte Twitter de l’association SOS Homophobie affiche le nom du réfractaire, sans retenue aucune :
Nous dénonçons les propos transphobes et discriminatoires du gynécologue Victor Acharian à Pau. La transphobie est une réalité aux conséquences graves, notamment dans l’accès à la santé.
Rapidement, la meute répond à l’appel. Sur la page Google du cabinet de l’“accusé”, les avis défavorables et les accusations de transphobie abondent. « J’ai agi sur le coup de la colère », concède le Dr Acharian, qui, à l’égard des trans, assure être « profondément désolé de les avoir heurtés »… sans se renier sur le fond pour autant :
Scientifiquement, un homme est un homme, et une femme est une femme. Même s’il se considère comme une femme, je dis que c’est un homme. Je n’ai pas les compétences pour examiner ou conseiller une personne trans.
Parallèlement, l’étalage de l’identité de l’accusé fait réagir, dans son sens cette fois-ci. Et pour cause : le doxxing — divulgation de données personnelles, comme le nom complet ou l’adresse — est… « une réalité aux conséquences graves », pénalement répréhensible. Contacté par le Parisien, le gynécologue confie pour l’heure envisager de porter plainte contre le couple pour « agression verbale et diffamation ».
Valeurs actuelles.
Une grave question se pose :
Comment va t-on traiter tous ces malades mentaux alors que les services psychiatriques sont déjà débordés par une population qui s’identifie de façon conventionnelle ?
Voici la vidéo correspondant au premier exemple :
Une mère envisage de porter plainte contre un vétérinaire parce qu’il n’a pas voulu soigner son fils qui s’identifie à un chat.
Voilà où nous en sommes. Une pandémie de maladies mentales…. pic.twitter.com/vhltwiZz7H— Vivre Sainement (@VSainement) August 10, 2023
Nota : je récuse toute accusation de transphobie dans cet article. J’y fustige, non pas le droit de vouloir changer de sexe, mais les aberrations qui en découlent tels que ceux décrits dans les deux exemples évoqués plus haut.
A lire aussi cet article de Valeurs actuelles :
Suivre @ChrisBalboa78
2 Réponses à “La folie transgenre relève de la psychiatrie”
Le delire trans quelques chose…
permet a des debiles mentals ou relevant de la psychiatrie de raconter n’importe quoi.
Ces malades vivent un fanstame qu’ils voudrait partager avec des personnes normales, ce dont il n’ont pas besoin, sauf les politiciens pseudo progressites.
Ces zozos doivent consulter non pas un docteur mais un politicien pseudo progressiste qui saura leur raconter n’importe quoi pourvu que cela attaque les valeurs, la culture, la civilisation.
Ces zozos trouveront tout le reconfort necessaire a leur fantasme aupres de ces politiciens plus ou moins vereux.
Sinon il y a toujours l’asile…
Il y a 76 ans je suis née fille et j’en ai bavé toute ma vie, entre les règles, la grossesse, l’accouchement, la ménopause.
Et aujourd’hui, j’apprends qu’il suffisait que je me détermine homme pour échapper à tout ça!
Est-ce que je peux repartir à zéro et recommencer ma vie?