On ne voit pas jusqu’où la France Insoumise et son gourou, Jean-Luc Mélenchon, vont s’enfoncer dans l’ignominie d’un soutien sans faille au Hamas, mouvement terroriste coupable des pires horreurs en Israel.
Mais qu’est devenu Jean-Luc Mélenchon, le socialiste historique, gardien sourcilleux du temple de la laïcité !
C’est avec une certaine jubilation qu’à droite, nous voyons le cordon sanitaire quitter le Rassemblement national pour se porter sur la France Insoumise ! Cela va avoir des conséquences insoupçonnées aujourd’hui sur le paysage politique français.
Voici un article du Club de Valeurs actuelles qui nous raconte la descente aux enfers de la France Insoumise, sous un titre des plus violents qui dénonce l’antisémitisme qui sous-tend, désormais au grand jour, cette formation politique :
Les islamo-collabos de La France insoumise
La France insoumise (LFI) s’est jointe, le dimanche 22 octobre, à une manifestation propalestinienne place de la République à Paris. Alors que fusent les slogans tels qu’“Israël assassin, Macron complice”, l’un des animateurs qualifie crânement les terroristes du Hamas de « résistants ». Les élus LFI n’ont pas semblé s’en offusquer. Et pour cause, la diabolisation d’Israël et l’héroïsation de ses ennemis – jusqu’aux partisans du terrorisme islamiste – forment l’une de leurs figures rhétoriques favorites. Le phénomène n’est pas nouveau.
Jean-Luc Mélenchon n’hésite pas à invectiver sur X (ex Twitter), le jour même de la manifestation, la présidente de l’Assemblée nationale, alors en voyage diplomatique en Israël.
Voici la France. Pendant ce temps Madame Braun-Pivet campe à Tel Aviv pour encourager le massacre. Pas au nom du peuple français ! pic.twitter.com/ruxMujq14k
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) October 22, 2023
Le terme “massacre” désigne l’action de “tuer avec sauvagerie” et implique une sorte de corps à corps, nous disent les lexicographes. À n’en pas douter, les actes terroristes perpétrés par le Hamas sur des civils israéliens, brûlés vifs, décapités ou encore violés, peuvent être qualifiés de “massacre”. En revanche, désigner comme telle la riposte de l’armée israélienne, qui vise à détruire le mouvement islamiste en ciblant ses sites militaires, est pour le moins impertinent.
David Guiraud, député LFI, publie quant à lui une vidéo sur son compte X affirmant qu’Israël est en train de procéder à un « nettoyage ethnique » à Gaza… L’élu du Nord ajoute : « J’ai eu honte de voir des députés de quasiment tous les bancs se lever pour applaudir au soutien inconditionnel de l’État israélien. » Lors de la séance parlementaire du mardi 10 octobre, les députés LFI ont été les seuls à s’abstenir d’applaudir le discours de la présidente de l’Assemblée, qui pointait la barbarie du Hamas en apportant sa « totale solidarité » à Israël.
Condamner sans réserve l’action terroriste du groupe islamiste paraît être une mission impossible pour les insoumis. Mathilde Panot a refusé de qualifier le Hamas d’organisation terroriste. Pour rappel, la charte du mouvement islamiste palestinien commande l’ « anéantissement de l’État d’Israël » et prône « l’extermination des juifs du monde entier ».
Sur les ondes de Franceinfo, la chef de file des députés insoumis à l’Assemblée a refusé d’admettre la responsabilité du Jihad islamique dans le bombardement de l’hôpital Al-Ahli Arab à Gaza, après un tir de roquette raté vers Israël. Et ce, malgré les dires des services de renseignements européens et les conclusions d’enquêtes indépendantes réalisées par des médias comme The Guardian , qui excluent l’implication d’Israël.
Danièle Obono , figure importante des insoumis, a quant à elle désigné le Hamas de « mouvement de résistance » face à Jean-Jacques Bourdin, au micro de Sud Radio. En réaction à de tels propos, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a saisi le procureur de la République pour apologie du terrorisme.
L’incubateur du nouvel antisémitisme islamique …
L’inversion accusatoire des Insoumis est pernicieuse puisqu’elle légitime le djihad mené par les groupes terroristes palestiniens contre Israël. Cet antisionisme obsessionnel leur permet en réalité d’être « démocratiquement antisémites », selon les mots du philosophe Vladimir Jankélévitch. Une opération séduction des musulmans les plus radicaux dans un objectif de clientélisme électoral à peine dissimulé ? Il ne faut pas oublier que tous les crimes antisémites du XXIe siècle en France ont été commis par des islamistes nourris à cette même haine d’Israël. Certains d’entre eux l’ont revendiquée lors de leur passage à l’acte, à l’instar de Mohammed Merah et Amedy Coulibaly, qui ont clamé vouloir venger les Palestiniens.
Depuis des années maintenant, La France insoumise se fait le relais d’une détestation pathologique d’Israël. Alors même qu’elle est vice-présidente du groupe d’études parlementaire contre l’antisémitisme, Ersilia Soudais projetait d’inviter, le 9 octobre dernier, à l’Assemblée nationale, la militante palestinienne Mariam Abou Daqqa, membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), organisation classée terroriste par l’Union européenne. Yaël Braun-Pivet avait néanmoins interdit l’accès de l’Assemblée nationale à la militante.
… qui n’en est pas à son premier coup d’essai
Les députés LFI se sont maintes fois associés à des personnalités infréquentables. En décembre dernier, Éric Coquerel, Mathilde Panot, Ersilia Soudais et Carlos Martens Bilongo ont accueilli à Roissy Salah Hamouri, un avocat franco-palestinien. Ce dernier avait été condamné en Israël, en 2005, à une peine d’emprisonnement de sept ans pour avoir planifié l’assassinat de l’ancien grand rabbin d’Israël, Ovadia Yossef. Cela n’a pas empêché la Nupes de le convier par la suite à l’Assemblée nationale, alors même qu’il est soupçonné par Israël d’entretenir des liens directs avec le FPLP. Les insoumis se sont régulièrement mobilisés pour demander la libération de Georges Ibrahim Abdallah, condamné à perpétuité en France pour le meurtre de diplomates israélien et américain.
En juin 2022, ils se sont affichés fièrement avec Jeremy Corbyn, ex-leader du Parti travailliste britannique, un temps mis au ban de cette formation pour antisémitisme. En 2017, Clémentine Autain envisageait de visiter des terroristes emprisonnés en Israël avant d’essuyer un refus des autorités de l’État hébreu de passer la frontière. Enfin, en 2014, le parti d’extrême gauche participait déjà à des manifestations propalestiniennes à Paris, où les cris de “Mort à Israël”, “Mort aux juifs”, “Khaybar al yahud” – en référence à la bataille de Khaybar menée par l’armée de Mahomet et ses fidèles contre des tribus juives – se sont mêlés à des attaques contre des lieux de culte et des commerces juifs. Et puis, impossible d’oublier les propos effarants de Jean-Luc Mélenchon, qui voyait, dans l’attentat terroriste ayant meurtri l’école juive d’Ozar Hatorah, un complot du “système” visant à « inventer une guerre civile » . Le journal antisémite Rivarol du 25 octobre a d’ailleurs encensé le leader insoumis, saluant son « courage » face au « lobby » juif. On a les soutiens qu’on mérite …
Sarah Mimon pour Le Club de Valeurs actuelles.
Voici une infographie illustrant l’itinéraire vers l’enfer de Mélenchon :
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2 Réponses à “La France insoumise islamiste”
La gauche n’est pas là pour servir le bien, la morale et la verité, mais tout l’inverse.
melanchon s’eloigne de plus en plus de la republique et surtout de la france, mieux encore,
il s’islamise et a choisis nettement le peuple arabe contre les francais.
Ces discours plus ou moins maladroit demontre une seule volonté,
choisir un autre peuple et laisser la france s’islamiser….
Tout ceci conduira a un bain de sang, que les extremistes islamistes veulent, melancon semble s’en foutre…