
Il parait que c’est aujourd’hui
la journée de la liberté de la presse !
Pendant toute la journée, les journalistes vont en faire des tonnes dans leurs colonnes et sur les plateaux télé en se plaignant que, dans de nombreux pays, ils ne peuvent pas faire leur travail librement.
Ils vont se poser en victimes de régimes politiques qui confisquent la liberté d’expression qu’ils prétendent chérir !
Hypocrisie patente pour une bonne partie d’entre-eux !
Car enfin, que font les journalistes français et plus généralement les journalistes du monde occidental, de la liberté de la presse que leur garantissent les institutions de leurs pays ?
La plupart de ces journalistes sont-ils vraiment dignes de cette liberté qu’on leur donne ?
Est-elle l’alpha et l’oméga de leur éthique de travail ?
Puisqu’ils bénéficient de cette liberté de dire et d’écrire ce qu’ils veulent, la moindre des choses serait, qu’en retour, ils ne la galvaudent pas et qu’ils s’appliquent à eux-mêmes une déontologie sans failles consistant à respecter le pluralisme et l’impartialité !
L’impartialité est peut-être difficile à garantir, mais l’honnêteté, quant à elle, n’est pas négociable et nous pouvons, nous devons, l’exiger des journalistes.
Quand on observe la levée de bouclier – des journalistes eux-mêmes – quand Elon Musk rachète le réseau social Twitter et qu’il propose d’y restaurer la liberté d’expression gravement violée par l’ancienne direction progressiste, on comprend ce qu’ils entendent par liberté d’expression !
Juste la liberté d’exprimer la pensée dominante et rien d’autre !
De nombreux exemples, ne serait-ce qu’au cours des derniers mois, montrent que la majorité des journalistes des médias de grand chemin, ont perdu toute notion de déontologie et même d’honnêteté.
Durant la crise du covid …
La couverture de la pandémie a vu l’ensemble de la profession se coucher devant le pouvoir macronien, au nom de l’intérêt national !
Non seulement, les médias ont complaisamment et servilement relayé la propagande des pouvoirs politique et sanitaire, mais ils ont appliqué une censure concertée d’une ampleur jamais atteinte dans notre pays.
On se rappelle tous de l’aveu scandaleux de la directrice de rédaction de BFMTV :
Quand @celinepigalle, directrice de la rédaction de @BFMTV, déclare relayer volontairement les #FakeNews du gouvernement car « Il ne faut pas trop troubler les gens. Pas trop aller à rebours du discours officiel car ça serait fragilisé un consensus social «
Merci @NicolasVdrines1 pic.twitter.com/shlDGhW5dQ
— Christophe Castagnette ᵖᵃʳᵒᵈᶦᵉ (@ccastanette) January 27, 2022
Les politiques sanitaires d’autres pays qui n’appliquaient pas l’idéologie du tout-vaccin (Suède, Taïwan, en Afrique noire et dans certains états de l’Inde) ne faisaient jamais l’objet de reportages.
Les résultats obtenus, à l’étranger, avec les traitements précoces comme l’hydrochloroquine ou l’ivermectine, ont fait l’objet d’une omerta totale.
Depuis un an, la presse française respectent un mutisme total sur les effets secondaires des vaccins. Pourtant, les informations sont disponibles partout, sur les sites de la DREES en France, et sur ceux du VAERS aux USA et de l’OMS sur le plan mondial.
J’ai déjà relayé ici nombre d’informations sur la surmortalité des jeunes. Je ne reprendrai aujourd’hui qu’une info diffusée par ce tweet de Martine Wonner à partir du site du VAERS :
Je vous laisse vous-mêmes en tirer toutes les conclusions.
A part l’injection qui pourrait en être la cause, si vous trouvez un autre raison, merci de m informer!#Ensemblepourleslibertés pic.twitter.com/X8DPPIrsn4— Martine WONNER (@MartineWonner) May 1, 2022
De nombreux pays comme le Danemark ont stoppé la vaccination mais en France, on a commandé des stock de vaccins pour les enfants de 5 à 11 ans !
Et la presse se tait sur la dangerosité des vaccins ! Elle devra en rendre compte quand le scandale aura éclaté.
Durant l’élection présidentielle …
Il y aurait énormément de choses à reprocher aux médias dans leur couverture de cette élection !
Pour ne pas être trop long, je me limiterai à dénoncer l’agressivité médiatique dont a été victime Eric Zemmour dès que les sondages ont montré qu’il était devenu dangereux pour le Système. Après le sabotage par Gilles Bouleau, au JT de TF1, de sa déclaration de candidature, plusieurs meetings à succès ont été réduits par les médias à des incidents mineurs qui s’y étaient passés.
Quant à Marine Le Pen, elle a été protégée par la presse avant le premier tour afin de tuer Eric Zemmour. Mais dès son accession au second tour, la presse s’est retournée, comme un seul homme, contre elle en la diabolisant à nouveau.
Les journalistes n’ont même pas besoin de parler pour comprendre qui ils soutiennent et qui ils abhorrent …
Pendant la guerre en Ukraine …
Sur leș médias alternatifs, on raconte une tout autre histoire que celle que nous servent les médias qui diabolisent Vladimir Poutine et voient Zelensky comme Nelson Mandela ! Je n’ai aucune compétence pour savoir qui dit la vérité, mais je reste méfiant …
En conclusion
En conclusion, je propose d’instaurer une journée de la déontologie journalistique qu’on pourrait mettre à profit pour auditer le travail des journalistes.
Je crois, d’ailleurs, qu’Elon Musk a le projet de créer un site internet qui permettrait de noter les journalistes et les médias sur le plan éthique …




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