A la recherche d’images d’illustration pour mon précédent article sur Génération identitaire, je suis tombé sur un article inclus dans la partie blog du site de Mediapart.
A ma grande surprise – on connait mon aversion pour Edwy Plenel – cet article reprenait un texte de Thaïs d’Escufon paru initialement sur le site La France Libérée.
Rendons donc hommage, pour une fois, à Mediapart pour avoir publié dans son blog un article contraire à ses convictions, et relayons à notre tour cet article :
Qui est Thaïs d’Escufon ?
Ou l’abjecte censure des réseaux Twitter et Facebook
On aime ou ou n’aime pas ! Chacun a ses opinions que ce soit dans la politique, dans le social oi dans la religion. La République est basée sur les principls de liberté en général, mais particulièrement sur la liberté d’expression, ce qui permet à chaque citoyen de pouvoir s’exprimer librement, sans aucune contrainte. Mais cette liberté n’est que simplement théorique aujourdhui, car il est interdit de se prononcer sur la plupart des choses, du moment que certains ne supportent pas l’analyse et la critique éventuellement. Alors, tout de suite, on parle de discrimination, de racisme, d’antisémitisme, d’homophobie, etc, etc … Lamentable !
N’oublions pas que nous avons tous le droit, et sans exception, que l’on soit français ou étranger, de formuler des critiques envers qui que ce soit ou envers des idées ou des mouvements à caractère politique ou religieux. C’est le principe de la libre pensée et de la libre expression.
Pour en venir à Thaïs d’Escufon, soyons clairs. Cette jeune femme milite à Génération identitaire. C’est son droit absolu comme c’est le droit absolu également pour ses adversaires, de pouvoir la critiquer publiquement s’ils le souhaitent. J’appelle cela le débatn public où chacun exprime son opinion en fonction de ses sensibilités et de ses objectifs.
Et où je m’insurge, c’est au niveau de l’intervention de certaines réseaux sociaux qui se mêlent de ce qui ne les regarde pas. Ainsi, Twitter et Facebook se permettent de supprimer des comptes sous prétexte que les idées politiques exprimées ne leur conviennent pas. C’est inadmissible d’autant plus que ces réseaux sont américains et viennent s’ingérer dans les affaires de la France ou d’autres pays. Qu’attend-on pour leur faire barrage et les combattre ?
L’exemple de Thaïs d’Escufon est flagrant. Découvrez-le ci-après dans les quelques lignes qui suivent.
Thaïs milite à Génération Identitaire depuis plus de deux ans. Après avoir participé à plusieurs actions d’envergure nationale, elle était présente sur les toits de République face à la manifestation du collectif Traoré.
Cette manifestation avait pour but de réclamer justice au nom des victimes du racisme anti blanc. Cette action aura été confortée par un sondage dévoilé par CNews où près de 47 % des Français estiment ressentir le racisme anti blanc.
Grâce au déploiement de cette banderole et à l’action que nous avons effectuée samedi dernier, les grandes retombées médiatiques ont permis notamment à CNews de faire cette enquête à propos du racisme anti blanc.
Elle révèle qu’au moins un Français sur deux le considère comme existant. Comme ce sujet est tabou en France, on est très fier de cette victoire qui consiste à lever le voile sur le racisme anti blanc.
Accusée d’avoir fait un salut nazi par Jean-Luc Mélenchon, la jeune militante de 21 ans n’a pas froid aux yeux et compte bien attaquer en justice le leader de la France Insoumise, qui est d’ailleurs déjà en partie revenue sur ses dires.
Jean-Luc Mélenchon a eu des propos diffamatoires à notre égard. Dans un tweet, il nous a accusés d’avoir effectué des saluts nazis sur le toit. C’était totalement faux puisque je tenais uniquement un fumigène. Nos ennemis ne reculent devant rien quitte à utiliser le mensonge pour nous discréditer.
Ils savent qu’ils ont déjà perdu sur le plan idéologique et politique.
Jean-Luc Mélenchon a reconnu dans une tribune récente qu’il avait fait une erreur à mon sujet et au sujet de mes camarades identitaires. En revanche, il n’a pas supprimé le tweet diffamatoire en question.
Avant que mon compte ne se fasse supprimer, j’avais informé Jean-Luc Mélenchon que s’il ne supprimait pas ce tweet, Génération Identitaire et moi-même maintenions notre plainte.
Le compte Twitter de Thaïs a été supprimé les jours suivant l’action, après avoir récolté 20 000 abonnés.
Le deuxième compte créé dans la foulée a lui aussi été visé par la plateforme, 24 heures après sa création malgré le soutien de 9000 personnes.
Nous sommes habitués à cette censure politique. J’ai déjà eu de nombreux comptes Instagram et Facebook qui ont été supprimés. Nous ne baissons évidemment pas les bras. Nous comptons trouver d’autres alternatives et des solutions pour continuer d’être présents sur ce réseau social. C’est un vrai handicap. Il est très important d’être présents sur ces réseaux de masse pour avoir une influence. Puisque les grands médias nous censurent, c’est le seul moyen que nous avons pour exprimer la liberté d’expression et d’avoir des retombées médiatiques.
La jeune militante a subi une vague de harcèlement de la part d’opposant, mais a pu compter sur des centaines de messages de soutien.
Voici quelques exemples de messages que j’ai reçus :
« un jour, je vais trouver ton adresse et celle de tes petits potes, on va brûler toi et ta famille »
« On a tous vos noms de salopes »
« Courage à vous, l’histoire et l’avenir vous donneront raison »
« Merci pour votre combat, même s’il est difficile à mener au quotidien »
Avec la censure de son compte, Thaïs n’aura finalement pas eu le temps de répondre à tout le monde.
J’ai reçu énormément de messages d’insultes, mais ce qui a été très encourageant, c’était les centaines de messages de soutien qui étaient deux fois plus nombreux voire trois fois plus.
Je remercie tous ceux qui ont pris la peine de m’écrire un message. Je n’ai pas pu répondre à tous, car il y en avait énormément, mais je les ai lus un par un.
Je remercie encore une fois les nombreux soutiens que nous avons reçus, les adhésions et les dons, suite à cette action.
Nous voulons donc faire savoir à toutes ces personnes qui nous soutiennent et nous suivent que nous ne lâcherons rien et que nous serons toujours en première ligne pour défendre notre peuple et son identité.
Thaïs d’Escufon
Suivre @ChrisBalboa78
Une réponse à “L’abjecte censure politique des réseaux sociaux”
Il faudra un jour comprendre que les « réseaux sociaux »sont des entreprises d’opinion, et pas autre chose. Un peu comme le courrier des lecteurs d’un journal. Il faut arrêter de s’étonner quand ils censurent !