Alors qu’Emmanuel Macron a annoncé une possible réactivation du pass vaccinal à l’automne et qu’Olivier Véran a même parlé de vaccination obligatoire et récurrente, de plus en plus d’études scientifiques indépendantes commencent à sortir et pointent la dangerosité des vaccins ARN Messager.
Le tout dans l’omerta totale des médias français
qui ne parlent jamais d’effets secondaires !
J’ai déjà consacré plusieurs articles à ces effets secondaires :
- Vaccins Covid : vous avez dit effets secondaires ?
- La grande omerta sur les effets secondaires des vaccins
- Assez d’omerta sur les effets secondaires des vaccins !
Je verse au dossier la dernière newsletter de Rodolphe Bacquet (Alternatif Bien-être) dont j’ai déjà plusieurs fois relayé les publications :
Vers une maladie de Spike chronique ?
Chers amis,
Concernant les effets secondaires à long terme des injections anti-Covid, on commence à peine à soulever, prudemment, le couvercle.
Le problème, c’est que l’on a pour le moment encore peu de moyen de connaître le contenu de la boîte … ni sa profondeur.
Je m’attends, ces prochains mois (et même ces prochaines années) à assister à une multiplication d’études portant sur ces sujets.
C’est une recherche nécessaire, même si les médias conventionnels prennent bien soin de ne pas ébruiter ces études, lesquelles contredisent régulièrement la propagande que ces mêmes médias ont complaisamment relayée pendant plus d’un an de campagne vaccinale.
Or, c’est précisément l’une des « garanties » majeures concernant le produit de Pfizer/BioNTech qui a été, voilà quelques semaines, contredite par des chercheurs suédois.
L’ADN humain bel et bien modifié par Pfizer
Cette étude dont je vais vous parler est, de très loin, la plus inquiétante de toutes celles sur lesquelles je suis tombé jusqu’à présent.
Pourquoi ? Parce qu’elle confirme, expérimentalement, ce sur quoi plusieurs scientifiques comme le Pr Luc Montagnier avaient alerté, à savoir que l’ARN de ces vaccins serait susceptible d’altérer l’ADN, par un phénomène connu sous le nom de transcriptase inverse.
Note du blogueur : il y a 6 mois les médias trainaient dans la boue la chercheuse Alexandra Henrion-Cause pour avoir avancé l’idée d’une modification de l’ADN (voir par exemple cet article de Radio-Canada).
Les auteurs de l’étude ont exposé, in vitro, des cellules de foie humain à BNT162b2 – qui est le nom « technique » du produit de Pfizer-BioNTech.
Et non seulement ils ont observé la retranscription, dans l’ADN de ces cellules humaines, de l’ARN de BNT162b2 … mais ce phénomène s’est produit six heures seulement après l’exposition au produit[1].
Un « possible mécanisme » expliquant cette retranscription serait, suite à l’exposition au Pfizer-BioNTech, l’élévation observée de l’activité de LINE-1, des éléments de notre ADN dont la fonction est justement de déplacer, de supprimer ou … d’ajouter des éléments de code.
Il faut prendre cette étude avec prudence, car ses résultats demandent à être confirmés par d’autres travaux, d’autant plus qu’elle n’a été menée, je le rappelle, que sur des cellules in vitro.
Mais si ses résultats sont confirmés, cela signifie que quelques heures seulement après l’injection du produit Pfizer/BioNTech, son ARN est retranscrit en ADN dans notre corps.
Quelles implications pour notre santé ?
Quelles que soient les conséquences à terme de cette « inscription » dans notre ADN de l’ARN de Pfizer-BioNTech, il faut d’abord convenir que :
tous les discours de type « ne soyez pas inquiets, l’ARN de ces produits n’altère pas l’ADN humain » étaient faux.
Étaient-ils délibérément mensongers ?
Ou bien est-ce une fois encore la démonstration que les industriels de Pfizer-BioNTech – puis derrière eux les gouvernements – ont joué les apprentis sorciers ?
Je vous laisse vous faire votre opinion.
Cette étude, en tous cas, menée sur des cellules de foie humain, jette une nouvelle lumière sur les cas d’hépatites auto-immunes constatées après une injection anti-Covid[2].
Ces hépatites ne seraient donc pas le fruit du hasard, mais la possible conséquence de la retranscriptase inverse du matériel génétique des vaccins à ARN messager en ADN par les cellules du foie … comme l’ont observé in vitro les chercheurs suédois.
Vers des « Spike » chroniques ?
Le médecin cardiologue américain Peter McCullough voit, dans cette étude suédoise, les « implications massives de changements chromosomaux »[3].
Car, maintenant que cette découverte a été effectuée, on ne peut que supputer sur ce qu’elle implique. Le Dr McCullough voit deux scénarios :
- cela pourrait conduire l’ADN des patients injectés avec Pfizer-BioNTech à produire, de manière continue mais légère, des protéines spike – ce qui pourrait provoquer des maladies chroniques (inflammatoires, donc, puisque provoquées par Spike) ;
- ou bien favoriser cette même production de protéines spike uniquement dans des circonstances très particulières, comme des situations de stress – la production serait alors plus importante – et conduire à une maladie plus dure.
Le Dr McCullough craint par ailleurs que cette modification de l’ADN soit transmissible, c’est-à-dire que les cellules-mères les transmettent aux cellules-filles.
Autrement dit, les gamétocytes (spermatozoïdes et ovules) pourraient être « chargés » de protéines spike, dont les bébés hériteront.
De la science-fiction ? Peut-être. Mais je rappelle que la théorie selon laquelle l’ARN de Pfizer-BioNTech pourrait être codé dans l’ADN humain était, il y a un an, considéré comme de la science-fiction.
C’est maintenant une vérité constatée in vitro.
Et les autres « vaccins » ?
Je n’oublie pas les recherches et le combat pour la reconnaissance des effets secondaires des sérums anti-Covid autres que Pfizer-BioNTech.
Ces combats sont difficiles, mais ils sont gagnables, comme celui mené par un habitant de Beaune ayant développé une perte d’audition et des acouphènes suite à une injection de Moderna.
Le partage de son expérience a eu un effet domino : sur son propre blog, près de 500 personnes ont témoigné de troubles de l’audition similaires après une injection anti-Covid.
Et à présent, il s’agit d’un effet secondaire officiellement reconnu par l’OMS, qui, il y a 6 mois, recensait 37 529 cas d’acouphènes ou de problèmes auditifs suivant une injection[4]. Chiffre probablement très en-dessous de la réalité.
Les acouphènes et les problèmes auditifs provoqués par les sérums anti-Covid faisaient, en octobre dernier, partie des nombreux effets secondaires auxquels les naturopathes Anne Portier et Laurent Fège apportaient des solutions dans une conférence très suivie, que vous pouvez revoir ici.
Portez-vous bien,
Rodolphe Bacquet.
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2 Réponses à “L’ADN humain est modifié par le vaccin ARN Pfizer !”
Deja des scientifique avait alerté sur ce probleme reel, mais comme on est en dictature, ceux ci ont ete evincé des plateaux de tv et de tout debat ou reçu pour etre uniquement combattu.
Génocide programmé ?