En complément de mon précédent article :
Dégauchiser l’AFP sera une priorité nationale !
Je me sens obligé de relayer un article très documenté de l’IREF tant ce parti pris gauchiste de l’AFP est dramatique.
En effet, les dépêches de l’Agence France Presse, en situation de quasi monopole, sont reprises la plupart du temps sans contrôle par tous les organes de presse !
L’AFP qui prétend pratiquer une information neutre qui écarte tout jugement avait pourtant qualifié de « polémiste d’extrême droite » Eric Zemmour lors de son entrée en campagne présidentielle ! L’AFP est bien la seule à ne pas voir là un jugement de valeur !
Voici donc l’article de l’IREF :
Le Hamas a trouvé un allié objectif : l’Agence France Presse (AFP). C’est promis-juré : les agissements en Israël de ce groupement armé islamique, à commencer par le massacre de civils, femmes, enfants, nouveaux nés, filmés par les auteurs eux-mêmes de ces atrocités, ne sera jamais qualifié de « terrorisme » par ses journalistes, en partie payés par le contribuable français.
Surtout ne pas vexer les criminels qui assassinent ses propres employés
Dans un communiqué qui prétend légitimer cette démarche et en faire même une preuve d’éthique journalistique, l’AFP explique : « … les attentats de l’Armée républicaine irlandaise (IRA), les attaques du 11 Septembre 2001 aux Etats-Unis, les meurtres d’Afro-Américains par un suprémaciste blanc en Caroline du Sud en 2015 ; les attentats de Paris en 2015 ; les attaques du dimanche de Pâques au Sri Lanka en 2019 ; et la fusillade dans les mosquées de Christchurch la même année… L’AFP ne décrit pas les auteurs de tels actes, passés ou présents, comme des « terroristes ». Cela inclut des groupes comme l’ETA, les Tigres de Libération de l’Eelam tamoul, les FARC, l’IRA, Al-Qaeda et les différents groupes qui ont mené des attaques en Europe au siècle dernier, dont les Brigades Rouges, la Bande à Baader et Action Directe. C’est une règle que nous avons fermement appliquée, même quand nos propres collègues ont été brutalement tués dans de telles circonstances. »
Voilà. Le Hamas est donc en bonne compagnie. Les pires horreurs seront peut-être décrites par l’AFP, mais jamais ne seront qualifiées de « terroristes ». L’agence en fait même un point d’honneur : surtout ne pas vexer les criminels qui assassinent ses propres employés.
Le problème avec cette politique éditoriale est double. Tout d’abord s’il est interdit de dire que des terroristes sont des « terroristes », comment doit-on les qualifier ? C’est là que les contorsions pseudo-éthiques de l’agence partent en eau de boudin. On voit immédiatement que les autres qualificatifs deviennent automatiquement des compliments.
L’agence tient à rester polie et respectueuse à l’égard des infectes créatures. Et pourtant, « Ils viennent jusque dans vos bras. Égorger vos fils, vos compagnes » (Rouget de Lisle, La Marseillaise). Les « terroristes » deviennent, au choix : des « activistes », des « combattants », des « militants »… Que de mots nobles pour qualifier d’immondes fanatiques sanguinaires !
Demain, s’ils réussissent dans leurs guerres, l’AFP fera d’eux des « patriotes », des « hommes d’État »… pourquoi pas des « philosophes », des « esthètes », des « humanistes » ? Ils œuvrent pour une cause qui est officiellement celle de la suppression de la liberté de parole, de la liberté de la presse, de la liberté de conscience et de religion. Il faut donc surtout les ménager…
Sous prétexte de ne pas « politiser » ses dépêches, l’AFP préfère édulcorer ou cacher la réalité. C’est le début de la légitimation de tels actes. C’est ainsi que l’on renvoie dos à dos les terroristes et ceux qui veulent s’en défendre. Le désir suicidaire de neutralité de l’AFP est un encouragement à tous ceux qui usent de moyens contraires aux principes élémentaires de la civilisation, pour atteindre des fins politiques et religieuses. Ceux qui défendent, en France, le Hamas sont ravis de la retenue de l’AFP. L’agence zélée sert la cause des islamo-gauchistes.
Qu’est-ce qu’un terroriste ? Réponse : quelqu’un qui sème la terreur pour faire avancer sa cause. En quoi sert-on la cause de l’information en refusant de dire que des groupements, des pays, des rebelles qui sèment la terreur, tuent par plaisir, s’en vantent, le proclament, le filment, sont des « terroristes » ? C’est presque les insulter que de ne pas leur conférer ce statut !
Deuxième problème de l’AFP dans son déni de réalité : l’agence démontre que sa mission n’est plus d’informer, mais de déformer.
Son objectif est de ne pas dire le vrai, pour mieux dire « le bon », c’est-à-dire de ne pas qualifier le réel pour mieux dire ce qui est politiquement correct. Et qui au passage, fait grimper le nombre de ses clients au Proche-Orient… La fausse neutralité, la prétendue objectivité maladive de l’AFP est en réalité un mélange de lâcheté et de malhonnêteté. L’AFP devrait être fière de servir partout le camp de la liberté face à la barbarie. Or comme elle ne veut pas condamner la barbarie islamique, elle la requalifie. Oui les terroristes de tous poils, passés et présents, sont des terroristes. Qu’ils soient irlandais ou islamistes. Disons-le.
En 1942, lorsque les troupes allemandes tuaient des otages, torturaient des résistants, il n’aurait pas fallu qualifier ces actes de « terrorisme d’État » ? C’était « du maintien de l’ordre » ? De la simple répression de dissidents ? Quelle neutralité froide, quelle objectivité déshumanisée, quel aveuglement pervers aurait animé cette agence si elle avait existé sous l’occupation allemande ?
Oui, les journalistes ont des ennemis. Il s’agit de dictateurs, de violents tortionnaires, de criminels déguisés en patriotes, et de technocrates lâches qui les laissent faire. Oui, le bon journaliste doit dire les mots qui fâchent, appeler un chat un chat, et un tueur islamiste, un terroriste. En promettant, par avance, de ne jamais désigner comme « terroristes » les pires des terroristes, l’AFP ne fait pas son métier, elle le trahit. Elle se coupe du vécu des hommes, femmes et enfants qui meurent sous les coups de la terreur. Elle se trompe de camp.
P.-E. Ford pour l’IREF.
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Une réponse à “L’AFP ou le déni de la réalité terroriste”
Les journaleux de goche ( pleonasme ) souvent radicalisé, manipulateurs, hypocrite, fleurtant avec le niveau du caniveau,
a part quelques vrais rares journalistes traités par ceux ci d’extremistes,
seulement parce qu’ils pointent les incoherences, les mensonges, la duperie, la fourberie, l’ hypocrisie, les fausses infos, par la goche,
sont mis a l’ecart, traité de tout les noms par cette goche devenue rance.
L’habitude du mensonges s’est tellement installée a goche, que la verité n’est plus pour eux le centre de leur valeurs, mais seulement leur ideologie a l’encontre du reel, du peuple, et des valeurs universelle.
Les journaleux surtout de goche ne sont pas tenu a une reserve de tenu, de valeurs, de respect, par leur deontologie qui a disparue presque completement,
mais tout est dans la forme et pas dans le fond la plupart du temps.
Demander a la goche de dire le reel est parfois une epreuve pour celle ci, car cela l’eloigne avant tout de son ideologie,
au point que les humanités a goche sont devenu des mots plus manipulateur que reel.
La goche s’est enfoncé de plus en plus dans l’ideologie, et le reel n’est pas vraiment son fond de commerce,
ainsi nommer des fait devient une grande difficultée par la goche si cela ne correspond pas a son ideologie.
On en revient au deux poids deux mesure que les francais subissent depuis longtemps, de meme sur les infos, la pseudojustice …
La goche a abandonné les classes ouvrieres pour s’ouvrir vers le monde arabes,
o a pour resultat une profonde decadence morale de la goche,
avec pour effet l’oubli de l’humanité normale la plus simple.
Pour la goche qui joue avec les mots, les oublis, la desinformation, joue avec le melange des genres, tout est bon pour trouver la bonne manipulation qui fera de la goche un parti qui survivra.