La Macronie et la Justice s’acharnent contre les militants de Génération identitaire, association qui a été dissoute par Gérald Darmanin.
Cette association, n’a jamais pratiquée la violence et s’est toujours contentée de dérouler des banderoles au col de l’Echelle pour protester contre la passage de nombreux clandestin, sur l’immeuble de la CAF à Bobigny. Elle a aussi occupé quelques heures une mosquée en construction à Poitiers et un siège de l’ONG SOS Méditerranée.
Pour sa manifestation dans les Alpes, trois cadres de Génération identitaire avaient été condamnés en première instance mais relaxés en appel.
Pour la CAF de Bobigny, 19 militants de Génération identitaire ont été condamnés à des peines d’un à trois mois de prison avec sursis.
On remarquera qu’en France, les associations condamnées voire dissoutes sont pratiquement toujours marquées à droite ! C’est la même chose pour les lanceurs d’alerte !
Il est mieux vu d’alerter contre le racisme que contre l’islamisme !
Voici un communiqué de l’ASLA qui lance une collecte pour aider deux lanceurs d’alerte condamnés pour avoir dénoncé les acquaintances entre une mosquée et les islamistes :
Deux lanceurs d’alerte condamnés à verser 17 000 € pour avoir dénoncé les liens du recteur de la grande mosquée de lyon avec l’islamisme !
Le 21 février 2022, deux lanceurs d’alerte, ex-militants de Génération Identitaire, ont été condamnés en première instance par le tribunal correctionnel de Lyon pour « provocation publique à la discrimination, à la haine, à la violence ». Pour des tweets remontant à mars 2020, ils ont chacun écopé de 4 mois de prison avec sursis, de 5 000 € d’amende, de 5 000 € de dommages et intérêts de 2 000 € de frais de procédure à régler.
En France, pointer les liens très ambigus qu’un responsable religieux musulman peut entretenir avec la mouvance islamiste coûte cher. Dans le cas de Kamel Kabtane, recteur de la Grande Mosquée de Lyon et président-fondateur de l’Institut Français de Civilisation Musulmane (IFCM), ces liens avec les Frères musulmans sont documentés : en 2003, l’imam Abdelkader Bouziane donnait une conférence à la Grande Mosquée de Lyon. Déjà identifié comme islamiste dès 1991, il sera expulsé vers l’Algérie en 2004 pour avoir justifié la lapidation et la violence contre les femmes. Mohamed Bajrafil, disciple de Safwat Hejazi, idéologue des Frères musulmans a quant à lui été invité à s’exprimer à l’IFCM en 2019.
Bien entendu, les deux lanceurs d’alerte ont décidé de faire appel de cette décision inique, afin de faire respecter leurs droits et leur liberté la plus élémentaire à s’exprimer contre l’islamisation de la France.
Pour aider ces deux pères famille, patriotes engagés à couvrir leurs importants frais d’avocat et maximiser leurs chances de gagner dans une procédure d’appel qui s’annonce difficile, l’ASLA compte sur ses généreux soutiens pour rajouter une victoire supplémentaire à sa longue liste.
Faites un don pour soutenir ces deux lanceurs d’alerte identitaires
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2 Réponses à “Lanceurs d’alerte: le deux poids, deux mesures, là aussi !”
C’est le monde à l’envers, les honnêtes gens sont punis, tandis que ceux qui aident à la destruction du pays sont relaxés.
On a plus besoin d’ennemis, l’Etat tient ce rôle sous couvert d’une soi-disant justice ultra pourrie aux services de salauds et d’une politique de destruction.
Il est pas bien pour la pseudo bien pensance de dire la verité,
comme chez les soviets, ( les fous ).
La pseudo justice vendu au pseudo progressisme en profite pour
demolir toute opposition a leur ideologie malfaisante.