L’ARN Messager détruit le système immunitaire naturel

Certains d’entre-vous peuvent penser que je rabâche, que je tourne en rond, que je radote, même, en relayant ici, force articles dénonçant la gestion de la crise sanitaire.

Je vous comprends et vous laisse sauter cet article !

Mais, mon entêtement n’a d’égal que la complaisance des médias avec le pouvoir en place. Je ressens comme un devoir de témoignage libre face à une presse sans éthique.

En fait, je prends date ! Car j’ai la conviction que toute cette crise se terminera dans un gigantesque scandale et ce jour-là, on comptera ceux qui se sont couchés devant la doxa dominante et ceux qui ont résisté, même à leur modeste niveau …

Je note cependant, depuis quelques semaines, un léger revirement dans la presse avec la présence sur les plateaux télé des chaines d’infos de médecins plus critiques de la politique gouvernementale et notamment du pass vaccinal (cf Martin Blachier et Eric Caumes).

Aujourd’hui, je relaye un article paru sur le site Anguille sous roche qui rapporte les résultats d’une étude sérieuse démontrant que les vaccins ARN Messager détruisent le système immunitaire naturel ce qui serait extrêmement grave pour l’avenir.

Selon une nouvelle étude qui fait l’effet d’une bombe, publiée vendredi, les vaccins à base d’ARNm suppriment le système immunitaire et permettent à des maladies potentiellement dangereuses de se développer.

Les résultats ont été publiés dans une étude Preprint le 21 janvier 2022, intitulée :

Innate Immune Suppression by SARS-CoV-2 mRNA Vaccinations: The role of G-quadruplexes, exosomes and microRNAs.

Selon les auteurs de l’étude, il a été démontré que les vaccins à ARNm régulent à la baisse des voies critiques liées à la surveillance du cancer, au contrôle des infections et à l’homéostasie cellulaire. En bref, les vaccins expérimentaux exposent l’organisme à des maladies neurodégénératives, à la myocardite, à la thrombocytopénie immunitaire, à la paralysie de Bell, à des maladies du foie, à une immunité adaptative altérée, à une tumorigenèse accrue et à des dommages à l’ADN :

Résumé :

Les vaccins ARNm SARS-CoV-2 ont été mis sur le marché en réponse aux crises de santé publique largement perçues de Covid-19.

L’utilisation de vaccins à ARNm dans le contexte de maladies infectieuses n’avait pas de précédent, mais les temps désespérés semblaient appeler des mesures désespérées. Les vaccins à ARNm utilisent des ARNm génétiquement modifiés codant pour des protéines de pointe.

Ces altérations cachent l’ARNm des défenses cellulaires, favorisent une demi-vie biologique plus longue pour les protéines et provoquent une production globale plus élevée de protéines spike. Cependant, les preuves expérimentales et observationnelles révèlent une réponse immunitaire très différente à ces vaccins par rapport à la réponse à l’infection par le SRAS-CoV-2.

Comme nous le montrerons, les modifications génétiques introduites par le vaccin sont probablement la source de ces réponses différentielles. Dans cet article, nous présentons les preuves que la vaccination, contrairement à l’infection naturelle, induit une altération profonde de la signalisation de l’interféron de type I, qui a diverses conséquences néfastes sur la santé humaine. Nous expliquons le mécanisme par lequel les cellules immunitaires libèrent dans la circulation de grandes quantités d’exosomes contenant des protéines de pointe ainsi que des microARN critiques qui induisent une réponse de signalisation dans les cellules réceptrices à des sites distants.

Nous identifions également des perturbations potentielles profondes du contrôle réglementaire de la synthèse des protéines et de la surveillance du cancer. Il est démontré que ces perturbations ont un lien de causalité potentiellement direct avec les maladies neurodégénératives, la myocardite, la thrombocytopénie immunitaire, la paralysie de Bell, les maladies du foie, l’immunité adaptative altérée, la tumorigenèse accrue et les dommages à l’ADN.

Nous montrons des preuves provenant de rapports d’événements indésirables dans la base de données VAERS qui soutiennent notre hypothèse. Nous pensons qu’une évaluation complète du risque/bénéfice des vaccins à ARNm les exclut comme contributeurs positifs à la santé publique, même dans le contexte de la pandémie de Covid-19.

L’étude a été menée par :

• Stephanie Seneff (chercheuse scientifique principale, laboratoire d’informatique et d’intelligence artificielle, MIT, Cambridge) ;
• Greg Nigh (oncologue naturopathe, Immersion Health, Portland) ;
• Anthony M. Kyriakopoulos (Directeur et chef de la recherche et du développement, Laboratoire de biotechnologie Nasco AD, Département de la recherche et du développement, Grèce) ;
• Peter A McCullough (conseiller médical en chef, Fondation Vérité pour la santé, Tucson, AZ).

Vous pouvez lire l’étude complète ici.

Anguille sous roche.