Le féminisme tué par ses silences …

Publié par le 2 Sep, 2021 dans Blog | 2 commentaires

Le féminisme tué par ses silences …

Les féministes et les écologistes d’aujourd’hui ont un point commun, ils ont perdu de vue leurs nobles objectifs initiaux et ce faisant ils se sont dévoyés et ont perdu leur âme :

– Les féministes ne défendent plus les femmes !
– Les écologistes ne défendent plus la planète !

Au nom de la liberté, les féministes approuvent le port du voile islamique, signe pourtant évident et cruel de la discrimination patriarcale exercée sur les femmes !

Les écolos, eux, appartiennent d’abord à l’extrême gauche avant de se soucier d’écologie. Au nom d’un dogme antinucléaire, ils font fermer des centrales nucléaires qui ne produisent pas de CO2 pour réouvrir de polluantes centrales à charbon ! Cherchez l’erreur !

Il fallait une femme pour stigmatiser cette « perte d’âme » des féministes. C’est Gabrielle Cluzel, rédactrice en chef de Boulevard Voltaire qui s’y est collée ! Et elle appuie là où ça fait mal :

Passe sanitaire, avortement sélectif, vague
migratoire afghane : le grand silence féministe

Mais où sont donc passées les féministes institutionnelles ?
Toujours sur la plage, mesdemoiselles ?

Pourtant, en cette fin d’été, il y a du pain sur la planche.

Il y a ces troubles menstruels dont se plaignent un nombre non négligeable de femmes vaccinées. Même si l’Agence nationale de du médicament, qui a analysé 310 cas, a affirmé ne pas avoir pu établir de lien avec la vaccination, l’Agence européenne du médicament demande des données supplémentaires aux laboratoires. Il ne devrait pas en falloir plus pour convaincre quelques lanceuses d’alerte de relayer les réticences des jeunes femmes – infirmières, médecins, policières, serveuses… – quant au vaccin. Aucune personnalité, dans les médias, pour faire valoir la légitimité de leur doute eu égard au précédent proprement féminin Distilbène™ ? Le principe de précaution aurait-il disparu de la circulation ?

Gabrielle Cluzel

Il y a bien, ici et là, sur les réseaux sociaux, quelques féministes radicales – comme « Camille et Justine », 87.600 abonnés Instagram – pour se faire l’écho de cette omerta (« Chaque personne qui voit son cycle perturbé depuis l’injection panique tranquillement dans son coin »), mais aucune ou pour porter médiatiquement le sujet.

Car la féministe est avec le dogme dominant comme la femme soumise avec le mâle du même nom : collée, dépendante, silencieuse.

De la même façon, vous ne les entendrez pas faire de publicité à l’étude publiée, le 2 août dernier, dans la revue BMJ Global Health, estimant à 4,7 millions de femmes le déficit dont serait responsable l’ sélectif pour les dix prochaines années : « Pratiqué depuis les années 1970 dans plusieurs pays de l’Europe du Sud et en Asie, comme en Chine ou en Inde » et arrivant désormais sous nos latitudes à la faveur de l’immigration, ce déficit de femmes pourrait avoir des « répercussions durables ». À quoi bon imposer la parité dans les conseils de surveillance du CAC 40 si on ne la maintient pas là où elle existait jadis naturellement, entendez à la naissance ?

Mais on ne touche pas à la sacro-sainte IVG !

Suggérer de réduire le délai légal plutôt que l’allonger afin d’éviter que soit clairement identifié le du bébé serait déjà un crime de lèse-majesté. Puis ce sujet est glissant : il peut jeter l’opprobre sur d’autres que les Occidentaux qui, seuls, doivent comparaître, comme on sait, au banc des accusés. Donc, elles se taisent. Intellectuellement cloîtrées derrière leur moucharabieh.

Ultime sujet l’Afghanistan. Là, attention ! Les féministes se sont réveillées.

Car cette fois, la condition féminine est un bon marchepied pour les sans-frontiéristes patentés. Sous le hashtag « sororité sans frontière », de Cécile Duflot à Sandrine Rousseau en passant par les caciques d’Osez le féminisme !, on a manifesté, signé des tribunes pour réclamer au chef de l’État « un droit d’asile inconditionnel des femmes afghanes et leurs proches » (sic). Mais comment circonscrire la proximité ? Frères, maris, pères, cousins, voisins, tant qu’on y est… les persécutées avec les persécuteurs, histoire de reconstituer en France l’Afghanistan tout entier et, ainsi, importer son exotique mais moyennement romantique conception des relations hommes-femmes, quelle merveilleuse idée.

Car les talibans ont bon dos. En 2011, selon un sondage du Pew Research Center, 99 % des Afghans disaient soutenir la charia et 85 % la lapidation en cas d’adultère… Et comme l’écrivait, en 2015, un journaliste afghan sur le site de France 24, évoquant la récente lapidation d’une femme dans la région de Ghalmin : « [Les] violences ne sont pas limitées aux zones contrôlées par les talibans, mais ont aussi cours dans des régions totalement contrôlées par le gouvernement […]. Des châtiments ont d’ailleurs eu lieu en présence de responsables locaux ou de la police. »

En plus d’être soumises, nos féministes croient aux conte de fées, avec ses gentils très beaux et ses méchants très vilains. Cliché féminin, quand tu nous tiens.

Gabrielle Cluzel pour Boulevard Voltaire.

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2 Réponses à “Le féminisme tué par ses silences …”

  1. Les assos de feministes n’existent plus, en tant que defenseurs des droits des femmes,
    elle se sont muées en assos de lgpdt, leur tendance est a se ruer contre tout hommes blancs, sur tout ses comportements, leur interdisants presque tout, tandis qu’elle laissent faire presque tout aux categories surtout musulmanes.

    Ces assos ne maudissent que l’homme blancs, et se foutent du monde entiers, puisque elles ne font rien si les femmes sont agressées par les etrangers ou les non assimilés qui suivent d’autres cultures.

    Ces assos ne sont que du vent qui ne sert que les interets du grand remplacements, et les idées des progressistes, dont on sait que la moralité est plutot tres au dessous de la moyenne du peuple.

  2. Tous ce qui est de tendance politique trahit le pays, que ce soit immigratoire, les fausses promesses, la justice pourrie, les medias totalement sous controle et mentant sur des sujets graves, les soit disant defenseur de la femme, tous agissent dans le sens de la destruction du pays, tel est leurs actes et plus le temps passe, plus cela s’aggrave car les « élites » sont trop corrompu et vont jusqu’a trahir et travailler contre l’interet du pays.

    Cela ce voit avec tout les grands problemes en cours.

    Il n’y a qu’une solution pour sortir de cette voie sans issue, le peuple doit s’unir et dire NON pacifiquement a toute ces politiques qui les perds irrémediablement s’il ne font rien et il ne faut pas compter sur le vote, car tous les politiciens sont trop corrompu.

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