J’ai multiplié les articles rapportant les oppositions aux conclusions du GIEC par de nombreux scientifiques de renom :
CO2, effet de serre : les raisonnements douteux du GIEC
Non, tous les scientifiques n’approuvent pas le GIEC
Et si on fouillait dans le rapport du GIEC …
Il n’y a aucune urgence climatique !
Dénonçons l’imposture avant que cela soit interdit !
Je vous propose aujourd’hui une compilation de déclarations de scientifiques qui participaient aux travaux du GIEC et qui l’ont quitté après avoir constaté sa dérive idéologique.
La critique qui revient souvent est que, pour chaque rapport publié par le GIEC, le résumé – à l’usage des décideurs politiques – ne reflète pas le contenu du rapport.
Toutes les observations qui ne vont pas dans le sens du narratif de la responsabilité humaine du réchauffement climatique en sont systématiquement écartées.
Il y a avant tout un non-sens scientifiques dans la mission même du GIEC qui est chargé d’étudier uniquement les influences de l’activité humaine sur le climat – qui n’a jamais été prouvée – et en écartant toutes les autres causes potentielles comme l’activité solaire et la proximité de la Terre au soleil.
Par exemple, le fait qu’il y ait un élargissement notoire de la calotte polaire de l’antarctique mesuré par la NASA, depuis quelques années, n’est jamais pris en compte par le GIEC !
Voici la compilation des déclarations évoquées plus haut (tweet disponible en fin d’article) :
Professeur Robert Balling :
Le GIEC constate qu’aucune accélération significative de l’élévation de la mer n’a été observée au cours du XX ème siècle. Cela n’est pas apparu dans le résumé du GIEC destiné aux décideurs politiques !
Professeur John Christy :
Le public sait à peine que la plupart des scientifiques participant au GIEC ne sont pas d’accord avec l’idée d’un réchauffement climatique. Ses conclusions n’ont cessé d’être mal présentées ou politisées à chaque nouveau rapport.
Professeur Judith Curry :
Je ne vais pas me contenter de bavarder à tort et à travers et de soutenir le GIEC parce que je n’ai pas confiance dans le processus.
Professeur Robert Davis :
Les températures mondiales n’ont pas évolué comme les modèles climatiques modernes l’avaient prédit. Dans le résumé du GIEC destiné aux décideurs politiques aucune mention n’apparait des observations de température par satellites.
Professeur Willem de Lange :
En 1996, j’ai été listé par le GIEC comme l’un des 3000 scientifiques prétendant qu’il y avait une influence humaine identifiable sur le climat. Je n’ai pas convenu de cela ! Il n’y a pas de preuves qui soutiennent l’hypothèse qu’un changement climatique rapide et catastrophique est dû à l’activité humaine.
Professeur Elgil Frils-Christensen :
Le GIEC a refusé de considérer l’impact du soleil sur le climat terrestre, un sujet digne d’être étudié. Le GIEC considérait que son rôle se limitait à étudier les causes humaines possibles du changement climatique.
Professeur Vincent Gray :
La déclaration du GIEC sur le changement climatique est une litanie de mensonges mis en scène !
Voici le tweet correspondant :
Le GIEC : Cet outil de propagande au service du WEF
D’anciens scientifiques ayant compris la manipulation du changement climatique et qui ont quitté le GIEC prennent la parole. pic.twitter.com/4fUxYR48C9
— On m’appelle 404 (@Red_Pill_Report) February 5, 2024
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Une réponse à “Le GIEC : cet outil de propagande au service de Davos”
Ces animaux jouent sur la peur, comme avec le covid…
ainsi, ils profitent d’etouffer tout debats, tout arguments, pour imposer leur idees devenue ideologie et culte de l’ecologie.