Un terrible réquisitoire !
L’ouvrage d’Yves Mamou, Le Grand Abandon, est en effet un réquisitoire implacable sur la trahison des élites dans le domaine de l’immigration et de l’islamisation de la France.
Yves Mamou analyse comment, petit à petit, se sont mis en place des mécanismes juridiques qui bloquent toute tentative de contrôler l’immigration en France.
Ces mécanismes, qu’on pourrait qualifier de scélérats, ont été imposés au peuple par des organismes sans aucune légitimité démocratique tels que le Conseil constitutionnel, le Conseil d’Etat, la commission nationale consultative des droits de l’homme, placés sous la pression d’une horde d’associations antiracistes.
Attention, cet ouvrage n’est pas l’oeuvre d’un militant aux idées fascisantes. Yves Mamou est, à l’origine, un journaliste économique qui a travaillé au magazine l’Expansion et a passé 23 ans au journal … Le Monde ! Ça n’en donne que plus de force et de crédibilité à son travail !
Avant que je vous propose des articles relayant certains chapitres du livre, voici un extrait de son introduction qui donne une idée de son contenu :
Le Grand Abandon est le survol descriptif d’une talibanisation politique et idéologique de la société française. Les Talibans sont ces islamistes afghans qui, en 2001, ont fait sauter de monumentales statues de Bouddha, vieilles de seize siècles, dans la vallée de Bamiyan en Mghanistan. La même année, al-Qaida rasait les Twin Towers de Manhattan.
Comme si elles avaient entendu le message, les élites mondialisées donnent le sentiment d’avoir entrepris de faire table rase elles-mêmes de la culture et des identités des nations avec lesquelles elles ne veulent plus rien avoir à faire. Et ce sans attendre que les islamistes s’en chargent.
Chapitre I – L’antiracisme
L’antiracisme est le moteur du système. Quiconque ose suggérer que l’immigration de masse n’est pas un droit de l’homme et que le terrorisme n’est pas la conséquence d’une honteuse exclusion économique court le risque d’être rangé dans la case FN-racisme-xénophobie passible des tribunaux.
Chapitre II – La Justice
La justice joue un rôle clé dans le verrouillage de la critique de l’islam, de l’islamisme et de l’immigration. D’un côté, elle réprime (mollement) le terrorisme dans le cadre du droit de la délinquance (et non pas de la guerre) mais de l’autre, elle pénalise toute critique de l’islam, de l’islamisme ou de l’immigration musulmane.
Chapitre III – Les institutions en faveur de l’immigration et du multiculturalisme
Les institutions en faveur de l’immigration et du multiculturalisme. Le Conseil constitutionnel, le Conseil d’État et toutes les agences normatives (Conseil supérieur de l’audiovisuel [CSA], Défenseur des droits, Commission nationale consultative des droits de l’homme [CNCDH] … ) qui se sont multipliées ces dernières années ont cessé de défendre l’unité de la nation, la liberté d’expression ou la laïcité. Au nom d’un égalitarisme dévoyé, elles encouragent au séparatisme communautaire (burkini, voile … ).
Chapitre IV – La diversité
La « diversité » n’est pas un simple slogan, c’est une politique de reformatage des consciences. De puissantes institutions (normatives et culturelles) ont entrepris de « mettre à jour » – comme on met à jour le logiciel d’exploitation d’un ordinateur – l’expérience vécue et la perception de soi de la population dite « de souche ».
Chapitre V – La politique
Face au terrorisme et à l’immigration, droite et gauche confondues ont renoncé à penser et à agir en termes de nation, d’intérêt général, de libertés publiques et de défense de la laïcité.
Chapitre VI – L’école, l’université et l’islam
Entre 2012 et 2017, les socialistes ont tenté d’adapter le collège et son enseignement aux exigences des jeunes musulmans issus de l’immigration. Parallèlement, l’université a entrepris de transformer en « savoir » les théories racialistes du Parti des indigènes de la République (PIR).
Chapitre VII – Église, islam, laïcité
La prime de la démission va incontestablement à l’église catholique qui chante l’immigration – et l’immigration musulmane en particulier comme un droit de l’homme chrétien.
Chapitre VIII – Médias, buzz, lynchage
Les médias sont l’outil de verrouillage du déni. Déni de la guerre que les islamistes hard et soft mènent contre les libertés en Europe, déni des risques liés à une immigration musulmane de masse, lynchage en meure de toute parole hérétique.
Chapitre IX – Les islamo-intellectuels, ou la énième trahison des clercs
Les intellectuels se sont saisis de la lyre de la repentance pour transformer les agresseurs en victimes et les victimes en coupables. Ils portent une responsabilité historique dans la glaciation de la réflexion.
Chapitre X – hypocrisie et bien-pensance
Experts et people : hypocrisie et bien-pensance. Les experts (économistes, démographes … ), porteurs d’une parole faussement désintéressée, ont contribué à torpiller la confiance dans les institutions. Quant aux people, leur autorité morale s’exerce de plus en plus à contre-emploi.
Chapitre XI – L’islamisme est un marché lucratif
Les multinationales de l’agroalimentaire et de la mode ont amplifié la force de frappe des deux marqueurs de l’islamisme, le voile et le halal.
Chapitre XII – Le « vivre-ensemble » ? Oui, mais sans les juifs
Une nouvelle société se met en place où la couleur de la peau donne des droits. Notamment celui de réécrire l’Histoire et de réguler la liberté d’expression d’autrui. Les exclus du système sont les juifs.
Yves Mamou dans Le Grand Abandon.
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