Le Grand Remplacement … des prénoms

Il n’y a plus que les autistes de gauche qui refusent aujourd’hui de reconnaitre qu’au moins dans certains quartiers voire départements, la population autochtone est progressivement « remplacée » par l’immigration maghrébine et sub-saharienne.

La gauche en priorité par son idéologie et la droite par sa lâcheté auront un jour à rendre des comptes quand les communautés s’affronteront.

Combien de temps encore Eric Zemmour restera le seul à parler de « guerre de civilisation sur notre sol » ? Le recul du christianisme et l’activisme de l’islam dans notre pays va rendre de plus en plus difficile la cohabitation de ces deux civilisations.

Il n’y a que les progressistes béats à ne pas voir les provocations de l’islam politique qui n’hésite plus à s’afficher dans les rues en clamant son noir dessein :

Moi, je t’invite à respecter l’orthographe de la langue de TON pays !

Puisque les statistiques ethniques sont interdites en France – un oukase imposé par la gauche ! – on peut se rabattre sur l’analyse des prénoms donnés les plus fréquemment dans certains territoires.

Voici le top 10 des prénoms masculins et féminins donnés les plus en Seine-Saint-Denis :

Voici un court article oublié par Valeurs actuelles sur le sujet :

Prénoms musulmans ou indices de la communautarisation

Tandis que le débat autour des prénoms cristallise les tensions dans le débat public depuis plusieurs années déjà — on se souvient notamment de la passe d’armes, sur le plateau de Salut les Terriens, entre la chroniqueuse Hapsatou Sy et le polémiste Éric Zemmour —, la dernière étude de l’Insee sur le sujet révèle l’importance de la fracture culturelle et de la transformation majeure que subit la population française.

Les chiffres révélés par l’Institut, pour bien être compris, doivent être analysés aux différents échelons du territoire. Si la proportion de prénoms musulmans est de l’ordre de 20 % au niveau national, cette répartition se trouve être extrêmement hétérogène d’une région ou d’un département à l’autre. Par exemple, les statistiques du département de la Seine-Saint-Denis attestent d’un changement radical de la population, un processus à la dynamique affolante : en 1970, seulement 6 % des prénoms étaient musulmans ; trente ans plus tard, en l’an 2000, la proportion est quadruplée pour atteindre les 25 %. Encore vingt ans plus tard, c’est plus de la moitié des prénoms du département (55 %) qui sont concernés. Cette évolution extrêmement rapide montre qu’il y a effectivement un remplacement de population — au moins à l’échelle départementale —, mais elle traduit également une autre réalité : les populations immigrées de culture musulmane, à la différence des immigrés italiens, polonais ou espagnols des XIX^ème et XX^ème siècles, ne souhaitent pas adopter les mœurs et les signes de la culture française.

Ce constat d’une immigration qui ne s’assimile plus forge l’un des
clivages idéologiques majeurs qui oppose la gauche et la droite.

Si les représentants français du “wokisme” et de l’indigénisme considèrent que la France s’enrichit de cette diversité et de cet “apport culturel”, nombre de Français s’effraient d’une possible dilution de la culture nationale, d’autant plus que la démographie des familles immigrées bénéficie d’une dynamique plus importante que la moyenne nationale. Les études sur les prénoms sont en réalité un révélateur — la réalisation de statistiques ethniques et religieuses étant interdite par la législation française —, elles permettent de prendre la mesure de la fracture culturelle qui est en train de se dessiner au sein de la population française et fait écho à ce que tout un chacun peut apercevoir dans l’espace public mais qui n’est pas ou difficilement mesurable : la prolifération de commerces halal, la multiplication du nombre de voiles dans la rue ou encore l’augmentation du nombre de mosquées.

Valeurs actuelles.