Le site Damocles est en train de conquérir une place de choix parmi les sites de ré-information.
Il a créé une équipe « désintox » pour contrebalancer les nombreux médias de gauche qui se permettent de noter les autres sites web à partir de leur morale bien particulière et partisane.
Il combat la censure qui se prépare dans les réseaux sociaux car la chasse aux Fake News est en passe d’être confiée officiellement à des médias largement orientés à gauche.
Je relaye ce matin une newsletter publiée par l’équipe dirigeante de Damoclès.
Chère Madame, cher Monsieur,
Vous avez été très nombreux à me répondre au sujet de l’incendie de Notre-Dame et de la propagande évidente des médias au pouvoir. Heureusement, vous n’êtes pas dupes !
Certains d’entre vous tombaient quand même des nues, demandaient des preuves, des liens… (et tout ce que nous disons est dûment vérifié et sourcé). Il faut dire que le matraquage des médias censeurs est tel, que oser chercher la vérité est devenu héroïque. Quand j’ai vu ce réflexe incroyable des journalistes, condamnant tout ce qui dépassait de leur doctrine comme « complotiste », j’ai tout de suite demandé à Thomas, notre journaliste, d’écrire un Damoclès Désintox sur cette affaire. Je pressentais que l’enjeu était énorme. Car il s’agit de la liberté de penser des Français.
Vous savez, nous discutons beaucoup des autres médias, en équipe. Nous passons des heures à analyser leurs stratégies, à éplucher leurs tactiques. Leurs manipulations. Et Thomas est sans doute le plus sévère d’entre nous : car, non seulement il a connu les affres des écoles de journalisme, mais il a cultivé par opposition une très haute idée du métier.
Quand on ne l’a pas vécu, il est difficile de s’imaginer le niveau de formatage que subissent les élèves en journalisme. Avant même de passer le concours, il faut bachoter pendant 6 mois toutes les actualités du journal Le Monde. C’est LA référence absolue. Si vous ne parlez pas la langue du Monde, si vous n’épousez pas ses points de vue, vous n’avez aucune chance d’entrer.
Premier filtrage.
Puis, dans le hall d’école, chaque matin, une pile de Libération est disposée pour être « librement » lue. Alors, puisque vous avez le choix, vous faites comme tout le monde. Vous lisez, vous vous abreuvez, vous assimilez.
Comme vous êtes de-gauche-donc-ouvert-d’esprit et que vous vous en gargarisez entre vous, vous acceptez que quelques originaux lisent le Figaro. Mais c’est l’extrême limite. On vous apprend à écrire des dépêches AFP, la principale source d’information des rédactions. Voire l’unique…
Ces journalistes vivent dans une bulle où les délinquants sont des victimes et où l’on craint ce que pourraient mal penser les gens…
Les journalistes ne lisent pas les commentaires sous leurs articles. Ils n’ont pas besoin de retour, de toutes façons. Les lecteurs négatifs sont des frustrés. Les journalistes font leur métier correctement. Ils pensent bien. Un point c’est tout. Aucune remise en question.
Attention, Thomas ne dit pas pouvoir atteindre l’objectivité. Il assume son point de vue, sans le croire universel. Journalisme n’est pas science. Le vrai journaliste enquête, bien sûr, il regarde, il observe, il rapporte.
Et il reste humble devant ce qu’il voit.
Alors devant cette propagande évidente, Thomas a proposé un Damoclès Désintox consacré à ces médias politiquement corrects devenus depuis peu censeurs officiels sur Facebook.
https://damocles.co/desintox/facebook-medias-verificateurs-fact-checking/
Il ne s’agit malheureusement pas d’une manière de parler … Car quelques journalistes peuvent désormais décréter ce qui doit être dit et ce qui est tabou sur le réseau social qui compte 35 millions d’utilisateurs actifs en France et qui est devenu une des principales sources d’information des Français !
Et de rassemblement : le mouvement des Gilets Jaunes est né spontanément sur Facebook et ça gêne le pouvoir…
Dans ce dernier Damoclès Désintox, Thomas analyse le discours de ces journalistes en comparant les différences flagrantes de traitement d’information. Parfois, c’est subtil. Mais la plupart du temps, c’est ÉNORME ! Nous sommes en présence de censeurs de la pire espèce. Ils ne se contentent pas de chasser ceux qu’ils considèrent comme des sorcières (en ce moment, ils les renomment « complotistes », pour remplacer « fasciste »).
Ils se croient investis d’une mission : vous apprendre à « bien penser ».
Ils voudraient vous convertir, vous, vos proches, tous les Français. Et bien sûr, l’univers entier. Leur manière de faire est très pernicieuse : si vous n’êtes pas d’accord, vous êtes étiqueté puis écarté.
J’attire votre attention sur ce genre d’attributs utilisés : « fasciste », « complotiste », etc. C’est un procédé rhétorique qu’on appelle une reductio ad diabolum : on vous réduit au camp du Mal. Sur les réseaux sociaux, on parle aussi de la reductio ad Hitlerum, qui n’est qu’une variante de cette vieille technique (sauf qu’on amalgame la cible avec Hitler, comme vous l’avez compris : vous n’êtes plus « complotiste » mais « nazi »). Peu importe le sens réel de ces attributs, car ce sont des mots-sentences ; des mots-couperets. Ils sont chargés moralement. Religieusement, même : ce sont des anathèmes.
Dans les récits bibliques, quand une ville ennemie était vouée à l’anathème, tout était brûlé. Hommes, femmes, enfants, bétail… Il ne restait plus rien.
Alors, devenir « fasciste » ou « complotiste » jette tout ce que vous dites dans le discrédit, sans distinction, sans discussion. Tout ce que vous pourriez dire ou faire par ailleurs ne compte plus. Vous devenez « nauséabond ».
Le mot provoque le rejet immédiat, sans autre forme de jugement.
Dans le cas de Notre-Dame, c’était particulièrement saillant : le fait même de remettre la thèse de l’accident en question – alors que l’enquête commençait à peine et qu’il n’y avait aucune preuve dans un sens ou dans un autre – devenait sulfureux. Réfléchir, dangereux !
Finalement, peu importait la réalité : c’était une injonction morale, un rapport de force obscène. L’occasion d’asseoir un peu plus leur pouvoir médiatique.
Le pire, c’est que la plupart des journalistes ne s’en rendent pas compte, tellement ils sont persuadés d’être dans le camp du Bien. Il s’agit d’un enrayement généralisé, un cancer en phase terminale du journalisme. Beaucoup de journalistes courent après les piges et le renouvellement de leur CDD. Et ils s’autocensurent. Ce sont eux qu’on appelle pour organiser la police de la pensée sur les réseaux sociaux. Pour traquer les prétendues « fake news ». Pour chasser les sorcières.
Découvrez leurs filets dans le dernier Damoclès Désintox :
Faut-il faire confiance aux médias « vérificateurs » d’informations sur Facebook ?
https://damocles.co/desintox/facebook-medias-verificateurs-fact-checking/
Je vous souhaite bonne lecture.
Et vous pouvez aussi tourner le dos aux journalistes peu scrupuleux en soutenant le projet des Damoclès Désintox.
Thomas y travaille à mi-temps pour le moment. Grâce à la générosité des Damoclésiens bienfaiteurs, nous avons déjà financé les 7 premiers mois de l’année.
Un immense merci à eux.
Pour continuer le combat, faites un don selon vos possibilités en cliquant ici : https://donorbox.org/damocles-desintox
Pour la France !
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès
PS. Clouez le bec aux médias : aidez-nous à nous faire connaître en transmettant cet email et en partageant les Damoclès Désintox ! Refusez le mépris de la caste des journalistes au pouvoir. Ces arrogants vous prennent pour des idiots ? Ils vous font la morale comme à des gamins ? Refusez leurs mensonges et leurs manipulations !
Seuls face à eux, nous ne sommes rien. Mais grâce à vous, avec vous, nous pouvons engager un véritable bras de fer !
Un grand merci pour tout ce que vous pourrez faire aujourd’hui !
https://donorbox.org/damocles-desintox
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