Promouvoir la natalité pendant le débat sur la réforme des retraites serait, selon Sandrine Rousseau, une proposition fasciste et un marqueur d’extrême droite !
Après qu’un député LR ait rappelé que la retraite par répartition n’était concevable qu’avec une pyramide des âges favorable et qu’il ait proposé de baisser le taux de CSG sur les revenus d’activités des mères de famille, il s’est entendu répondre par Sandrine Rousseau :
« Lâchez nos utérus ! »
« Nos ventres ne sont pas la variable
d’ajustement de votre réforme des retraites ! »
Je propose donc de classer les préservatifs et plus généralement tous les moyens de conception dans les armes anti-fascistes !
Boulevard Voltaire a consacré un article aux errements de la député écologiste néo-féminine qui enchaine les arguments débiles les uns après les autres :
Sandrine Rousseau : « Ça, c’est fasciste » ?
Y a pas à tortiller, « ça, c’est fasciste »… Sandrine Rousseau n’en démord pas. Elle l’a dit et répété dans l’Hémicycle. Dimanche, sur le plateau de Public Sénat, elle a enfoncé le clou : mettre la question de la natalité dans le débat des retraites, comme l’a fait le Rassemblement national, relève du discours fasciste. Et raciste, en plus car, en fait, le Rassemblement national promeut :
une natalité de femmes blanches, puisqu’ils ne veulent pas ce qu’ils appellent – et qui est un fantasme – le Grand Remplacement.
Et de poser ça avec l’assurance du prof vissé sur sa chaire en bien-pensance :
Et ça, c’est vraiment un marqueur d’extrême droite.
Si elle le dit. Puis, notre féministe en chef avertit. Dans le français approximatif qui la caractérise, elle assène : il n’est pas question, et elle le dit « avec solennité », de « renvoyer les femmes à un corps, à une natalité, à une fonction de procréation ». Personne n’a dit ça, je crois, mais bon… On aimerait que Sandrine Rousseau nous dise ce qu’elle pense vraiment du système de retraite par répartition. Car, si on a bien tout suivi, bien tout compris, pour que ce système fonctionne, il faut une solidarité entre les générations, celles qui bossent au profit de celles qui ont bossé, et donc, accessoirement, qu’il y ait un renouvellement des générations. Car si les générations ne se renouvellent pas, ça marche beaucoup moins bien. C’est, d’ailleurs, une grande partie du problème d’aujourd’hui.
Mais là où l’argumentation de Sandrine Rousseau hésite entre le sublime et le pathétique, c’est lorsqu’elle déclare, toujours avec cette assurance qui force le respect :
Le Rassemblement national a estimé que le problème de la retraite, c’était la natalité. Ce qui est faux puisque, de toute façon, avant qu’un enfant qui naît aujourd’hui travaille, il y a vingt ans minimum. Donc, de toute façon ce n’est pas le sujet, ce n’est pas vrai.
Bah si, c’est quand même un peu le sujet : on paye aujourd’hui l’absence de politique familiale sérieuse depuis plus de vingt ans, mais ça, malheureusement, c’est fait, et dans vingt ans, on paiera encore plus cher, si on continue ainsi. On est, d’ailleurs, étonné par un tel argument de la part d’une femme issue de la mouvance écolo qui nous ressasse à longueur de journée qu’il faut sauver la planète pour les prochaines générations…
Mais le top du top de l’argumentaire de Sandrine Rousseau vient ensuite :
S’il y a un problème de population, qu’on ouvre un peu … les, les personnes … immigrées. Qu’on les fasse rentrer, tiens !
Je traduis en français pour ceux qui ne parlent pas le Sandrine Rousseau couramment : « Qu’on ouvre grand les frontières à l’immigration », enfin, un truc comme ça, vous voyez l’idée. Parce que, c’est bien connu, actuellement, nos frontières sont cadenassées à triple tour. Donc, si on a bien compris, en gros, l’idée générale de Sandrine Rousseau (arrêtez-moi si j’ai faux) c’est :
Nos ventres ne sont pas la variable d’ajustement des retraites, alors faites vite rentrer plein d’immigrés pour qu’ils fassent le boulot, me payent ma retraite à 60 ans, voire avant, et que je puisse jouir de mon droit à la paresse.
Ça, c’est pas fasciste mais, à bien y réfléchir, c’est pas un peu raciste, non ? Je pose ça là.
Georges Michel pour Boulevard Voltaire.
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2 Réponses à “Le préservatif est donc une arme anti-fasciste !”
Que l’Etat, surtout, rétablisse, sans conditions, les allocations familiales, s’il veut que les Françaises continuent de faire des enfants, au lieu d’encourager toute la misère migratoire du monde à se déverser en France (et que des hommes en plus !).
On reconnait le vocabulaire de rousseau digne de marlene schappia : le niveau du froc.
Que fait cette personne en politique, comme la pseudo ministre de la culture, toutes deux prises en flagrant mensonges et sectarisme ???
Il est clair la la variable d’ajustement chez s rousseau, c’est l’ideologie qui un jour lui fait promouvoir telle action et le lendeman une autre inverse.
Dans ce cas ci, les femmes blanches ne doivent pas avoir d’enfant, par contre, les immigres le peuvent …
Ces menteuses comme d’habitude se servent de l’humain pour tout manipuler a outrance jusqu’a vomir comme la plupart des gens de goche.