Le progressisme fossoyeur de la liberté d’expression

Publié par le 23 Sep, 2024 dans Blog | 0 commentaire

Le progressisme fossoyeur de la liberté d’expression

C’est un mal qui ronge l’occident !

Et des deux côtés de l’atlantique !

Ce mal, c’est la formidable tentative par les pouvoirs aux mains des progressistes de faire taire les oppositions !

Notamment sur les réseaux sociaux pour lesquels les lois se multiplient pour y limiter la liberté d’expression.

Ces lois visent à leur imposer la mise  en place d’une censure rigoureuse. Mais cette censure utilise deux notions totalement subjectives :

  • Les fausses informations,
  • Les incitations à la haine.

La première notion est biaisée puisque sont considérées comme fausses informations toutes celles qui dévient d’une doxa officielle dont on a vu à quel point, durant le covid, elle pouvait s’avérée erronée et mensongère.

Quant à l’incitation à la haine, comment la qualifier alors que la haine n’est pas une notion judiciaire ! Par exemple, on connait la propagande de gauche qui qualifie tout propos critiquant l’immigration comme une incitation à la haine des migrants et par extension des musulmans !

Aux Etats-Unis, à quelques semaines du scrutin présidentielle, c’est une lutte à mort entre les partisans de Donald Trump et l’oligarchie démocrate.

Les médias, majoritairement pro-démocrates, se déchainent contre l’ancien président au mépris de toute déontologie journalistique.

En France, nous devons considérer le combat de Donald Trump comme vital pour la défense de la liberté d’expression qui aura de lourdes conséquences en Europe et en France.

Si le progressisme gagne en novembre prochain outre-atlantique, il déferlera sur l’Europe dans les mois qui suivront !

Voici un article du Club de Valeurs actuelles qui dénonce l’attitude partisane des médias américains :

Présidentielle américaine :
quand la propagande remplace le journalisme

L’establishment veut à tout prix protéger Kamala Harris et écarter Donald Trump. Une manipulation de l’information qui pourrait bien se retourner contre ses auteurs. Nicolas Conquer est porte-parole de Republicans Overseas France.

Tandis que l’équipe de campagne de Kamala Harris restreint l’accès à la presse, les médias l’ont gratifiée d’un soutien sans précédent. En un mois, elle a bénéficié de 66 % de temps d’antenne en plus que Donald Trump, avec une couverture positive à 84 %, tandis que Trump n’a eu droit qu’à 11 % de commentaires favorables, selon une étude portant sur les JT du soir des trois grands networks NBC, ABC et CBS. Malgré cette campagne médiatique outrageusement biaisée, Trump reste toujours au coude à coude avec Harris dans les sondages, prouvant que l’establishment ne parvient pas à manipuler totalement l’opinion.

​Des médias mainstream à Hollywood en passant par les modérateurs de débats, tous semblent unis dans leur mission de protéger Kamala Harris. Cette “lune de miel” médiatique contraste avec le traitement réservé à Donald Trump, systématiquement attaqué. Pendant ce temps, la vice-présidente échappe à toute critique sérieuse, alors même que ses positions radicales devraient inquiéter l’électorat. Mais ces éléments sont ignorés par une presse complice.

​Plus alarmant encore, la gestion des menaces contre Trump par l’administration Biden. Fait sans précédent, l’ancien président a fait l’objet de deux tentatives d’assassinat en deux mois. L’attentat de juillet en Pennsylvanie a été littéralement effacé des radars, ignoré par les algorithmes des grandes plates-formes. Cette “censure par le vide” est scandaleuse et expose l’incapacité de l’administration Biden à garantir la sécurité des candidats. La Maison-Blanche, qui gouverne encore le pays, doit prendre ses responsabilités.

Cette campagne biaisée et ces tentatives d’assassinat contre Trump risquent de mobiliser fortement son électorat

​Les médias, quant à eux, préfèrent glorifier Harris plutôt que de traiter des questions cruciales comme la sécurité des candidats. Ce silence sur les attaques contre Trump, ajouté à la protection médiatique de l’impétrante démocrate, envoie un signal inquiétant aux électeurs : l’establishment veut à tout prix protéger Harris et écarter Trump. Une telle manipulation de l’information pourrait bien se retourner contre ses auteurs. Cette campagne biaisée et ces tentatives d’assassinat contre Trump risquent de mobiliser fortement son électorat. L’élection se jouera dans les États pivots et parmi des groupes démographiques spécifiques, notamment les classes populaires et certaines minorités. Ces électeurs, souvent marginalisés, pourraient être poussés à voter en masse en réponse à cette attaque injuste contre Trump.

​Historiquement, l’électorat de Trump se déplace moins massivement aux urnes. Cependant, face à l’acharnement médiatique et à la violence politique, cette tendance pourrait changer. La colère et l’indignation face à l’injustice sont des moteurs puissants et cette élection pourrait voir un sursaut électoral inattendu en faveur des républicains.

Cette élection symbolise une bataille pour l’avenir de la démocratie américaine

​Harris, de son côté, profite d’une couverture médiatique ultrafavorable, mais sa campagne manque d’authenticité. Les journalistes omettent de mentionner ses positions radicales et les débats récents n’ont fait qu’accentuer le contraste entre elle, préservée par les médias, et Trump, constamment attaqué. Cependant, les électeurs américains ne se laisseront pas berner indéfiniment. Ils voient au-delà de la façade médiatique et comprennent les enjeux réels.

​Cette élection n’est pas simplement un affrontement politique, elle symbolise une bataille pour l’avenir de la démocratie américaine. Donald Trump, malgré les tentatives d’assassinat et les attaques incessantes, demeure un acteur central, porté par une base d’électeurs plus déterminée que jamais à faire entendre sa voix.

Nicolas Conquer pour le Club de Valeurs actuelles.

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