Le racisme anti-blanc s’invite à la « Star Ac » !

Le racisme anti-blanc n’existe pas !

C’est ce que martèle la gauche alors que quotidiennement ses agissements sectaires démontrent le contraire.

Il suffit pour cela de constater que, pour la gauche, une agression n’est dénoncée et instrumentalisée que si l’agresseur est blanc. Tout le reste est rangé dans la catégorie des faits divers. La droite est alors sommée de ne pas en parler, sous peine d’être accusée de récupération ! Cf Lola, Thomas, Philippine, etc …

C’est le même sectarisme qui anime les néo-féministes pour qui toutes les femmes violées ne se valent pas. Pour ces féministes qui font honte à leurs illustres ancêtres, les racisés bénéficient d’une sorte de totem d’immunité.

Les faits sont têtus et la réalité contredit régulièrement l’inexistence du racisme anti-blanc !

On vient de le voir avec l’hystérie qui s’est emparée sur les réseaux sociaux, d’une certaine communauté, qui n’a pas accepté qu’en finale de la Star Academy, une blanche l’importe sur une Noire !

C’est ce que rapporte cet article de Boulevard Voltaire :

Star Academy : le silence parlant de SOS Racisme face à la haine anti-Blanc

Ce samedi s’achevait la compétition annuelle de la Star Academy, qui a vu s’affronter deux finalistes féminines dont la couleur de peau, l’une blanche, l’autre noire, a suscité beaucoup de débats. Si SOS Racisme et la Maison des potes ont annoncé des actions en justice pour dénoncer les messages racistes dirigés contre Ebony Cham, le silence concernant les mêmes attaques haineuses à l’encontre de Marine Delplace, pourtant bien réelles, soulève des interrogations, sinon de l’indignation.

« Racisme » d’un côté, simple « haine » de l’autre

Le mercredi 22 janvier, SOS racisme annonçait, sur ses réseaux sociaux, déposer plainte en soutien à la finaliste, fille du chanteur Thierry Cham, qui avait été la cible de nombreux messages racistes sur les réseaux sociaux, lors de cette saison de la Star Academy où elle a rassemblé 35 % des votes du public. Appelant à une réponse judiciaire ferme, l’association dénonce, dans un long message posté sur Instagram :

les oppressions au fondement desquelles s’entrelacent la couleur de peau et le genre. Elle accuse également une fachosphère qui instrumentalise chaque occasion pour promouvoir une vision racialisée, excluante et réactionnaire de la société, lorsque des personnes noires ou arabes sont mises en avant.

Pourtant, la deuxième finaliste, Marine Delplace, qui a été préférée par 75 % des téléspectateurs, n’a pas non plus été épargnée par les messages de haine la ramenant à sa couleur de peau. Des commentaires comme :

• « sale Blanche de merde »
• ou « Que Dieu tue les Blancs »

ont été relayés sur X, le soir de sa victoire face à Ebony. Selon certains internautes :

cette dernière n’avait aucune chance de gagner dans une France raciste, face à une candidate blanche blonde qui s’appelle Marine.

Lorsque des internautes remarquent que les attaques envers Marine Delplace mériteraient également d’être qualifiées de racistes, les réponses sont lapidaires.

Le racisme anti-Blanc n’existe pas […] Même le racisme, vous vous l’appropriez ?

interroge un internaute. Une autre ajoute :

Les propos racistes visent seulement Ebony. Le racisme anti-Blanc n’existe pas […] mais Marine subit aussi du harcèlement et un défoulement de haine gratuit.

L’actrice guadeloupéenne Firmine Richard, qui avait apporté un large soutien à Ebony tout au long de la compétition, a, quant à elle, déclaré, en colère, que « la France ne [savait] pas reconnaître les siens ».

SOS Racisme préfère fermer les yeux sur le racisme anti-Blanc

Face à cette situation, SOS Racisme semble appliquer un traitement à deux vitesses. Et venant d’une association dont l’ambition est de combattre les discriminations liées à la couleur de peau, il est difficile de ne pas s’indigner. Impossible, cependant, de s’en étonner lorsque l’on se souvient du scandale lié à la chanson raciste Pendez les Blancs du rappeur Nick Conrad, qui avait suscité une vive polémique lors de sa sortie en 2018. Mais pour le président de SOS Racisme, Dominique Sopo, la polémique autour de ce titre n’était que le reflet de « crispations identitaires extrêmement fortes » dans la société. Il refusait d’employer le terme de « racisme anti-Blanc », selon lui « forgé par l’extrême droite » pour invisibiliser le racisme anti-Noir. Les exemples en ce sens abondent : comme le soulignait Jean Messiha dans nos colonnes en 2021, l’association ne l’avait pas non plus soutenu lorsque des propos offensants et ouvertement racistes lui avaient été adressés.

Cette finale de la Star Academy aura révélé bien plus que des talents :

une indignation à géométrie variable.

À force de fermer les yeux sur le racisme anti-Blanc qui reflète pourtant la réalité vécue par de plus en plus de Français, le combat de SOS Racisme pourrait bien se retourner contre lui…

Alienor de Pompignan pour Boulevard Voltaire.