Elle persiste et signe !
Il faut rendre un hommage appuyé à J.K. Rowling, créatrice d’Harry Potter, une des rares personnalités à résister au wokisme en osant affirmer qu’une femme est une femme et qu’un homme ne peut pas être enceint !
C’est en 2018, qu’elle avait pris cette position courageuse et elle avait subi des violentes attaques de la part des progressistes de tout poil.
Et, non contente de ne pas s’être couchée devant ces idéologues, elle revient à la charge aujourd’hui en ne regrettant rien et en assumant tout !
Voici un article de The EpochTimes qui honore son courage :
J. K. Rowling regrette de ne pas s’être
exprimée « plus tôt » sur la transidentité
L’autrice de la saga Harry Potter, J.K. Rowling, a dit regretter de ne pas avoir pris la parole « plus tôt » au sujet de la transidentité, malgré les accusations de transphobie qui la visent, dans un texte publié dans le Times mercredi.
L’autrice de 58 ans, qui vit à Edimbourg, multiplie les prises de positions depuis 2018, estimant que les droits des femmes peuvent être menacés par certaines revendications de défenseurs des droits des personnes transgenres.
« J’ai pris la parole parce qu’autrement je me serai sentie honteuse pour le reste de ma vie. Mon seul regret est de ne pas avoir parlé bien plus tôt », écrit-elle dans un extrait du recueil de textes The Women Who Wouldn’t Wheesht.
Published tomorrow: ‘The Women Who Wouldn’t Wheesht’, a collection of essays from some of the women in Scotland who’ve been in the front line of the gender wars (including me).
Details on how and where to buy here:https://t.co/JXUbNEVGh4— J.K. Rowling (@jk_rowling) May 29, 2024
Elle explique être arrivée à croire que « le mouvement socio-politique insistant sur le fait que ‘les femmes trans sont des femmes’ n’était ni bienveillant ni tolérant, mais en réalité profondément misogyne, régressif, dangereux dans ses objectifs et autoritaire dans ses tactiques. »
Elle raconte avoir suivi cette lutte de loin au début, ses proches la « suppliant de ne pas en parler », mais s’être résolue à « prendre la parole ». J. K Rowling s’inquiète notamment de l’autorisation faite aux femmes transgenres d’accéder aux vestiaires, aux toilettes ou aux centres d’accueil, unisexes.
Visée par des appels au boycott
Si elle se défend de toute transphobie, les controverses suscitées par ses positions ont terni auprès de certains son aura d’écrivaine aux origines modestes qui a connu un succès planétaire – plus de 600 millions de livres vendus – avec son monde de sorciers écoliers.
Elle a été visée par des appels au boycott, comme en 2023 lors de la sortie d’un jeu vidéo inspiré d’Harry Potter. Des acteurs qui ont joué dans les adaptations de la saga ont pris leur distance tels Daniel Radcliffe, qui interprète le jeune sorcier, et s’est récemment dit « attristé » par sa rupture avec l’autrice.
« La plus grande attaque de ma vie sur les droits de nos ancêtres »
Évoquant ces polémiques, J. K. Rowling affirme que « personne ayant vécu une vague de menaces de mort et de viol vous dira que cela est amusant », et critique aussi le manque de « pensée critique » au sujet de la transidentité. « Je crois que nous sommes témoins de la plus grande attaque de ma vie sur les droits de nos ancêtres, qu’elles pensaient avoir garantis pour toutes les femmes », estime-t-elle.
The EpochTimes avec AFP.
Suivre @ChrisBalboa78