Il était temps !
Depuis une dizaine d’année, le wokisme a ravagé les esprits aux Etat-Unis, d’abord dans les universités, puis dans les médias et le monde de la culture.
Dans certaines universités, on a vu la minorité noire prendre le pouvoir et imposer une repentance humiliante aux Blancs, du seul fait de la couleur de leur peau.
Certains professeurs étaient contraints de s’humilier devant les élèves ou même de démissionner. J’avais rapporté des terribles faits survenus dans l’université d’Evergreen, dans l’état de Washington, dans cet article :
Voila ce que le progressisme produit de pire !
Et c’était terrifiant !
Mais les choses changent et le vent semble tourner sous les coups, notamment, de Donald Trump et de certains gouverneurs d’états républicains.
Tout dernièrement, le rachat de Twitter qui était tombé aux mains des progressistes, par Elon Musk, a défrayé la chronique. Ses déclarations concernant la restauration de la liberté d’expression dans le réseau social a vu une levée de boucliers dans le monde journalistique ! C’est très édifiant !
Pierre Mylestin décrit ce retournement salutaire dans cet article de Boulevard Voltaire :
Le wokisme va-t-il faire faillite
face aux coups de boutoir du réel ?
Quelle est bonne, l’odeur de roussi, quand l’arsenal de torréfaction des cerveaux de la wokosphère médiatique commence à se consumer sous nos yeux ! Ça sent le roussi, le remugle aussi chez les zélateurs de la propagande progressiste, et bon Dieu que ça sent bon ! Elon Musk qui se paie Twitter, CNN+ qui implose littéralement, Disney en crise existentielle, Netflix qui s’écrase. Les temps sont durs, pour les woke.
La mainmise de la première fortune mondiale sur le réseau Twitter a déjà été développée en ces colonnes. Aux larmes de bonheur des libérés du bagne de la pensée unique se mélangent les larmes de gauchiste, depuis que « la plate-forme infernale atteint sa forme finale de haine, de sectarisme et de misogynie totalement anarchiques ». L’actrice et présentatrice de télévision et de radio britannique Jameela Jamil dixit et possible pénurie de Kleenex™ en vue.
CNN+ devait être le lancement médiatique le plus important depuis l’avènement de CNN. Un avatar en streaming de la chaîne d’évangélisation du progrès sociétal qui, malgré des audiences en berne, est toujours en première ligne sur le front de la défense des « minorités opprimées ». Le projet, gras du milliard de dollars investi par la maison mère, a été avorté, quelques semaines seulement après son démarrage. Abonnés absents, de plus en plus réticents à verser la dîme pour accéder au ministère de la Vérité, à ses théories de la race critique, de l’immigrationnisme, de la défense du pronom neutre… Chez nous, on a France Inter et France Télévisions, et c’est sans abonnement. Ah, on me susurre à l’oreillette qu’en République, l’abonnement est à la fois gratuit et obligatoire : ça s’appelle une redevance, ou des impôts, c’est selon.
Autre bonne nouvelle : l’effondrement de Netflix, « virus cérébral du wokisme », selon Elon Musk : perte de 50 milliards de dollars de capitalisation boursière et hémorragie d’abonnés pour la première fois en dix ans. La chaîne d’ingénierie sociale impute ce désastre à l’augmentation de la concurrence, la levée des restrictions suite à la pandémie, le partage des mots de passe mais surtout à la guerre en Ukraine et à la suspension des abonnements russes. Netflix est une victime de la guerre, dont on ne pleurera pas le sort. À l’instar de Perrette, le wokisme tombe : adieu fluidité de genre, adieu hommes enceints, féminisme pathologique et racisme systémique.
Enfin, cerise sur le gâteau, Disney, qui s’oppose publiquement à l’adoption, par la Floride, du projet de loi « Parental Rights in Education » restreignant « l’enseignement par le personnel scolaire ou des tiers sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre de la maternelle à la fin du primaire, ou d’une manière qui n’est pas adaptée à l’âge ou au développement des élèves conformément aux normes de l’État ».
En résumé, pas de propagande LGBT+ pour les enfants.
Cette loi dénommée « Don’t Say Gay » par les zélotes du progressisme aurait provoqué un retour de manivelle sur les réseaux sociaux. Même si ces chiffres ne sont pas confirmés, selon le site Web américain Decider, l’expression #BoycottDisney pourrait avoir suscité jusqu’à un demi-million de désabonnements à la plate-forme Disney+. Il y a pire : Disney fait face à la menace du gouverneur de Floride, Ron DeSantis – dont on entendra certainement parler lors des prochaines élections –, de retirer certains privilèges fiscaux à la multinationale du divertissement woke et une perte d’autonomie de gestion au sein de ses propriétés. Paraphrasant notre fraîchement réélu, DeSantis, le conservateur dur à cuire, veut « emmerder » Disney.
« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux », dit-on. » Il ne tient qu’au consommateur de faire échec aux despotes du progressisme dont la notion d’impartialité et la définition de la neutralité sont en total décalage avec le réel.
Pierre Mylestin pour Boulevard Voltaire.
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2 Réponses à “Le wokisme attaqué de toute part !”
tweeter a ete racheté, quelques changement apparent sont fait, combien de temps dureront ‘il,
a surveiller.
Changer de toto a la tete d’une entreprise n’est pas forcement un gage de veritable changement.
Si ca se trouve ce n’est qu’une astuce pour rouler les gens,
des changement au debut,
et puis ensuite ca reviendra petit a petit a la meme chose, mais dites differemment.
à en juger par les réactions des bien pensants, le rachat par Musk en fait trembler plus d’un et la réaction de Biden – enfin de celui qui tire les ficelles de cette pauvre marionette sénile – a été de créer un « ministère de la vérité » …