
Nos chères têtes blondes ne savent pas lire et écrire et compter convenablement en sortant du primaire.
Régulièrement, le classement international PISA enfonce la France dans les dernières places des pays européens !
Mais, Élisabeth Borne fait en sorte que nos enfants sachent ce que sont le sexe oral et le sexe anal !
La gauche progressiste impose ses priorités en faisant tout pour sexualiser les enfants, avec ses arrières-pensées nauséabondes de justification, à terme, de la pédophilie !
J’ai le sentiment que les progressistes sentent que le pouvoir va bientôt leur échapper. Ils font feu de tout bois pour faire passer avant le maximum de leurs « avancées sociétales » comme l’euthanasie, le suicide assisté, la sexualisation des enfants, etc …
Je rapproche aujourd’hui deux faits qui illustrent parfaitement cette dérive gauchiste :
- La saisine du Conseil d’Etat par l’association Parents vigilants,
- Un communiqué d’alerte de SOS Education.
1 – Parents vigilants saisit le Conseil, d’Etat
C’est Boulevard Voltaire qui rapporte cette action de Parents vigilants :
Éducation sexuelle à l’école :
Parents vigilants saisit le Conseil d’État
Le programme d’éducation sexuelle d’Élisabeth Borne : « un endoctrinement idéologique […] sous influence woke. »
Parents vigilants, réseau de parents d’élèves créé par le parti Reconquête pour alerter sur les dérives dans les écoles, a réuni 275 parents pour déposer un recours devant le Conseil d’État concernant le programme du gouvernement sur l’éducation sexuelle à l’école, présenté le 3 février.
Dans un communiqué, le réseau dénonce « la généralisation des séances d’éducation à la sexualité à l’école » décidée par Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, ainsi que les « trois séances obligatoires » imposées à tous les élèves. Rappelant qu’il s’agit « d’une forme d’endoctrinement idéologique » et que ce programme est « clairement sous influence woke », les Parents vigilants s’inquiètent aussi que ces séances seront le plus souvent animées par des « militants » et que « les parents ne seront même pas informés de la date de tenue de ces séances ».
Le recours « pour abus de pouvoir » vise autant le programme lui-même que sa mise en œuvre.
2 – SOS Education alerte
C’est par un tweet que SOS Education alerte sur ce qui arrive à une mère de famille soucieuse de l’éducation se ses enfants :
Alerte Education nationale à la dérive
En France, dans un collège, une mère confisque un livre inapproprié que sa fille de 12 ans a emprunté au CDI.
Résultat ? La mère est convoquée par la directrice ET la cellule académique de laïcité.
Son crime ? Avoir considéré ce livre comme inadapté et dangereux pour son enfant (voyez par vous-même ci-dessous).
Cette maman doit maintenant engager un avocat pour se défendre d’être « une entrave aux valeurs de la République ».
Aucun avocat n’a voulu se mouiller… Ce sont finalement SOS Éducation et @MamansLouves qui l’orientent vers des juristes compétents …
Bienvenue dans le monde dystopique de « l’instruction française » en 2025, où protéger son enfant devient un acte répréhensible !
Voici un extrait du livre évoqué plus haut :




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