Avez-vous remarqué que, neuf fois sur dix, ce sont des gauchistes qui dénoncent des Fake News ?
A gauche, on vous dira que c’est normal puisque toutes les fausses informations sont émises par ces salopards de fascistes et de racistes de droite et d’extrême droite !
Il n’en est rien !
En vérité, c’est le concept même de Fake News qui est fallacieusement déformé par la gauche progressiste.
Pour elle, une information est fausse juste quand elle s’écarte de la pensée de gauche !
C’est surtout quand elle est au pouvoir que la gauche manipule le plus la notion de Fake News. Dans ce cas, la pensée de gauche devient la pensée officielle !
Durant la crise du covid, la Macronie a sans arrêt dénoncé les Fake News qui étaient pourtant seulement des mises en doute de la politique sanitaire du pouvoir. D’ailleurs, aujourd’hui, on se rend compte que les Fake News du genre :
- les masques ne servent à rien,
- le virus n’est pas dangereux pour la majorité de la population,
- le vaccin est inefficace et n’empêche pas la transmission,
- le vaccin n’a pas été suffisamment testé,
- Il y a de nombreux effets secondaires des vaccins.
se sont toutes avérées exactes !
L’idée de cet article m’a été donnée par un texte paru sur le site Slate portant sur l’existence de Fake News sous la Révolution française.
Dès l’introduction, on note que pour Slate une Fake News ne peut être que de droite. Extraits :
Avant Donald Trump ou les antivax à notre époque, les fausses informations …
Un peu plus loin :
À la fin du XVIIIe siècle, pas d’internet ou de réseaux sociaux pour être bombardé d’inepties en tout genre (coucou Elon Musk).
Forcément quand on se sait (ou croit) dans le Camp du Bien, on ne peut imaginer que les mensonges viennent de son camp !
Dans le temps, le site Slate était très intéressant, mais il a viré sa cutie à gauche et son contenu s’en ressent ! Mais n’étant pas rancunier, je consens à vous livrer le reste de l’article de Slate :
Comment les fake news ont-elles
façonné la Révolution française ?
Les fake news ne sont pas propres à notre époque. Tout au long de notre histoire, les fausses informations ont circulé, tronquant la réalité et déformant les récits. La désinformation a même parfois joué un rôle pour le moins inattendu. À la Révolution française, par exemple, les fake news ont littéralement participé à changer le cours des événements.
À la fin du XVIIIe siècle, pas d’internet ou de réseaux sociaux pour être bombardé d’inepties en tout genre (coucou Elon Musk). Non, à l’époque, l’heure était aux rumeurs, au colportage. En un rien de temps, une fausse information, même lâchée par un ivrogne dans une taverne, pouvait circuler de ville en ville, surfant sur une vague de peur et de confusion propre à la fin du siècle.
Résultat: certaines de ces fake news ont jeté, malgré elles, les graines de la plus grande révolution de notre histoire, avant de consolider la République naissante.
De la Grande Peur aux massacres de Septembre
L’une des principales fausses rumeurs de l’époque fut celle qui restera connue sous le nom de Grande Peur. À l’été 1789, une vague de panique se propage à travers les campagnes françaises. Des rumeurs infondées circulent, affirmant que des brigands, parfois envoyés par des nobles réactionnaires, s’apprêtent à piller les villages pour rétablir la monarchie absolue.
Pas prêts à se laisser faire, les paysans décident alors de s’organiser en milices locales pour défendre leurs communautés. Les petites gens prennent les armes et attendent de pied ferme. Personne ne viendra, les raids des brigands et des nobles n’étaient qu’une fake news des plus éhontées. Cette fausse rumeur s’avéra pourtant bien utile à la révolution naissante: elle participa à créer une mobilisation sans précédent dans les campagnes, renforçant la solidarité et dissuadant de potentielles menaces qui auraient pu fragiliser les nouveaux acquis.
Quelques années plus tard, une autre fake news, aux conséquences plus funestes cette fois-ci, permit à la Révolution française de faire «table rase». Entre le 2 et le 4 septembre 1792, des rumeurs concernant un complot de prisonniers royalistes, qui cherchaient à s’emparer de la ville de Paris en l’absence des défenseurs partis au front, ont conduit à de tristement célèbres massacres. Entre 1.100 et 1.400 prisonniers sont exécutés par la foule en colère. Un acte initié par une fausse information, qui dissuada finalement tous les ennemis de la Révolution d’attaquer la capitale. Préventif.
(Déjà) un outil de pouvoir
Les fausses nouvelles ne se sont pas seulement limitées aux rumeurs populaires. À la fin du XVIIIe siècle, les politiciens, eux aussi, savaient utiliser les fake news à bon escient.
L’un des exemples les plus criants reste les accusations de fédéralisme portées contre les Girondins par les Montagnards, deux groupes politiques majeurs pendant la Révolution française. Ces accusations reposaient largement sur des informations exagérées, voire totalement fausses. À la fin du mois d’octobre 1793, elles ont conduit à l’arrestation, la chute politique et la mort des Girondins, issus de la bourgeoisie provinciale et considérés alors comme modérés. Cette manœuvre a finalement permis aux Montagnards de centraliser le pouvoir, consolidant ainsi l’unité de la République face aux menaces extérieures.
D’autres rumeurs ciblaient directement la monarchie. Tout au long de la Révolution française, Louis XVI, qui avait encore toute sa tête, était régulièrement accusé de vouloir secrètement fuir Paris pour rejoindre les troupes contre-révolutionnaires. Certaines rumeurs assuraient même qu’il était déjà parti! Tout le monde était alors sur le qui-vive.
La rumeur devint réalité en juin 1791, mais le roi n’alla finalement pas bien loin, reconnu dans sa fuite à Varennes-en-Argonne (Meuse) par un maître de poste attentif. Jusqu’à sa décapitation, les rumeurs d’une énième fuite du roi resurgissaient souvent, ce qui participa à augmenter sans cesse la surveillance du souverain déchu, empêchant ainsi toute nouvelle tentative.
Ernest Ginot pour Slate.
Suivre @ChrisBalboa78
2 Réponses à “Les Fake News : un tropisme de gauche ?”
Entierement d’accord avec cet article !
Vidéo-choc : Nicole révèle à Tommy Robinson que les Pakistanais l’ont violée à 11 ans
https://ripostelaique.com/video-choc-nicole-revele-a-tommy-robinson-que-les-pakistanais-lont-violee-a-11-ans.html
Elon Musk a provoqué un ouragan en Angleterre, d’abord en demandant la libération de Tommy Robinson, toujours emprisonné pour délit d’opinion, mais également en révélant la duplicité de la police et de la justice dans ces viols de masse, et surtout la responsabilité du Premier ministre travailliste Keir Strarmer.
Bien que Tommy soit toujours en prison, ses amis de la boite de production Urban diffusent le témoignage bouleversant de Nicole, qui a voulu que Tommy sache la réalité de son vécu, qui fut celui de 1500 jeunes filles de Rotherham, dans les années 2010. Et Karl Zéro, très impliqué dans le combat contre la pédophilie, relaie cette vidéo exceptionnelle où le nom de certains violeurs, mais aussi de certains policiers et juges complices est donné.
Le fait que Nicole ait voulu témoigner devant Tommy confirme l’importance que notre ami – qui est un héros pour des millions d’Anglais qui se reconnaissent dans le combat qu’il mène depuis 20 ans – a dans le cœur de ses compatriotes. Ils ont confiance ne lui, ils savent qu’il ira jusqu’au bout du combat.
Grooming gangs au Royaume-Uni : une affaire Pelicot puissance 1 000, et l’aveuglement complice des élites occidentales
Le scandale des grooming gangs britanniques revient sur le devant de la scène avec une force explosive, comme un rappel brutal de l’effondrement moral et institutionnel de nos sociétés occidentales. Ces réseaux criminels, composés principalement d’hommes issus de certaines communautés immigrées, ont exploité sexuellement des milliers, voire des dizaines de milliers de jeunes filles blanches au Royaume-Uni. Pourtant, pendant des années, ces crimes ont été ignorés, minimisés, voire dissimulés par les autorités, les médias et les élites politiques.
Aujourd’hui, certains osent s’indigner qu’Elon Musk en parle ouvertement, relançant un débat que tous préféreraient enterrer.
Alors que la presse française a fait de l’affaire Pelicot l’un des dossiers médiatiques les plus marquants de 2024, faisant de cette ignoble affaire un drame national, l’effroyable réalité des grooming gangs reste reléguée à l’arrière-plan, comme un simple « dysfonctionnement » institutionnel. Mais soyons clairs : les chiffres parlent d’eux-mêmes. Nous ne sommes pas face à un fait divers. Nous sommes face à un viol de masse racial et institutionnalisé, à un abandon volontaire de milliers de jeunes filles par un système gangrené par la lâcheté et l’idéologie.
Rotherham, Telford, Rochdale : des laboratoires de la barbarie moderne
L’affaire des grooming gangs ne date pas d’hier. Dès 2014, le rapport Jay dévoilait que plus de 1400 enfants avaient été victimes d’abus sexuels organisés à Rotherham, une ville ouvrière du nord de l’Angleterre. Depuis, des enquêtes similaires ont révélé des horreurs comparables à Rochdale, Telford, et dans tant d’autres villes britanniques. Les victimes, pour la plupart des jeunes filles blanches issues de milieux modestes, étaient ciblées, manipulées, et prostituées par des réseaux criminels opérant avec une impunité quasi totale.
Aujourd’hui, de nouvelles estimations font état de potentiellement 250.000 viols, faisant de ce scandale l’un des pires crimes de masse de l’histoire moderne. Ces chiffres glacials devraient provoquer une indignation planétaire. Pourtant, ils n’ont suscité que des murmures gênés. Pourquoi ? Parce que les auteurs de ces crimes appartiennent à des communautés que l’idéologie dominante refuse de critiquer.
La révolte des invisibles : Elon Musk, Nigel Farage et la vérité en marche
Elon Musk, l’homme le plus riche du monde, a brisé le silence. Sur X, la plateforme qu’il possède, il a relancé un débat que les élites préféraient enterrer. En dénonçant Keir Starmer, ancien directeur des poursuites judiciaires et actuel Premier ministre britannique, Musk a mis en lumière les échecs abyssaux des autorités face à ces crimes de masse. Il n’a pas hésité à qualifier certains responsables de « complices » et à exiger une transparence totale sur ce qui s’est passé à Oldham, Rotherham, Telford, et bien d’autres villes.
Nigel Farage, leader de Reform UK, a amplifié cette dénonciation, affirmant que le peuple britannique avait raison d’être en colère. « Comment cela a-t-il pu arriver ? Pourquoi tout le monde a-t-il voulu le cacher ? » s’indigne-t-il. Ce n’est plus une question de justice sociale, c’est une question de survie morale et civilisationnelle.
Le silence coupable des élites
Les autorités britanniques ont préféré détourner les yeux. Pourquoi ? Par peur d’être accusées de racisme, d’islamophobie ou de stigmatisation. La lâcheté a dominé, et les institutions censées protéger ces jeunes filles les ont abandonnées. Policiers, travailleurs sociaux, politiciens : tous savaient, mais tous ont choisi de ne rien faire. Pire encore, certaines victimes qui ont osé parler ont été culpabilisées ou ignorées, comme si leur souffrance n’était qu’un inconvénient dans la grande mécanique du multiculturalisme heureux.
Et aujourd’hui, certains médias osent critiquer Elon Musk pour avoir donné de la visibilité à cette tragédie ? L’homme qui défend Tommy Robinson, ce dissident qui a risqué sa liberté pour enquêter maladroitement (eu égard à la loi britannique) sur ces crimes, devient la cible des élites bien-pensantes. Celles-là mêmes qui, pendant des années, ont enterré cette affaire pour protéger leur utopie multiculturaliste.
En France, l’affaire Pélicot a monopolisé les colonnes des journaux et les débats télévisés. Un crime odieux mais dont l’impact est sans commune mesure avec les grooming gangs. Pourtant, cette affaire a été montée en épingle, érigée en symbole des violences masculines, alors que les viols de masse orchestrés au Royaume-Uni restent traités comme de simples faits divers.
Pourquoi une telle différence de traitement ? Parce que dans l’affaire Pélicot, il n’y avait aucun risque de stigmatiser une communauté protégée. Parce qu’il était facile de dénoncer, sans craindre de heurter les sensibilités d’un système obsédé par l’idée de ne jamais « diviser ». Cette hypocrisie est insupportable. Elle montre que ce ne sont pas les victimes qui importent, mais l’agenda politique que leur souffrance peut servir.
Un jour, les responsables devront payer
Ce scandale ne s’arrête pas aux criminels eux-mêmes. Ceux qui ont permis cette barbarie par leur silence ou leur complicité devront rendre des comptes. Les responsables politiques, les médias, les bureaucrates des forces de l’ordre : tous devront être jugés pour leur rôle dans cet effondrement moral.
Et ne nous y trompons pas : ce qui se passe au Royaume-Uni est un avertissement pour toute l’Europe. Les mêmes mécanismes sont à l’œuvre partout où l’immigration massive, combinée à la lâcheté des élites, transforme nos sociétés en poudrières multiculturelles. Si nous ne réagissons pas, nous connaîtrons demain nos propres grooming gangs, nos propres Rotherham.
Ce drame doit nous ouvrir les yeux sur les dangers d’une société qui sacrifie ses enfants sur l’autel du multiculturalisme et de l’idéologie. Il est temps de dire non à cette logique mortifère. Il est temps d’exiger des politiques fermes, des institutions transparentes, et une justice implacable envers ceux qui trahissent leur mission première : protéger les plus vulnérables.
Les grooming gangs sont le symptôme ultime d’un système en décomposition. Mais ils ne doivent pas être la fin de l’histoire. Que cette tragédie nous serve d’électrochoc, d’appel à la révolte. Pour les victimes d’hier, pour celles d’aujourd’hui, et pour empêcher que d’autres vies ne soient brisées demain.
L’heure n’est plus au silence. L’heure est à la justice.