Si l’on en croit les tenants du mouvement Woke, tout Blanc est, par définition, coupable de racisme. Il est disqualifié même dans les groupes où l’on défend les Noirs !
C’est ce qu’ils appellent le privilège blanc !
La montée des idées de droite, le succès d’Eric Zemmour, en librairie et sur les estrades, semblent montrer que les Français ne sont pas trop atteints par les attaques du terrorisme intellectuel perpétré par le wokisme.
J’aimerais juste soulever deux points qui montrent que les accusations de racisme sont très exagérées voire mensongères.
L’extrême gauche dénonce les violences policières et accuse les policiers de racisme. Elle explique que dans les quartiers sensibles, c’est la police qui agresse les jeunes issus de l’immigration qui ne font, eux, que se défendre.
Mais dans ce cas, pourquoi les pompiers se font-ils caillasser ? Pourquoi les médecins se font-ils agresser ? Ces corporations agressent-elles vraiment les jeunes ?
On accuse les Français de discriminer les jeunes immigrés ce qui expliquerait leur moindre réussite dans leurs études et ensuite dans leur vie professionnelle.
L’article suivant paru dans Le Figaro démontre exactement le contraire !
Les jeunes filles d’origine asiatique têtes de classe,
en France loin devant tout le monde !
Selon une étude du Cnam menée auprès de 30 000 élèves de 2007 à 2016, elles connaissent une réussite éclatante, surpassant les jeunes Français. Depuis le primaire jusqu’aux études supérieures.
Les enfants d’origine asiatique, et plus particulièrement les filles, se démarquent par leur surréussite, même comparés aux Français d’origine : moins de redoublements dès l’école primaire, meilleurs niveaux scolaires en sixième puis en fin de troisième, orientations plus fréquentes vers les filières sélectives, taux record de bacs généraux, notamment scientifiques,
C’est ce que démontre une étude de la sociologue du Cnam Vall Brinbaum, parue en décembre 2019 dans la revue Education et formation du ministère de l’Education nationale qui étudie les « trajectoires scolaires des enfants d’immigrés jusqu’au baccalauréat ». Elle a suivi un panel de 30 000 élèves entre 2007 et 2016, confrontant les résultats des enfants dont les parents sont nés en France avec ceux dont les deux parents sont nés à l’étranger.
En moyenne, 76,14 % de ces élèves entrés en sixieme en 2007 ont obtenu un baccalaureat en 2016. Une moyenne qui masque des disparités notables selon l’origine
sociale, migratoire mais aussi selon le sexe des élèves. Les secondes générations d’immigrés détiennent moins souvent un bac que les Français d’origine, sauf les descendants du Portugal qui s’en rapprochent et les descendants d’Asie qui les dépassent.
La prise en compte du sexe, en plus de l’origine migratoire, fournit une photographie plus intéressante. Quelle que soit l’origine, les filles dépassent les garçons.
L’écart est particulièrement important pour les filles africaines et maghrébines dont les résultats se rapprochent fortement des Françaises d’origine, contrairement aux garçons dont les résultats sont comparativement bien plus faibles. La seule exception, ce sont les descendants asiatiques : les filles comme les garcons atteignent des taux de réussite au bac très élevés (92 % et 88 %), qui dépassent même les Français d’origine.
Encore faut-il préciser qu’il y a bac et bac. Si les filles de plusieurs groupes obtiennent autant un bac que les filles d’origine française, elles ont beaucoup moins
obtenu des bacs géneraux – 15 points pour les filles d’immigrés portugais ou maghrébins, – 22 points pour celles originaires d’Afrique subsaharienne ou de Turquie). Elles obtiennent davantage des bacs technologiques et surtout professionnels. A l’inverse, les descendantes d’immigrés d’Asie surpassent les filles françaises d’origine, avec 63 % de bacs généraux (+ 12 points). Les garçons asiatiques connaissent également un résultat spectaculaire avec un avantage de 14 points (52 % de bacs généraux).
Les descendants d’immigrés asiatiques sont par ailleurs surreprésentés parmi les bacheliers scientifiques (36 % des filles, 42 % des garçons), filière la plus prestigieuse, contre seulement un quart des Français d’origine. A l’inverse, les descendantes et descendants d’immigrés d’Afrique subsaharienne ainsi que les fils d’immigrés turcs y sont minoritaines (7 % à 9 %.).
Comment expliquer ces différences si importantes selon l’origine et le sexe ? Les familles de ces 30 000 enfants ont été interrogées en 2011 sur l’orientation envisagée pour leur progéniture. Et les familles asiatiques se sont démarquées de tous les autres groupes par leur préférence pour un bac général, en particulier
scientifique, pour les filles et pour les garçons. Par contraste, le bac professionnel est le plus cité pour les garçons d’origine portugaise et d’Afrique subsaharienne. et
dans une moindre mesure pour ceux d’origine maghrébine.
Dans Pisa, étude internationale qui analyse les compétences scolaires des élèves de 15 ans, les pays asiatiques comme la Chine ou la Corée du Sud obtiennent d’excellents résultats. Faut-il y lire une explication ? Deux connaisseurs des modèles éducatifs, Jean-Marie De Ketele et Bernard Hugonnier, relevaient, en
2015 dans la Revue internationale d’éducation de Sèvres, des similitudes pédagogiques dans ces pays asiatiques : ils ont le culte de l’apprentissage par la répétition
qui « part d’observations et l’imitations », écrivaient-ils. Le travail, très important, fourni par les élèves est reconnu comme une valeur en soi, écrivaient-ils surtout. Les élèves sont capables d’une forte persévérance dans l’effort et d’une haute autodiscipline.
On peut également constater une « forte pression exercée par les parents quant au travail scolaire, qui s’oppose à un certain laxisme occidental où l’objectif semble désormais de faire d’abord plaisir aux enfants », observent Hugounier et De Ketele. Enfin, les maitres et leurs fonctions y sont particulièrement respectés., Cette focalisation sur la réussite scolaire, on la ressent, c’est vrai. dès le plus jeune âge, raconte le principal d’un collège parisien. Les parents d’origine asiatique, plus que les autres, visent assez systématiquement le meilleur lycée, l’orientation la plus prestigieuse et exigent de leurs enfants une forme d’excellence.
Marie-Estelle Pech pour Le Figaro.
Cette étude est pleine d’enseignements. Elle tue le fantasme du racisme systémique mais aussi pointe la décadence de l’Occident, notamment par rapport à l’Asie.
Nous avons perdu le sens de l’effort, de la discipline, du respect de l’enseignant. Comme le dit un des chercheurs : « la priorité est de faire plaisir aux enfants ! »
Nous voyons aussi combien l’assimilation, plébiscité, par les asiatiques et rejetée par les immigrés d’Afrique, et par la gauche , fait la différence, en termes de délinquance et de comportement à l’école.
Nous percevons clairement aussi où conduira le grand remplacement annoncé par certains …
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3 Réponses à “Les Français seraient racistes. Vous êtes sûrs ?”
Si le blanc etait réellement raciste, ce n’est pas aujourd-hui que ce serais denoncé.
Quand aux privileges blanc voici :
La notion de privilège blanc est un élément central de la mutation socio-politique en cours. Dans son essai, Georges Guiscard décortique la genèse du concept, dogme principal de la nouvelle religion woke. Il en présente ensuite les multiples facettes – « intersectionnalité », signal de vertu de la bourgeoisie blanche, capitalisme woke, stratégie sociale des minorités… – pour mieux réfuter les arguments de ses zélateurs.
https://institut-iliade.com/parution-le-privilege-blanc-qui-veut-faire-la-peau-aux-europeens/
L’ouvrage a par ailleurs la fraîcheur d’aborder le tout sous un angle novateur à droite. Le phénomène woke sonne le glas de l’universalisme, dénoncé comme une conception typiquement européenne ; un « truc de Blancs ». Impossible de l’affronter sans fourbir de nouvelles armes. Puisque « c’est l’ennemi qui vous désigne » (Freund), Guiscard a pris le parti d’accepter la lecture raciale imposée par la gauche woke afin de pouvoir correctement la cerner.
Les partisans du concept de privilège blanc ne s’en cachent même plus : leur objectif est d’abolir la civilisation occidentale et de soumettre les Européens, les Blancs. Préfacé par François Bousquet, directeur de La Nouvelle Librairie et rédacteur en chef de la revue Éléments, Le Privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ? est une lecture indispensable à ceux qui veulent les protéger.
Georges Guiscard est étudiant en sciences politiques et est auditeur de l’Institut Iliade, promotion Don Juan d’Autriche (2015-2016).
Collection Iliade
La première collection de l’Institut Iliade propose des textes fondateurs pour le renouveau de la civilisation européenne. Elle accueille des ouvrages de référence, conçus comme des balises pour éclairer la réflexion des lecteurs et les guider vers la reconquête de leur identité.
Le Privilège blanc. Qui veut faire la peau aux Européens ? Georges Guiscard.
Voila la realité.
« Les partisans du concept de privilège blanc ne s’en cachent même plus : leur objectif est d’abolir la civilisation occidentale et de soumettre les Européens, les Blancs. »
Le peuple ne doit pas l’oublier, car c’est sa perte qui est fomenté.
Les etudes demontrent bien, les differences selon les origines,
soient ils s’assimilent, soit les efforts pour cela sont moindres.
C’est une question de goût et pas de racismes de la part de certaines personnes,
comme voudrait le faire croire les salauds, les ideologues corrompus, les politiciens corrompus.
L’engeance de goche et du progressisme, stigmatise une partie de la population pour ces interets plus ou moins malhonnetes,
et pour des buts electoralistes.