Jamais la radio du service public de l’audiovisuel, France Inter, n’aura à ce point mérité son surnom de
France Sphincter.
La radio aura en effet touché le fond en laissant diffuser sur ses ondes la diarrhée verbale de son chansonnier « vedette » : Frédéric Fromet.
Une diarrhée verbale qui justifie pleinement le surnom de la station ! Jugez-en par vous-même :
Jésus, Jésus, Jésus est pédé, membre de la LGBT, du haut de la croix pourquoi l’avoir cloué, pourquoi l’avoir pas enculé.
J’ai rompu avec la religion catholique depuis des décennies mais ça ne m’empêche pas d’être scandalisé par ce genre de propos. Et ceci pour plusieurs raisons.
D’abord, je suis prêt accepter beaucoup de choses, même jusqu’au blasphème, pour servir une juste cause (lutter contre la pédophilie dans l’Eglise et ailleurs) ou bien simplement pour cause d’humour. Mais dans le cas présent, on cherchera en vain la moindre cause à défendre et surtout la moindre trace d’humour.
C’est juste de la méchanceté gratuite !
Charline Vanhoenacker, autre « humoriste » de la radio « anale » sentant que sans doute les paroles pourraient choquer s’est empressée de revendiquer « le droit au blasphème » et n’a pas hésité à citer Charlie:
Rappelons que le droit au blasphème est un droit, que si on ne l’utilise pas il s’use, et qu’on est Charlie.
D’abord, je dénie à France Inter le droit de citer Charlie, tant cette station constitue l’anti-modèle de la liberté d’expression et du respect de toutes les opinions. On y entend qu’une seule voix, celle du gauchisme progressiste !
Quant au droit au blasphème, on pourrait leur en faire crédit si la station « excrémentale » ne limitait son champ de blasphème à la seule religion catholique, en épargnant l’islam que la gauche nous décrit comme « une religion de paix et de lumière » mais au nom de laquelle on décapite, on trucide et on extermine les mécréants.
Pour revenir à l’humour dont ce chansonnier est totalement dépourvu, la victime de cette « courante » verbale, Frédéric Fromet avait déjà choqué au lendemain de l’incendie dramatique de Notre-Dame de Paris en pastichant une célèbre comédie musicale :
Il est fini le temps de la cathédrale si ça pouvait signifier aussi la fin des curés.
Ce qui m’insupporte le plus, c’est que je finance cette incontinence verbale avec mes impôts !
Mais que fait Delphine Ernotte, la patronne de ces saltimbanques ratés ?
Ah oui, elle est trop occupée à compter sur ses antennes les mâles blancs, hétérosexuels, chrétiens de plus de 50 ans !
Avant de vous livrer la vidéo de ce triste sire, je relaye un tweet du pourfendeur quotidien de France Sphincter, Gilles-William Goldnadel :
Sur @franceinter , un « humoriste » subventionné chante devant un public aux anges: « Jésus est pédé… pourquoi l’avoir pas enculé »… pic.twitter.com/6o1tgid7TL
— David dobsky (@dobsky33) January 12, 2020
Nota : pour en savoir plus sur l’origine de la chanson, lire cet article de Valeurs actuelles.
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