Comme dans l’introduction de ce précédent article :
Et les turbo-cancers ? Parlons-en !
Je pourrais évoquer ma compréhension de la lassitude des lecteurs de mes choix éditoriaux (Vaccins, Ukraine, Climat) mais à propos du réchauffement climatique, j’ai encore moins de scrupules tant je suis désormais persuadé qu’après le covid, la cause anthropique du réchauffement climatique est la seconde escroquerie du siècle.
Aussi, c’est sans hésitation que je relaye ici la publication d’un groupe de scientifiques :
le Global Climate Intelligence Group
qui pèse au moins autant que le GIEC composé, en grande partie, de membres nommés par les gouvernements et non pas choisis par leurs pairs pour leur compétence..
Il n’y a pas d’urgence climatique
Plus de 1 500 scientifiques signataires (dont des lauréats du prix Nobel de physique …) confirment qu’il n’y a pas de crise climatique et donc pas lieu de paniquer ou s’alarmer, à comparer aux 234 scientifiques qui ont signés le rapport AR6 (WG1) du GIEC.
La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. En particulier, les scientifiques devraient souligner que leur production de modélisation n’est pas le résultat de la magie : les modèles informatiques sont créés par l’homme. Ce qui en ressort dépend entièrement de ce que les théoriciens et les programmeurs ont mis : hypothèses, suppositions, relations, paramétrisations, contraintes de stabilité, etc. Malheureusement, dans la science climatique traditionnelle, la plupart de ces apports ne sont pas déclarés.
Croire au résultat d’un modèle climatique, c’est croire ce que les modélisateurs y ont mis. C’est précisément le problème de la discussion sur le climat d’aujourd’hui, dans lequel les modèles climatiques sont au centre.
La science du climat a dégénéré en une discussion basée sur des croyances, et non sur une science autocritique solide.
Nous devons nous libérer de la croyance naïve en des modèles climatiques immatures. À l’avenir, la recherche sur le climat devra accorder beaucoup plus d’importance à la science empirique.
Il n’y a pas d’urgence climatique
Un réseau mondial de plus de 1501 scientifiques et professionnels a préparé ce message urgent. La science du climat devrait être moins politique, tandis que les politiques climatiques devraient être plus scientifiques. Les scientifiques devraient aborder ouvertement les incertitudes et les exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, tandis que les politiciens devraient compter sans passion les coûts réels ainsi que les avantages imaginaires de leurs mesures politiques.
Des facteurs naturels et anthropiques provoquent le réchauffement
Les archives géologiques révèlent que le climat de la Terre a varié depuis que la planète existe, avec des phases naturelles froides et chaudes. Le petit âge glaciaire s’est terminé aussi récemment qu’en 1850. Il n’est donc pas surprenant que nous connaissions maintenant une période de réchauffement.
Le réchauffement est beaucoup plus lent que prévu
Le monde s’est réchauffé beaucoup moins que prévu par le GIEC sur la base du forçage anthropique modélisé. L’écart entre le monde réel et le monde modélisé nous indique que nous sommes loin de comprendre le changement climatique.
La politique climatique repose sur des modèles inadéquats
Les modèles climatiques présentent de nombreuses lacunes et ne sont guère plausibles en tant qu’outils de politique mondiale. Ils font exploser l’effet des gaz à effet de serre comme le CO2. De plus, ils ignorent que l’enrichissement de l’atmosphère en CO2 est bénéfique.
Le CO2 est la nourriture des plantes, la base de toute vie sur Terre
Le CO2 n’est pas un polluant. Il est essentiel à toute vie sur Terre. La photosynthèse est une bénédiction. Plus de CO2 est bénéfique pour la nature, en verdissant la Terre : plus de CO2 dans l’air a favorisé la croissance de la biomasse végétale mondiale.
Il est également bon pour l’agriculture, augmentant les rendements des cultures dans le monde entier.
Le réchauffement climatique n’a pas augmenté les catastrophes naturelles
Il n’y a aucune preuve statistique que le réchauffement climatique intensifie les ouragans, les inondations, les sécheresses et autres catastrophes naturelles, ou les rend plus fréquents. Cependant, il existe de nombreuses preuves que les mesures d’atténuation du CO2 sont aussi dommageables que coûteuses.
La politique climatique doit respecter les réalités scientifiques et économiques
Il n’y a pas d’urgence climatique. Par conséquent, il n’y a aucune raison de paniquer et de s’alarmer. Nous nous opposons fermement à la politique nocive et irréaliste de zéro CO2 proposé pour 2050. Si de meilleures approches émergent, et elles le feront certainement, nous aurons amplement le temps de réfléchir et de nous réadapter. L’objectif de la politique mondiale devrait être la « prospérité pour tous » en fournissant une énergie fiable et abordable à tout moment. Dans une société prospère, les hommes et les femmes sont bien éduqués, les taux de natalité sont faibles et les gens se soucient de leur environnement.
Épilogue
La Déclaration mondiale sur le climat (CMB) a réuni une grande variété de scientifiques compétents du monde entier*. Les connaissances et l’expérience considérables de ce groupe sont indispensables pour parvenir à une vision équilibrée, impartiale et compétente du changement climatique.
Désormais, le groupe fonctionnera en tant que « Global Climate Intelligence Group ». Le Groupe CLINTEL fournira des conseils sollicités et non sollicités sur le changement climatique et la transition énergétique aux gouvernements et aux entreprises du monde entier.
* Ce n’est pas le nombre d’experts mais la qualité des arguments qui compte.
Liste des ambassadeurs de la Déclaration Mondiale sur le Climat
NOBEL LAUREATE PROFESSOR IVAR GIAEVER NORWAY/USA
PROFESSOR GUUS BERKHOUT / THE NETHERLANDS
DR. CORNELIS LE PAIR / THE NETHERLANDS
PROFESSOR REYNALD DU BERGER / FRENCH SPEAKING CANADA
BARRY BRILL / NEW ZEALAND
VIV FORBES / AUSTRALIA
DR. PATRICK MOORE / ENGLISH SPEAKING CANADA
JENS MORTON HANSEN / DENMARK
PROFESSOR LÁSZIÓ SZARKA / HUNGARY
PROFESSOR SEOK SOON PARK / SOUTH KOREA
PROFESSOR JAN-ERIK SOLHEIM / NORWAY
STAVROS ALEXANDRIS / GREECE
FERDINAND MEEUS / DUTCH SPEAKING BELGIUM
PROFESSOR RICHARD LINDZEN / USA
HENRI A. MASSON / FRENCH SPEAKING BELGIUM
PROFESSOR INGEMAR NORDIN / SWEDEN
JIM O’BRIEN / REPUBLIC OF IRELAND
PROFESSOR IAN PLIMER / AUSTRALIA
DOUGLAS POLLOCK / CHILE
DR. BLANCA PARGA LANDA / SPAIN
PROFESSOR ALBERTO PRESTININZI / ITALY
PROFESSOR BENOÎT RITTAUD / FRANCE
DR. THIAGO MAIA / BRAZIL
PROFESSOR FRITZ VAHRENHOLT / GERMANY
THE VISCOUNT MONCKTON OF BRENCHLEY / UNITED KINGDOM
DUŠAN BIŽIĆ / CROATIA, BOSNIA AND HERZEGOVINA, SERBIA AND MONTE NEGRO
La déclaration mondiale sur le climat est consultable ici et intègre la liste des 1 500 signataires.
La conclusion est très simple :
A quand un grand débat entre
le Global Climate Intelligence Group
et le GIEC ?
En bonus pour les courageux qui m’ont suivi jusqu’au bout, voici une courte interview du professeur Raoult par Jean-Jacques Bourdin qui, en bon journaliste moutonnier, ne peut pas comprendre qu’on soit sceptique sur l’origine humaine du réchauffement climatique :
@instant.gopolitiq Êtes-vous sceptique* ? #climat #temperature #politique #raoult #rechauffementclimatique ♬ son original – Instant Géopolitique
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2 Réponses à “Les résistants à la fable climatique s’organisent !”
On connait la suite, on n’aura aucun changement de la propagande sur le climat, fussent-ils 80 000 scientifiques, c’est cela leur democratie et le pretendu respect du peuple.
Ce n’est pas eux qui decident, mais les lobbys avec la complicité des états pourrie, les taxes leurs ont rapportés 1000 milliards, alors si quelques uns reagissent, pas question de mettre le focus dessus, l’information « officielle » sera inchangé.
Cela devient une mafia a grande échelle.
L’ecologie est sabordé par les lobbys qui conditionnent le public
avec de la propagande basé sur de fausses infos refusées par + de 31 000 scientifiques qui delcare ne pas etre d’accord avec le giec trop politisé.
D’apres le giec, en 1989, la mer devait monter de 1 metre dans les trentes ans, en fait elle n’a monté que de 2 cm de plus…
Le giec est une machine de propagande charge de soutirer des sous a tous le monde en faisant peur… comme avec le covid.