Les victimes ne sont plus ce qu’elles étaient !

Publié par le 1 Sep, 2024 dans Blog | 2 commentaires

Les victimes ne sont plus ce qu’elles étaient !

« Merci la justice française.

A partir de demain les citoyens qui n’ont pas été arrêter en flagrant délit, ils savent qu’ils peuvent rouler comme il veulent, faire les fous sur la route …

… Tuer !

Aucun respect pour notre fille ni pour nous mêmes ! »

Ces mots ont été twittés par le père de la petite Kamilya après qu’il ait appris la libération (sous contrôle judiciaire), par un juge d’application des peines, du délinquant qui l’avait renversée sur un passage protégé.

Décidément, les victimes ne sont plus ce qu’elles étaient !

Comme Harmony Cormyn, la femme du gendarme tué lors d’un refus d’obtempérer, le père de Kamylia refuse de se plier à la règle dictée par la gauche et les médias pour ces victimes :

Pas d’amalgame, pas de récupération !

Dans le cas de la courageuse Harmony Comyn, on ne peut pas parler de récupération mais de pointage pur et simple de la responsabilité de la gauche dans le laxisme de la justice :

1981 n’aurait jamais dû exister !

a t-elle dit deux fois en serrant les dents.

La gauche a immédiatement tenté de salir la jeune veuve en interprétant cette dernière phrase comme une allusion à l’abolition de la peine de mort par MM. Mitterrand et Badinter.

En insinuant qu’une femme qui s’oppose à la peine de mort n’est pas digne de respect !

Mais les Français, dans leur immense majorité, ont compris le message d’Harmony qui a également utilisé les mots sans ambiguïté d’insuffisance et d’excès de tolérance.

C’est le laxisme de la justice qu’elle a dénoncé avec ces juges qui ont condamné 10 fois le meurtrier de ce gendarme sans qu’il n’ait jamais passé une seule nuit en prison et qu’on lui ait retiré son permis !

Le pire, c’est ce deux poids, deux mesures qui caractérise la gauche et la justice !

Comment est-il possible que le jeune qui a renversé la petite Kamilya en remontant une file de voitures, à contre-sens, à vive allure et sur la roue arrière, ait pu être libéré avec un simple contrôle judiciaire et que le policier qui a tué le jeune Nahel au cours d’un refus d’obtempérer ait été maintenu en prison pendant quatre mois.

C’était, nous a t-on dit, pour préserver la paix sociale !

C’est donc parce que les Français honnêtes ne tentent pas de faire justice eux-mêmes dans la rue que l’on peut laisser le jeune chauffard en liberté !

C’est d’une injustice patente qui insupporte de plus en plus les Français.

Je forme le voeu qu’à chaque drame qui frappera un Français, ses proches aient le courage et la détermination d’Harmony Comyn et du père de la petite Kamilya, pour désigner les vrais coupables et les vrais responsables.

La gauche, les médias et la justice n’ont qu’à bien se tenir !

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2 Réponses à “Les victimes ne sont plus ce qu’elles étaient !”

  1. Si je comprends les excuses, il faut donc, lors d’un « fait divers », aller mettre le feu à la préfecture, aux écoles, aux hôpitaux. Ou simplement, menacer de le faire. Pour que le « pauvre délinquant » soit incarcéré.

  2. La goche et ses partisans denigrent une categorie de victimes,
    comme souvent elle se distingue par son manque d’humanité au nom de ses seul interets.

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