Depuis la crise sanitaire et la guerre en Ukraine, nous devons avoir conscience de ce qui se passe à Bruxelles :
Nous sommes passés, sans nous en rendre compte, et bien sûr sans voter, dans le régime de l’Europe fédérale !
Quand Ursula Von Der Leyen a négocié seule, à coup de SMS top secret avec le PDG de Pfizer, des contrats d’achat de milliards de doses d’un vaccin non encore validé, quand depuis six lois, elle a versé, sans accord des parlements nationaux plus de 10 milliards d’euros à l’Ukraine, quand elle décide de se passer du gaz russe, quand elle se comporte comme un chef de guerre ..
… Ce n’est plus la présidente de la Commission européenne
qui parle mais la présidente de l’Europe qui s’exprime !
C’est donc une Europe fédérale qui préside désormais à nos destinées !
Et cette Europe est immigrationniste, mondialiste, favorable au communautarisme, ennemi de l’identité des peuples et ouverte à toutes les folies idéologiques telles que le wokisme !
Et Emmanuel Macron laisse faire … Il partage toute cette idéologie et tous ces objectifs qu’une majorité des Français rejettent ! Allons-nous le laisser faire ?
Voici un excellent édito de Natacha Polony rédactrice en chef de Marianne qui montre bien la dérive inquiétante qu’Ursula Von Der Leyen a infligé à l’Europe et ceci au bénéfice unique des Allemands et des Américains :
@mariannelemag #UrsulaVonDerLeyen a prononcé mercredi son 3ème discours sur l’état de l’Union. S’y esquisse la vision d’un futur européen qui peut inquiéter… #UE ♬ son original – Marianne
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2 Réponses à “L’Europe fédérale ? Mais on y est !”
Toujours à se plaindre, l’Europe a permis a l’Etat français de jouer open-bar depuis des années. Sans BCE, sans l’euro, je ne pense pas que nous ayons pu atteindre le niveau de dette abyssale auquel notre pays est confronté. Une dévaluation, ou plutôt des dévaluations sévères auraient été rendues obligatoires par le laxisme budgétaire chronique qui nous accable. Nous n’aurions pas eu un président nous parlant du quoi qu’il en coûte à tout bout de champ.
Nous pouvons remercier l’Allemagne sans laquelle cette gabegie n’aurait pas existé, car sans sa signature, et celle des pays frugaux, nous n’aurions pas pu dépenser ce pognon de dingue.
L’Allemagne nous a enterré, mais c’est nous qui avons creusé la tombe.
L'(europe devient une dictature petit a ^petit le tout aidé par les merdias.