Je relaye aujourd’hui un article de Polemia, le site web créé par Jean-Yves Le Gallou.
Il y présente le nouvel ouvrage de Michel Geoffroy :
Immigration de masse, l’assimilation impossible
Depuis quarante ans, pour la doxa politico-médiatique, l’affaire était entendue : il n’y avait pas de problème d’immigration, juste des « chances pour la France », sans parler des délices du « vivre ensemble ».
Aujourd’hui, la réalité explose au visage des Français. L’immigration est une catastrophe. Une catastrophe sécuritaire (inutile, hélas, d’insister !). Une catastrophe scolaire (il est de plus en plus difficile de trouver des professeurs car ils veulent éviter de commencer leur carrière par cinq ans d’enfer dans les quartiers de l’immigration). Une catastrophe écologique (plus d’immigration, c’est plus de béton). Une catastrophe sanitaire avec l’embolie des urgences hospitalières fréquentées par des populations qui ignorent souvent la médecine de ville. Une catastrophe budgétaire par l’explosion des budgets sociaux et de la fraude sociale. Une catastrophe pour les libertés car, pour lutter contre le terrorisme, la délinquance et le « séparatisme » des minorités, on limite les droits de la majorité des citoyens.
Bref, il n’est plus possible aujourd’hui de nier que l’immigration est une malchance pour la France.
Dans son ouvrage, Michel Geoffroy identifie 6 points clés dans le processus d’assimilation :
1 – Le stock de population
Aujourd’hui, en France, la population d’origine immigrée représente plus de 25 %, proportion probablement trop élevée pour échapper aux tentations du communautarisme.
2 – Le flux de population,
Les flux d’entrées encouragés par la politique migratoire d’Emmanuel Macron, c’est entre 400 000 et 500 000 par an, ce qui n’a jamais été aussi élevé. Quel pays, affaibli par un chômage de masse, et dont la cohésion nationale est autant fragilisée, peut absorber un tel flux ?
3 – Les distances culturelles,
L’assimilation des vagues migratoires intra-européennes des années 50 et 60, venues d’Italie, d’Espagne et de Pologne, n’a posé aucun problème parce que les distances culturelles avec les Français étaient très faibles. Avec une immigration en grande majorité musulmane et africaine, les écarts de mentalités de nombre d’immigrés avec les Français de souche n’ont jamais été aussi importants.
4 – Le maintien des liens avec le pays d’origine,
Les liens avec les pays d’origine sont plus faciles à maintenir aujourd’hui grâce au développement des communications et des échanges. La multitude de paraboles ornant les balcons des barres de HLM de certains quartiers en témoigne clairement.
5 – La force du pays d’accueil,
La possibilité d’assimilation dépend aussi de l’assurance du pays d’accueil, de sa fierté, de sa croyance en ses valeurs, de sa volonté de les imposer : le moins que l’on puisse dire est que ces vertus ne sont pas au rendez-vous.
La gauche porte une accablante responsabilité puisque depuis les années 80, elle a dénoncé le principe de l’assimilation et promouvant à la place le droit à la différence qui encourage le communautarisme.
6 – La volonté de s’assimiler des populations étrangères.
La possibilité d’assimilation ressort aussi de la volonté des populations accueillies de s’assimiler : le développement de l’islamisme d’un côté, du « décolonialisme » de l’autre, prouve que ce n’est manifestement pas le cas.
En conclusion
On mesure donc toutes les entraves à l’assimilation et même à l’intégration des populations dont la responsabilité incombe d’abord aux élites françaises qui crachent sur les notions de nation, d’identité française et de racines chrétiennes de la France, mais aussi au manque de volonté d’assimilation des immigrés d’origine maghrébine ou subsaharienne. L’islam qui ne fait pas la différence entre le spirituel et le temporel est aussi un obstacle majeur à l’assimilation des musulmans.
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5 Réponses à “L’impossibilité de l’assimilation est démontrée !”
Les Gaulois réfractaires et les hordes de migrants islamisés et ceux venus d’Afrique sont comme l’eau et l’huile : non miscibles !
Vérité encore démontrée ce jour à Rambouillet.
Mais que faire pour que notre président fasse tomber les peaux d’ânes qu’il a sur les yeux depuis si longtemps ?
Si nous pouvions rester entre civilisés, tout serait plus simple…
« Les peaux d’anes » est bien volontaire, tous en verité savent parfaitement de quoi ils en ressort, cela saute aux yeux, maintiennent « leur verités » pour cacher la realité qu’ils ne veulent pas reconnaitre et qu’un enfant de dix ans comprendrait en regardant les faits, et ce servent de la partie mafia-justice pour faire taire la verité de ceux qui le denoncent au nom du racisme ou d’humanisme en refusant la discussion car ils serait obligé de ceder, pour nous abattre, c’est pourquoi le denie permanent malgré la verité criante et cette dictature, exprès, qui interdit la libre expression, pour que ces messieurs puissent imposer leurs plan du grand remplacement sans etre gené par le peuple.
Et j’ajoute:
« Afin de detruire un peuple, il faut d’abord detruire ses racines. »
Alexandre Soljenitsyne
Ce n’est pas ce qui ce passe ? cela explique le pourquoi du denie permanent.
Impossible en effet d’assimiler avec un tel flux, d’autanht que les elites ne le veulent pas!