L’Ukraine ne doit pas nous faire oublier le pass vaccinal !

Le Covid-19 qui occupait à plein temps les plateaux des chaines d’infos a disparu comme par miracle après l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

A la télé, une terreur chasse l’autre !

Les Français pensent plus au risque de la guerre nucléaire qu’à celui d’attraper le covid. On n’entend plus les opposants au pass vaccinal qui pourtant reste en vigueur sans aucune justification sanitaire.

On me pardonnera de croire qu’après la résolution du problème ukrainien, la situation sanitaire reviendra dans l’actualité. En attendant nous ne devons pas oublier qu’un danger sanitaire majeur nous guette.

Si, comme c’est malheureusement probable, Emmanuel Macron est reconduit à la tête du pays, le risque que le pass vaccinal s’installe définitivement est évident donnant un énorme pouvoir au gouvernement qui pourra l’activer et le désactiver comme il le souhaitera.

N’oublions pas qu’Emmanuel Macron serait alors dans son dernier quinquennat et donc que, libéré de toute pression électorale, il pourra se laisser aller à tous ses lubies sanitaires, progressistes, européistes, mondialistes et j’en passe !

Vous n’avez pas aimé Macron I ? Vous détesterez Macron II !

Le pass vaccinal permettra alors d’obliger les Français à se faire injecter chaque année plusieurs doses de vaccin ARN Messager.

L’omerta générale sur les effets secondaires est toujours la règle dans les médias malgré des preuves toujours plus réelles de leur réalité.

Il faut absolument, avant la reconduite du pass vaccinal, qu’une étude indépendante démontre un bénéfice/risque positif du vaccin.

Je relaye aujourd’hui une nouvelle lettre de Rodolphe Bacquet (Alternatif Bien Être) qui fait le point sur ces effets secondaires :

Chers amis,

Leçon de l’année 2021 : les géants de l’industrie pharmaceutique font ce qu’ils veulent.

Depuis fin 2020, on nous répète que c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’un aussi gros effort financier a été fait pour trouver une solution à une crise sanitaire. Que ce sont ces circonstances exceptionnelles qui ont permis à la recherche de développer un vaccin dans des délais aussi courts.

Mais alors … comment expliquer la pauvreté des données scientifiques publiées ?

Les essais cliniques conduits ne permettent pas de constater que le vaccin à ARn messager remplit son rôle contre le développement d’une infection au Covid. Or quand on s’apprête à injecter un nouveau traitement  à des personnes en bonne santé (jusqu’à preuve du contraire), le respect du protocole sanitaire doit être irréprochable.

Aujourd’hui, on a assez de recul pour voir que, non seulement les vaccins s’accompagnent d’effets secondaires, mais qu’en plus ces derniers ne sont pas anodins. Depuis le début de la vaccination, l’ANSM a recensé :

• 86 831 cas d’effets indésirables pour Pfizer,
• 20 550 cas d’effets indésirables pour Moderna,
• 28 313 cas d’effets indésirable pour Vaxzevria,
• 1 345 cas d’effets indésirables pour Janssen

Tandis que la Commission Européenne comptait :

• 60 fois plus de morts suspectes après l’administration des vaccins Pfizer et AstraZeneca qu’après celui de la grippe.
• 400 fois plus de morts suspectes après l’administration du vaccin Moderna qu’après celui de la grippe.

Le peuple a-t-il servi de cobaye ?

Et pourtant je suis prêt à parier que les responsables s’en sortiront, une fois de plus, indemnes.

Après tout, ce ne serait pas la première fois.

« Victime » de Big Pharma ? Ça n’est pas nouveau !

Rodolphe Bacquet pour Alternatif bien-être.